SynopsisLes Temps modernes. Les Temps modernes ou Modern Times en VO est un film réalisé par Charlie Chaplin sorti en France le 13 Mars 1936.. Charlot est ouvrier dans une gigantesque usine. Il resserre quotidiennement des boulons. Mais les machines, le travail à la
06 Nov Publié par - Catégories Films et Dessins animés Chanson charabia, sur l'air de "Je cherche aprÚs Titine" Les paroles charabia de plusieurs langues Se bella ciu satore Je notre so cafore Je notre si cavore Je la tu, la ti, la tua La spinash o la busho Cigaretto porta bello Ce rakish spagaletto Si la tu, la ti, la tua Senora Pilasina Voulez vous le taximeter Le zionta sous la sita Tu la tu, la tu, la wa Se montya si la moora La sontya so gravora La zontya comme sora Je la poose a ti la tua Je notre so la mina Je notre so cosina Je le se tro savita Je la tuss a vi la tua Se motra so la sonta Chi vossa la travonta Les zosha si katonta Tra la la la, la la la ...
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Le CINÉMA est un thĂšme largement abordĂ© Ă  la radio et Ă  la tĂ©lĂ©vision collection d’entretiens, dĂ©bats, documentaires sur l’histoire du cinĂ©ma, analyses de films, diffusion de longs et courts mĂ©trages et adaptations de films Ă  la radio en sont quelques exemples. Etudiants, chercheurs et cinĂ©philes ont la possibilitĂ© de se constituer une culture cinĂ©matographique et d’entreprendre des travaux de recherches avec les fonds disponibles Ă  l’INAthĂšque qui possĂšde de nombreux documents Ă  ce sujet aussi bien audiovisuels tĂ©lĂ©vision, radio, web qu’écrits pĂ©riodiques, monographiques. Toutes les Ă©missions citĂ©es dans ce guide sont consultables dans les centres de consultation de l’INAthĂšque. Le guide est tĂ©lĂ©chargeable ici >> Guide rĂ©alisĂ© par Mia Lebrun, Ă©tudiante en Master 1 Ă©tudes cinĂ©matographiques et audiovisuelles Ă  Paris 3. L’INA FAIT SON CINÉMA L’histoire du cinĂ©ma nous est contĂ©e Ă  l’Ina depuis ses origines. Que le support soit audiovisuel ou Ă©crit, il y a diffĂ©rentes maniĂšres de la transmettre. CinĂ©astes et cinĂ©philes se sont rĂ©unis et ont contribuĂ© Ă  mĂ©diatiser l’histoire du cinĂ©ma pour en garder la mĂ©moire. de l’histoire du cinĂ©ma français Ă  l’histoire mondiale du cinĂ©ma, en passant par une histoire technique et esthĂ©tique, de nombreuses Ă©missions ont cherchĂ© Ă  laisser des traces de cette histoire sous un angle d’approche diffĂ©rent. Entre entretiens, archives commentĂ©es, longs et courts mĂ©trages, rĂ©cits personnels, voilĂ  comment a Ă©tĂ© racontĂ©e l’histoire du cinĂ©ma. 1 – Émissions autour de l’histoire du cinĂ©ma A la tĂ©lĂ©vision Signes de vie L’imprimerie de la vie, 1Ăšre chaĂźne, rĂ©a Pierre Viallet, aut Marcel Lherbier, magazine, 50 min Dans L’Imprimerie de la vie, Marcel Lherbier raconte la naissance du cinĂ©ma et comment il s’est dĂ©veloppĂ© pour devenir un art Ă  part entiĂšre. Il commente des extraits de films des frĂšres LumiĂšre, de MĂ©liĂšs, Fritz Lang, Chaplin et d’Eisenstein et insiste sur le pouvoir des images en utilisant des archives des actualitĂ©s de la guerre de 14-18. Sont Ă©galement utilisĂ©es des images de Georges Clemenceau, d’AndrĂ© Malraux et de François Mauriac L’Histoire du cinĂ©ma français par ceux qui l’ont fait, 3Ăšme chaĂźne de l’ORTF, rĂ©a Armand Panigel, 1974-1981, sĂ©rie documentaire, 13 Ă©missions, 1h SĂ©rie de documentaires sur l’histoire du cinĂ©ma français depuis ses origines Ă  la Nouvelle Vague. Document trĂšs riche composĂ© d’interviews de cinĂ©astes ainsi que divers extraits de films. Exemples Tu n’as rien vu Ă  Hiroshima 1956-1961, ; L’ñge d’or du film muet 1915-1928, EncyclopĂ©die audiovisuelle du cinĂ©ma Le cinĂ©ma Français, FR3, rĂ©a Claude Jean Philippe, 1978-1979, 40 Ă©pisodes en 2 saisons, 26 minutes Cette Ă©mission retrace l’histoire du cinĂ©ma français avec des documents d’époque, des bandes d’actualitĂ©, des extraits de films etc. Cette histoire du cinĂ©ma nous est racontĂ©e en voix off par Jean Rochefort. La Lucarne du siĂšcle, OcĂ©aniques, FR3, rĂ©a NoĂ«l Burch, 1989, 6 Ă©missions, 26 minutes Collection documentaire Ă  base d’archives, en 6 Ă©missions qui retrace les dĂ©buts du cinĂ©ma dans divers pays la Grande Bretagne, la France, l’URSS, les Etats Unis, le Danemark, l’Allemagne Cent ans de cinĂ©ma, GĂ©nĂ©ration trois, France 3, Philippe Kimmerling, magazine, 1h30 Marie-Laure Augry fĂȘte le centenaire du cinĂ©ma avec son invitĂ© Claude Jean Philippe, rĂ©alisateur d’émissions tĂ©lĂ©visĂ©es et auteur de livres sur la cinĂ©ma. EntourĂ©s d’élĂšves d’un lycĂ©e de Melun, Claude-Jean Philippe y raconte ses premiers souvenirs de cinĂ©ma et explique l’invention du cinĂ©ma par les frĂšres LumiĂšre en rĂ©pondant aux questions des lycĂ©ens. S’ensuit l’archive d’une interview de Jean Renoir et d’Henri Langlois sur le cinĂ©ma des frĂšres LumiĂšre. La Grande aventure de la presse filmĂ©e, Les Dossiers de l’histoire, France 3, rĂ©a Serge Viallet, 2001, 4 Ă©missions, 26 minutes SĂ©rie documentaire en 4 Ă©pisodes, racontant l’épopĂ©e de la presse filmĂ©e cinĂ©matographique, grĂące aux images cinĂ©matographiques et au tĂ©moignage des acteurs. Des interviews d’historiens et spĂ©cialistes enrichissent ce programme. Un Film & son Ă©poque, Jeudi arts & culture, ARTE et France 5, pro Serge July, Marie Genin, 2003-2020, 40 Ă©missions, 52 minutes SĂ©rie documentaire abordant dans chacun de ses volets un film emblĂ©matique d’une Ă©poque, d’une sociĂ©tĂ©. Serge July et Marie Genin revisitent des classiques du cinĂ©ma en revenant sur leur genĂšse et le contexte dans lequel le film a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© et produit. Des commentaires sur extraits de films, images d’archives et photographies alternent avec des interviews. Exemples Il Ă©tait une fois
 La Haine, interview de Mathieu Kassovitz et Costa Gavras en alternance avec des commentaires sur images du film et archives Empreintes la collection documentaire, France 5, prĂ© Annick Cojean, 2007-2013, 120 Ă©missions dont 25 Ă©missions consacrĂ©es au cinĂ©ma, tranche horaire, 52 minutes Cette collection documentaire prĂ©sentĂ©e par Annick Cojean s’attache Ă  mettre en mĂ©moire des personnalitĂ©s qui ont marquĂ© notre Ă©poque, en tissant divers portraits. Chaque Ă©mission est consacrĂ©e Ă  une personnalitĂ© et plusieurs Ă©missions ont pour thĂšme des personnalitĂ©s du cinĂ©ma Ex Fabrice Luchini, Vincent Lindon, Georges Lautner
. Construite sur un principe de dialogue, cette collection a un objectif de rencontre. Les documents utilisĂ©s sont autant d’archives que de multiples entretiens. 100 ans de cinĂ©ma, Court circuit, SpĂ©cial Henrich Sabl et les marionnettes animĂ©es, ARTE, rĂ©a Heinrich Sabl court mĂ©trage animĂ©, 2min Court mĂ©trage d’animation diffusĂ© dans une tranche horaire consacrĂ©e au cinĂ©ma d’animation Est allemand mais surtout au rĂ©alisateur Heinrich Sabl dans un SpĂ©cial Heinrich Sabl et les marionnettes animĂ©es dans lequel on peut voir une brĂšve approche de l’histoire du cinĂ©ma avec des rĂ©fĂ©rences connues des cinĂ©philes. On y voit par exemple les escaliers d’Odessa. La premiĂšre de ce film a eu lieu dans le cadre de la compĂ©tition internationale de la Berlinale en 1995. Histoires de cinĂ©ma, ARTE, rĂ©a Florence Platarets, rĂ©a Xavier Villetard, auto FrĂ©dĂ©ric Bonnaud, 2015-2018, documentaire, sĂ©rie, 4 Ă©missions, 52 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source Arte] LancĂ©e Ă  l’occasion du Festival de Cannes, la collection documentaire Histoires de cinĂ©ma traverse les genres et les Ă©poques pour inviter Ă  revoir les films sous un autre angle qui lie cinĂ©ma et littĂ©rature mais aussi cinĂ©ma et sexe, cinĂ©ma et pouvoir, faits divers etc. CinĂ©kino, ARTE, rĂ©a Laurent Heynemann, 2017-2018, documentaire, sĂ©rie, 10 Ă©pisodes, 26 min CinĂ©kino fait une histoire du cinĂ©ma centrĂ©e sur des moments importants du cinĂ©ma europĂ©en. Pays aprĂšs pays et de maniĂšre Ă©clectique, ce programme parcourt 120 ans de cinĂ©ma europĂ©en en 10 Ă©pisodes. Terres de cinĂ©ma , ARTE, Jean Froment, Vincent Trisolini, Fanny Tondre, Alice Doyard, 2017-2019, 43 minutes, documentaire, sĂ©rie, 5 Ă©missions RĂ©sumĂ© producteur [Source Bulletin de presse et document d’accompagnement Arte] De la Nouvelle ZĂ©lande du Seigneur des anneaux Ă  l’Ecosse de Harry Potter, en passant par la Chine de Tigres et dragons et le Paris dAmĂ©lie Poulain, la sĂ©rie Terres de cinĂ©ma parcourt les paysages saisissants et les lieux de tournages spectaculaires de cinq des plus grands succĂšs du cinĂ©ma. 
 A la radio Contrepoint cinĂ©ma muet, parlant, cinĂ©mascope, Documents, Paris Inter, pro Simone Dubreuilh, documentaire, 20 min Une Ă©mission consacrĂ©e Ă  l’histoire du cinĂ©ma et de ses inventions techniques couleur, son, stĂ©rĂ©oscopie, Ă©cran large etc.. Plusieurs cinĂ©astes cĂ©lĂšbres donnent leur avis sur l’évolution du cinĂ©ma. Une archive de la voix de MĂ©liĂšs est utilisĂ©e. Il y raconte sa rencontre avec les frĂšres LumiĂšre ainsi que la façon dont il a vĂ©cu la premiĂšre projection du cinĂ©matographe. Les 5 cinĂ©astes Fred Orain, Abel Gance, LĂ©on Poirier, Alexandre Astruc et Jean-Pierre Melville interviennent ensuite pour discuter de la façon dont ils perçoivent l’évolution du cinĂ©ma, s’il sera un art du relief, quelle place aura la mise en scĂšne etc. Les Chemins de la connaissance, France Culture 1977-2019 Plus de 60 documents consacrĂ©s au cinĂ©ma SĂ©rie documentaire consacrĂ©e Ă  l’histoire de l’intelligence, de la recherche et des sensibilitĂ©s humaines », Les Chemins de la connaissance dĂ©veloppe un thĂšme chaque semaine en le dĂ©clinant en plusieurs numĂ©ros. Chaque Ă©mission est constituĂ©e d’entretiens et d’extraits d’archives. ThĂšmes autour du cinĂ©ma CinĂ©ma et ethnologie juin 1979, Le dĂ©sir d’Orient le cinĂ©ma colonial 04/01/1996, Le Festival de Cannes mai 2002, Roman policier et cinĂ©ma juillet 2007, Histoire de l’histoire du cinĂ©ma octobre 2007, etc. Une Histoire du cinĂ©ma français, Les Nuits de France Culture, France Culture, pro Phillipe Esnault, Arnaud Laporte, 1995, 5 Ă©missions, 2 heures Philippe Esnault raconte l’histoire du cinĂ©ma, depuis les techniques de reproduction du mouvement, qui prĂ©cĂšdent la naissance du cinĂ©matographe, jusqu’aux grosses productions des annĂ©es 70 en passant par le rĂŽle jouĂ© par les frĂšres PathĂ© dans l’industrie du cinĂ©ma, le fonctionnement des premiers cinĂ©mas, l’arrivĂ©e du parlant, la censure, la politique des auteurs, la Nouvelle vague, etc. Histoire de l’histoire du cinĂ©ma, Les Chemins de la connaissance, France Culture, pro Gabrielle Hachard, 2000, documentaire, sĂ©rie, 5 Ă©pisodes, 30 min. Comment a-t-on racontĂ© le cinĂ©ma et dans quel but ? Comment le cinĂ©ma en tant que discipline a-t-il Ă©voluĂ© ? Ce sont les questions que pose Gabrielle Hachard dans son Ă©mission consacrĂ©e au cinĂ©ma. Gabrielle Hachard Par-delĂ  la chronologie et l’énumĂ©ration des chefs-d’oeuvre une histoire technologique du cinĂ©ma, Ă©conomique ou bien sociologique a vu le jour. Pour examiner les consĂ©quences de ces nouvelles lectures, nous prendrons successivement l’exemple de la naissance du cinĂ©ma, du cinĂ©ma allemand et de la Nouvelle Vague.
 » Une Histoire du cinĂ©ma, Les nuits de France Culture, pro Jean Douchet, Ă©tĂ© 2007, sĂ©rie, 25 Ă©pisodes, 30min SĂ©rie d’émissions simples par rĂ©alisateurs, produites et prĂ©sentĂ©es par Jean Douchet, spĂ©cialiste du cinĂ©ma. Exemple d’émissions Les frĂšres LumiĂšre, MĂ©liĂšs Griffith Chaplin, Keaton Sjöstrom, Stiller Von Stroheim ; Eisenstein, Vertov Murnau ; Fritz Lang ; Dreyer ; Joseph von Sternberg Alfred Hitchcock Lubitsch, Pagnol, Guitry Jean Renoir ; John Ford Orson Welles ; Misogushi ; Yasujiro Ozu ; Rossellini Robert Bresson, Ingmar Bergman Luis Bunuel ; Vincente Minnelli, Max Ophuls ; Nicholas Ray Stanley Kubrick ; Jean Luc Godard ; Et tant d’autres ZOOM SUR Les Archives Sonores du CinĂ©ma Français Fonds clos, audio, constituĂ© essentiellement d’entretiens, rushes non diffusĂ©s, avec des personnalitĂ©s du cinĂ©ma français, enregistrĂ©s et collectĂ©s par Philippe Esnault 1930-2008, producteur Ă  France Culture depuis 1962 ConnaĂźtre le cinĂ©ma, CinĂ©magazine, CinĂ©romans, A Voix Nue, Salle de rĂ©daction, Heure de culture française
., historien du cinĂ©ma, cinĂ©aste et Ă©crivain. Ces entretiens ont Ă©tĂ© en particulier utilisĂ©s pour la sĂ©rie d’émissions d’étĂ© CinĂ©romans de Philippe Esnault, diffusĂ©e du 16 au 27 aoĂ»t 1982 sur France Culture. Bande 35 mm – enregistrement d’un concert diffusĂ© Ă  la radio – photographe Louis Joyeux INA Ce fonds inĂ©dit, en cours d’inventaire et traitement, est constituĂ© de 207 documents, 342 heures. Il couvre la pĂ©riode 1948-1995. Philippe Esnault interroge des personnalitĂ©s emblĂ©matiques du cinĂ©ma français sur l’ensemble de leur parcours personnel et professionnel. Les entretiens durent 1H30 en moyenne des entretiens trĂšs longs avec RenĂ© ClĂ©ment 11H, Jean DrĂ©ville 6H, Alberto Cavalcanti 3H, Jean Mitry 9H30, Claude Heymann 5H, Claude Autant-Lara 9H, Yves AllĂ©gret 6H30, RenĂ© Clair 4H, Jean Delannoy 7H, Raoul Ploquin 9H30, Jean-Paul Le Chanois 10H
. On trouve aussi des extraits de films, chansons, journaux d’actualitĂ©, documentaires. Philippe Esnault, photographe Dominique Gonot INA Philippe Esnault tente d’organiser la mĂ©moire du cinĂ©ma français avec les derniers tĂ©moins des diffĂ©rents courants cinĂ©matographiques, depuis l’apogĂ©e du muet jusqu’à la Nouvelle Vague. Ce fonds est un tĂ©moignage sur l’histoire du cinĂ©ma français depuis ses dĂ©buts en 1895, le cinĂ©ma muet des annĂ©es 20 ou l’Impressionnisme français, les films historiques muets, les dĂ©buts du parlant, l’ñge classique de 1930 Ă  1945, le cinĂ©ma français sous l’Occupation ou l’ñge d’or, et enfin le cinĂ©ma d’aprĂšs-guerre. Il propose un Ă©clairage sur l’histoire des studios La Paramount Ă  Saint Maurice, PathĂ©-FrĂšres Ă  Joinville, La Victorine Ă  Nice, Les Studios d’Epinay
. Le rĂŽle Ă©conomique et idĂ©ologique des sociĂ©tĂ©s de productions comme la Continental-Films, la Tobis-Klangfilm 
Le rĂŽle du COIC, ComitĂ© d’organisation de l’industrie cinĂ©matographique, sous Vichy ancĂȘtre du CLC et du CNC Il Ă©voque les conditions de tournage et de doublage Il offre des tĂ©moignages sur des personnages-clĂ©s tels que PrĂ©vert, L’Herbier, Gance, Feyder, Cocteau, Langlois, Gabin, Morgan, Arletty, Jouvet, Raimu, Fernandel
 Tous les mĂ©tiers du cinĂ©ma sont reprĂ©sentĂ©s avec les voix des producteurs, directeurs de la photographie, camĂ©ramans, scĂ©naristes, comĂ©diens, assistants, critiques de cinĂ©ma, bruiteurs, monteurs, dĂ©corateurs, documentaristes
 Il est le reflet des Ă©volutions techniques et artistiques depuis les dĂ©buts du cinĂ©ma Voir aussi le fonds L’Image et la mĂ©moire, dĂ©posĂ© Ă  la BnF Dans les sources Ă©crites La Revue du cinĂ©ma, dir. de publication Aron Robert, Jean Georges Auriol, Denise Tual, pĂ©riodique, Gallimard, Librairie JosĂ© Corti, – Cette revue constitue un modĂšle pour de nombreuses revues critiques en traitant le cinĂ©ma comme un art Ă  part entiĂšre au mĂȘme titre que la littĂ©rature ou le théùtre, ce qui Ă©tait peu le cas auparavant. Histoire du cinĂ©ma Tome 1 Vie et mort du cinĂ©matographe », de 1895 Ă  1930, paru en 1961 ; Tome 2 L’étape du film parlant » de 1927 Ă  1962 » ; paru en 1963 , collection 7Ăšme art, monographie, Pierre Leprohon, Editions du cerf, 288 pages Pierre Leprohon explique comment le cinĂ©ma est progressivement nĂ©, Ă©voquant ses dĂ©buts puis les premiĂšres techniques cinĂ©matographiques, l’arrivĂ©e du parlant, etc. Histoire gĂ©nĂ©rale du cinĂ©ma 1. L’Invention du cinĂ©ma 1832-1897 ; 2. Les Pionniers du cinĂ©ma de MĂ©liĂšs Ă  PathĂ© 1897-1909 ; 3. Le CinĂ©ma devient un art 1909-1920, premier volume l’avant guerre ; 4. Le CinĂ©ma devient un art 1909-1920, deuxiĂšme volume la premiĂšre guerre mondiale ; 5. L’Art muet de 1919 Ă  1929 ; monographie, Georges Sadoul, collection DenoĂ«l, 1973 ConsidĂ©rĂ© par l’éditeur DenoĂ«l comme une vĂ©ritable Bible pour les cinĂ©philes, ce cĂ©lĂšbre ouvrage de Georges Sadoul divisĂ© en cinq tomes reprend des Ă©lĂ©ments clĂ©s de l’Histoire du cinĂ©ma. Dans le premier ouvrage, il fait l’histoire de la genĂšse du cinĂ©matographe en passant, entre autres, par les inventions de Muybridge, Edison, Marey, Reynaud. Dans le tome 2, il explique les trucages de MĂ©liĂšs, le mouvement amĂ©ricain par Blackton aux Etats-Unis, la naissance du dessin animĂ©, l’arrivĂ©e du producteur Charles PathĂ©. Dans le tome 3, il montre comment l’AmĂ©rique prend la premiĂšre place dans l’industrie du cinĂ©ma, remplaçant la France. Dans le tome 4, il explique comment le cinĂ©ma finit par ĂȘtre exploitĂ© dans le but de propagande politique et sociale, notamment avec Naissance d’une nation de Griffith. Il raconte aussi les dĂ©buts des cinĂ©astes reconnus comme Abel Gance et Charlie Chaplin. Enfin, dans le tome 5, Georges Sadoul fait un vaste panorama du cinĂ©ma muet Ă  travers l’Europe selon l’éditeur DenoĂ«l, en prĂ©sentant des grands metteurs en scĂšne de l’époque comme Jacques Feyder, Marcel Lherbier, Protanazov, Fisenten, Lubitsch et Fritz Lang. Cinema et Histoire du cinĂ©ma, Les Cahiers de la cinĂ©mathĂšque pĂ©riodique Ce pĂ©riodique rassemble des articles expliquant l’intime lien du cinĂ©ma Ă  l’Histoire, comment on s’est servi du cinĂ©ma pour faire l’Histoire ; c’est Ă  dire, les liens entre l’histoire et le cinĂ©ma, entre la propagande et le cinĂ©ma, la rĂ©volution française vue par le cinĂ©ma allemand, etc. Il y est aussi question de sĂ©miologie du cinĂ©ma, de l’histoire du cinĂ©ma, de sa naissance avec les premiers films, des films de montage, de MĂ©liĂšs etc. Trois cents ans de cinĂ©ma, Les Cahiers du cinĂ©ma, la CinĂ©mathĂšque française , pĂ©riodique, Henri Langlois, 1986 RĂ©sumĂ© Ă©diteur Trois cents ans de cinĂ©ma – c’est le titre repris de l’un des nombreux articles d’Henri Langlois. 
 Toute son existence fut consacrĂ©e Ă  une passion absolue et intransigeante sauver les films de la destruction, les sortir de l’oubli, les montrer pour tisser le fil de l’histoire du cinĂ©ma par-delĂ  le temps et les frontiĂšres, Ă©tablir un pont entre les pionniers et les cinĂ©astes de demain. 
 Trois cents ans de cinĂ©ma reprend les plus importants de ses articles. De longueur et de nature trĂšs diverses, ils sont consacrĂ©s aussi bien Ă  l’histoire du cinĂ©ma et aux vicissitudes de la CinĂ©mathĂšque française, qu’à des Ă©coles nationales ou Ă  des personnalitĂ©s marquantes du cinĂ©ma ». Les Grandes â€œĂ©coles” esthĂ©tiques, CinĂ©maction, numĂ©ro 55, pĂ©riodique RĂ©sumĂ© Ă©diteur Tout se passe comme si l’histoire du cinĂ©ma traversait, de temps en temps, des pĂ©riodes d’intense Ă©briĂ©tĂ© crĂ©atrice au cours desquelles des cinĂ©astes se retrouvent, provisoirement, autour d’un programme esthĂ©tique ou thĂ©matique. Objectif, presque toujours rompre des lances avec le cinĂ©ma de papa, des commerçants ou des gouvernements, de l’acadĂ©misme et de la convention, pour proposer une nouvelle vision du cinĂ©ma, du monde et de la vie. 
 Trois petits tours et puis s’en vont la nouvelle Ă©cole dure en gĂ©nĂ©ral, sinon ce que durent les roses, du moins rarement plus de cinq, dix, quinze ans. 
 Ce numĂ©ro propose une prĂ©sentation pĂ©dagogique de quinze de ces Ă©coles pour l’édification des nouvelles gĂ©nĂ©rations et pour l’utilitĂ© des enseignants. 
 » De l’Histoire du cinĂ©ma. MĂ©thode historique et histoire du cinĂ©ma, collection Armand Collin, monographie, MichĂšle Lagny, 1992, 298 pages RĂ©sumĂ© Ă©diteur Pourquoi et comment faire de l’histoire du cinĂ©ma ? C’est la question que traite cet ouvrage qui n’est ni un rĂ©sumĂ© d’histoire du cinĂ©ma, ni une tentative pour saisir l’histoire gĂ©nĂ©rale Ă  travers les films. L’histoire du cinĂ©ma en effet est souvent peu considĂ©rĂ©e par les historiens, mĂȘme lorsque ceux-ci utilisent les films comme documents historiques. Elle sait pourtant ĂȘtre rigoureuse quand elle adopte les principes, briĂšvement exposĂ©s ici, qui rĂšglent la recherche en histoire. 
 » 2 – Causeries et dĂ©bats autour du cinĂ©ma Les diffĂ©rentes crises qu’a subies le cinĂ©ma ont Ă©tĂ© le sujet de nombreux dĂ©bats, notamment autour de la censure, de la concurrence avec la tĂ©lĂ©vision, de celle d’internet et mĂȘme de l’arrivĂ©e, aujourd’hui, de plate-formes de streaming comme Netflix. Des personnalitĂ©s se rĂ©unissent et discutent du statut du cinĂ©ma, de son Ă©volution et de son avenir. De plus, le cinĂ©ma est un art que l’on vit collectivement en Ă©tant assis les uns Ă  cĂŽtĂ© des autres dans la mĂȘme salle, mais que l’on reçoit individuellement en l’intĂ©riorisant et en faisant travailler sa mĂ©moire sur les souvenirs Ă©voquĂ©s par les images. Cela pose alors la question de l’apprĂ©ciation de tel ou tel film, ce qui suscite des discussions autour des sorties cinĂ©matographiques de la semaine. A la tĂ©lĂ©vision L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot, retour sur un film maudit, Le Ring, La ChaĂźne Info, prĂ© Michel Field, magazine, dĂ©bat, 41 minutes La collection Ring organise des dĂ©bats sur les thĂšmes d’actualitĂ© du jour avec les meilleurs spĂ©cialistes et les grandes signatures de la presse. L’émission consacrĂ©e Ă  l’Enfer d’Henri Georges Clouzot accueille Serge Bromberg, producteur et auteur du livre Les images inconnues du film inachevĂ© d’ Clouzot Albin Michel ; Jacques Douy, dĂ©corateur de cinĂ©ma ; Serge Toubiana, directeur gĂ©nĂ©ral de la cinĂ©mathĂšque française de 2003 Ă  2016 et EvangĂ©line Barbaru, responsable de la rubrique cinĂ©ma pour les JT de TF1. Il est question du film inachevĂ© de Clouzot que Serge Bromberg a Ă©tudiĂ© dans son documentaire L’Enfer d’Henri Georges Clouzot Ă©galement consultable Ă  l’INA thĂšque. Il est Ă©galement question de d’autres films qui ont connu un moment difficile dans l’histoire du cinĂ©ma. Blow up Le web magazine cinĂ©ma d’Arte, ARTE, pro Luc Lagier, depuis le magazine, 4 minutes Luc Lagier, grand cinĂ©phile, et aimant jouer avec le montage, rĂ©alise de courtes Ă©missions dans lesquelles il prĂ©sente en voix off un cinĂ©aste ou une thĂ©matique, montant des scĂšnes qui communiquent de maniĂšre trĂšs prĂ©cise. Un regard ludique et dĂ©calĂ© sur le cinĂ©ma » d’aprĂšs le site web d’ARTE. Star Wars, le rĂ©veil de la force comment expliquer un tel engouement ?, Le DĂ©bat de France 24, France 24, prĂ© Vanessa Burggraf, dĂ©bat, 20 minutes Cette Ă©mission pose la question de l’engouement pour la saga Star Wars dont le 7Ăšme Ă©pisode vient de sortir sur les Ă©crans europĂ©ens, avec comme invitĂ© Thomas Snegaroff, historien et directeur de recherche, auteur de Je suis ton pĂšre, la saga Star Wars l’AmĂ©rique et ses dĂ©mons NaĂŻve et Renan Cros, enseignant Ă  l’universitĂ© Paris Diderot, critique Ă  CinĂ©ma Teaser. Le Sexe au cinĂ©ma les mineurs et la loi, Les TĂ©moins d’Outremer, France O, prĂ© Sabine Quindou, magazine, dĂ©bat, 52 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Sabine Quindou donne la parole aux citoyens grĂące Ă  une plateforme numĂ©rique et Ă  une application mobile dĂ©diĂ©es, elle propose aussi aux invitĂ©s prĂ©sents en plateau de dĂ©battre et surtout de rĂ©agir Ă  ces contributions venues des territoires d’Outre-mer. Dans ce numĂ©ro, Sabine Quindou reçoit dans une premiĂšre partie Catherine Ruggeri, prĂ©sidente supplĂ©ante de la commission de classification des films, Justine Altan, directrice de l’association e-enfance et Gilles-Marie Valet, pĂ©dopsychiatre, pour rĂ©pondre aux questions des internautes sur la protection de l’enfance et de la jeunesse face aux scĂšnes de sexe au cinĂ©ma et Ă  la tĂ©lĂ©vision. Cette Ă©mission est consacrĂ©e Ă  Ă©tudier la façon dont on protĂšge juridiquement les mineurs des scĂšnes de sexes et de violence, et Ă  savoir Ă  quel Ăąge l’enfant peut choquĂ© par des scĂšnes de ce genre. Hollywood e, Canal +, rĂ©a Didier Allouch, documentaire, 26 minutes Documentaire consacrĂ© Ă  l’affaire Weinstein Ă  l’automne 2017, aux tĂ©moignages d’actrices pour harcĂšlement sexuel, agressions sexuelles et viols dans la mouvance Metoo. Ce documentaire pose Ă©galement la question de la place des femmes dans le cinĂ©ma et leur considĂ©ration. Jane Fonda, Anne Hathaway et d’autres personnalitĂ©s s’expriment sur cette actualitĂ©. A la radio Tribune de Paris, Chaine nationale 1946-1958, 123 documents reliĂ©s au cinĂ©ma Des professionnels, artistes et journalistes dĂ©battent sur des sujets problĂ©matisĂ©s. Exemples Le Film sur l’art trahit-il l’art ? 29/01/1952, Faut-il faire du cinĂ©ma pour les enfants ? 24/05/1949, Qui est l’auteur d’un film ? 20/02/1946, Le cinĂ©ma et l’éducation sexuelle 27/06/1951, Le cinĂ©ma instrument de culture populaire 19/07/1946, La tĂ©lĂ©vision tuera-t-elle le cinĂ©ma ? CinĂ©ma et morale ; le cinĂ©ma peut-il traiter tous les sujets ?, Tribune de Paris Les hommes, les Ă©vĂ©nements, les idĂ©es Ă  l’ordre du jour, Programme National, pro Armand Lanoux, Henri Jeanson, 1951, 17 minutes DĂ©bat entre les journalistes sur la diffusion de films et sur la necessitĂ© d’une censure. Pour qui censure-t-on ? Quel rĂŽle doivent jouer les rĂ©alisateurs ? Tout le monde peut-il se rendre au cinĂ©ma ? Sont les questions sous-jacentes de ce dĂ©bat. Faut-il faire des films pour les enfants ?, Tribune de Paris Les hommes, les Ă©vĂ©nements, les idĂ©es Ă  l’ordre du jour, Programme National, pro Paul Peronnet, 1949, 19 minutes Faut-il faire des films pour les enfants ? Paul Peronnet anime le dĂ©bat, entourĂ© de Pierre Laroche, scĂ©nariste, AndrĂ© Vigneau, rĂ©alisateur, Georges Altman, critique de cinĂ©ma AndrĂ© Carre, ancien secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du scoutisme français, AndrĂ© Basdevent, de la direction de la Jeunesse et des Sports. Il est question, entre autre, dans ce dĂ©bat, du danger du cinĂ©ma pour la jeunesse, du rĂŽle Ă©ducatif des films, de ce qu’aiment les enfants, des films jouĂ©s par des enfants et de la rentabilitĂ© des films pour enfants. Qui est l’auteur d’un film ?, Tribune de Paris Les hommes, les Ă©vĂ©nements, les idĂ©es Ă  l’ordre du jour, Programme National, pre Paul Guimard, 19 minutes Paul Guimard mĂšne le dĂ©bat entre Marcel L’Herbier, Jean Gremillon, Henri Jeanson, Pierre Laroche et Claude Autant Lara sur la question “qui est l’auteur d’un film ?” Avec le dĂ©veloppement du cinĂ©ma parlant, le scĂ©nariste prend un rĂŽle important et peut disputer la paternitĂ© de l’oeuvre cinĂ©matographique au metteur en scĂšne. Chaque invitĂ© donne son avis en s’appuyant sur des exemples de films PĂ©pĂ© le Moko, La vie de BohĂšme, Boule de suif; l’importance de l’industrie cinĂ©matographique dans un contexte de redressement Ă©conomique de la France. Le Masque et la plume, Paris Inter, 1956 – , pro Pierre Bouteiller, Michel Polac, François Bastide, Martine Rabaudy, magazine, dĂ©bat, 2202 notices “Le Masque et la plume”, dont 655 consacrĂ©es au cinĂ©ma Magazine hebdomadaire de la critique cinĂ©matographique, théùtrale ou littĂ©raire créé en janvier 1956 et toujours Ă  l’antenne. Chaque Ă©mission est enregistrĂ©e en public et traite d’un seul thĂšme avec des journalistes invitĂ©s qui font leurs critiques, pertinentes et souvent caustiques, sur l’actualitĂ© du domaine concernĂ©. Le Masque et la Plume est prĂ©sentĂ© par François RĂ©gis Bastide et Michel Polac jusqu’en 1970 puis par François RĂ©gis Bastide seul jusqu’en 1982. Puis c’est Pierre Bouteiller qui lui succĂšde jusqu’en octobre 1989, relayĂ© alors par JĂ©rĂŽme Garcin. Quelques Ă©missions spĂ©cifiques reçoivent parfois un auteur, un rĂ©alisateur, ou un acteur. Ces dĂ©bats sont cĂ©lĂšbres et ont Ă©tĂ© marquĂ©s notamment par les joutes oratoires du duo Jean Louis Bory – Georges Charensol autour d’une sĂ©lection de films rĂ©cemment sortis en salle de cinĂ©ma. Faut-il sauver Le cinĂ©ma français ?, Le grand dĂ©bat, France Culture, pro Patrice GĂ©linet, 1 heure Au sujet d’une possible crise du cinĂ©ma français, en regard Ă  la baisse de la frĂ©quentation des salles Ă  cause de la tĂ©lĂ©vision notamment. Cette Ă©mission traite de façon Ă©conomique la possible crise du cinĂ©ma français, interrogeant l’offre du cinĂ©ma français par rapport au cinĂ©ma amĂ©ricain, la concurrence de la tĂ©lĂ©vision, l’offre des producteurs et distributeurs indĂ©pendants, etc. Grand angle, France Culture 1984-1999 Magazine de reportages dont une vingtaine de sujets reliĂ©s au thĂšme du cinĂ©ma, approchĂ© sous un angle sociopolitique. ThĂšmes Les CinĂ©astes du rĂ©el ou l’humilitĂ© du regard 18/03/1995, Y-a-t-il une crise du cinĂ©ma en France ? 03/09/1988, A quoi servent les impresari ? 27/05/1989, Le physique de l’emploi ou ĂȘtre figurant 19/03/1994, Le CinĂ©ma documentaire et le monde arabe 06/07/1996, etc. Le CinĂ©ma l’aprĂšs midi, France Culture, pro Claire Vasse, 2003-2006, 137 documents, 50 minutes [RĂ©sumĂ© producteur] Le CinĂ©ma l’aprĂšs-midi se propose de rendre compte de l’actualitĂ© du cinĂ©ma en donnant la parole Ă  un petit club de cinĂ©astes. Chaque samedi, trois ou quatre d’entre eux se retrouveront pour dĂ©battre de deux ou trois Ă©vĂ©nements sorties de films, livres, festivals et, selon leur envie, prĂ©senter un coup de coeur de leur choix. Ni dĂ©bat entre critiques, ni entretien avec un rĂ©alisateur sur son propre travail, l’enjeu est de susciter un regard diffĂ©rent sur le cinĂ©ma celui d’artistes eux-mĂȘmes engagĂ©s dans une dĂ©marche de crĂ©ation et qui confrontent leurs visions. Le pari est que leur angle d’approche diffĂšre de celui de la critique et que leur amour du cinĂ©ma s’exprime d’une autre maniĂšre que dans leurs films. Bien plus qu’à leur jugement, nous en appelons Ă  leur complicitĂ©. Parler de ce qu’ils aiment avant tout et qu’à travers cet amour transparaisse le mouvement d’un esprit crĂ©atif, ce qui le touche, l’inspire. Membres du club Mathieu Amalric, Lucas Belvaux, Catherine Breillat, Emmanuel Finkiel, Nicole Garcia, Philippe Grandrieux, Tonie Marshall, Claude Miller et Marie Vermillard. Le Festival Panafricain du CinĂ©ma et de la TĂ©lĂ©vision de Ouagadougou, DĂ©bat africain, Radio France Internationale, pro Madeleine Mukamabano, rĂ©a StĂ©phanie Villeneuve, prĂ© Vincent Garrigues, prĂ© BĂ©rĂ©nice Balta, 50 minutes A l’issue du Festival de cinĂ©ma et de tĂ©lĂ©vision de Ouagadougou, Fespaco, Mimi Dialo, comĂ©dienne et productrice ; Christian Lambert, Ă  l’origine du CinĂ©ma NumĂ©rique Ambulant CINA, qui porte des films au Niger, au BĂ©nin et au Mali ainsi que Gaston KaborĂ©, rĂ©alisateur de l’institut de formation Imagine et professeur camerounais d’histoire et de sciences politiques dĂ©battent sur la production cinĂ©matographique africaine. Il est Ă©galement question du festival panafricain Ouagadougou et de la victoire de Drum de Zola Maseko, rĂ©alisateur sud africain. Pendant les travaux, le cinĂ©ma reste ouvert, France Inter, pro Jean Baptiste Thoret, pro StĂ©phane Bou, 2012, magazine, 144 Ă©missions 42 minutes Dans ce magazine, StĂ©phane Bou et Jean Baptiste Thoret dĂ©battent sur des sujets spĂ©cifiques de maniĂšre critique tout en faisant, Ă  leur maniĂšre, une histoire ludique du cinĂ©ma. Des spĂ©cialistes viennent partager leurs connaissances sur un thĂšme prĂ©cis. Des extraits d’archives sonores alimentent le dĂ©bat. Exemples d’émissions Sommes-nous tous des zombies ? ; Y a-t-il un meilleur film d’Hitchcock ? ; Savons nous Ă©couter la musique de film ? ; De Blow up Ă  Blow out, de quoi les images sont-elles coupables ? ; A quoi servent les nazis au cinĂ©ma ? ; Le cinĂ©ma porno fait-il encore bander ? CinĂ©-dĂ©bat, Le sept neuf du dimanche, France Inter, prĂ© Jean-Christophe Buisson, prĂ© Fabienne Pascaud, DĂ©bat, 6 minutes DĂ©bat sur l’actualitĂ© cinĂ©matographique, prĂ©sentation des films qui sont ou vont ĂȘtre prochainement Ă  l’affiche. En partenariat avec TĂ©lĂ©rama et le Figaro magazine. 3 – Jeux tĂ©lĂ©visĂ©s Monsieur CinĂ©ma, Antenne 2, 1967-1980, 390 documents Pierre Tchernia est le prĂ©sentateur de ce jeu qui succĂšde Ă  SeptiĂšme art, septiĂšme case et dont les candidats doivent faire valoir leur culture cinĂ©matographique en devinant des films et en rĂ©pondant Ă  des questions. Une personnalitĂ© du cinĂ©ma acteur, rĂ©alisateur, compositeur est prĂ©sente Ă  chaque numĂ©ro pour faire la promotion de son film Ă  l’affiche. Mardi CinĂ©ma, Antenne 2, pro Jacques Rouland, pro Pierre Tchernia 1982-1988, 323 documents Pierre Tchernia anime cette Ă©mission de divertissement composĂ©e de sĂ©quences de discussions entre les personnalitĂ©s du cinĂ©ma invitĂ©s sur le plateau, et, des sĂ©quences de jeu dĂ©partageant des Ă©quipes reprĂ©sentĂ©es par les invitĂ©s. Il s’agit de rĂ©pondre Ă  des questions et trouver le nom d’un film ou d’une personnalitĂ© Ă  partir de documents filmĂ©s ou photographiques. 24 œ, France 5, 2003-2004, rĂ©a Sylvain BergĂšre, 51 minutes Quatre candidats sont soumis Ă  24 questions qui tournent autour de l’actualitĂ© du cinĂ©ma, sorties en salles, sorties DVD de films rĂ©cents ou anciens. 24 œ » est le chiffre se situant entre le nombre d’image par seconde du cinĂ©ma et de la tĂ©lĂ©vision. Les 24 questions, inspirĂ©s par les bande-annonce, sont rĂ©parties en six questionnaires de quatre questions. La bande-annonce d’une sortie en salles ou en DVD d’un film rĂ©cent ou plus ancien fournit la thĂ©matique de chaque questionnaire. Les questions portent sur le rĂ©alisateur, les acteurs, des extraits ou d’autres Ă©lĂ©ments du film choisi. Le niveau de difficultĂ© est croissant pour chaque sĂ©rie de questions. Le jeu du comĂ©dien, TPS Star, 2009-2010, rĂ©a Wilfried Weller, 15 minutes [RĂ©sumĂ© producteur source iMedia] Le nom d’un comĂ©dien est proposĂ© aux deux candidats de ce jeu cinĂ©philique. Ceux-ci doivent citer tour Ă  tour le plus grand nombre de films dans lesquels ce comĂ©dien tient un rĂŽle principal ou secondaire. Deux personnalitĂ©s du 7Ăšme art, le plus souvent des acteurs, assistent chaque candidat. 
 » 4 – Entretiens et portraits A la tĂ©lĂ©vision ThĂšmes et variations du cinĂ©ma, 2Ăšme chaine 1966-1970, 25 documents L’émission est constituĂ©e d’extraits de films et d’interviews rĂ©unis autour d’un thĂšme et dĂ©clinĂ©s Ă  partir d’une Ɠuvre ou d’un cinĂ©aste. La collection est produite par Armand Panigel. Sujets Les docteurs Mabuse 29/05/1967, Adapter Emile Zola 29/04/1968, Ceux de 14-18 vus par le cinĂ©ma 18/11/1968, L’enfance au cinĂ©ma 19/05/1969, RomĂ©o et Juliette 10/11/1969 Le Petit cinĂ©ma de Georges de Caunes, 2Ăšme chaine 1970, 5 documents SĂ©rie de cinq Ă©missions d’entretiens avec des actrices françaises, interviewĂ©es par Georges de Caunes Marie-France Pisier, Marthe Keller, Catherine Jourdan, Elisabeth Wiener, Cathy Rosier. Des extraits de films accompagnent la conversation. Vive le cinĂ©ma, 2Ăšme chaine 1972-1973, 11 documents Produite par Janine Bazin et AndrĂ© Labarthe, l’émission reçoit chaque mois une ou plusieurs personnalitĂ©s du cinĂ©ma. InvitĂ©s François Truffaut, Michel Serrault, Jean-Claude Brialy 13/02/1972, Jeanne Moreau 26/03/1972, Lucien Bodart Remo Forlani 28/01/1973, etc. CinĂ©ma cinĂ©mas, 82 Ă©pisodes, Antenne 2, pro Anne Andreu, pro Michel Boujut, pro Claude Ventura, magazine, 1 heure Magazine cinĂ©matographique composĂ© de plusieurs sĂ©quences sans plateau Ă  l’éclectisme rĂ©solu entretiens, hommages, extraits de films, tournages, documents d’archives, lettres de cinĂ©astes. PĂ©riodicitĂ© mensuelle, le mardi au dĂ©but, puis le dimanche, et enfin le samedi pour les quatre derniĂšres, toujours en deuxiĂšme partie de soirĂ©e. La sĂ©rie s’achĂšve aprĂšs 82 numĂ©ros en juin 1990 et renaĂźt en novembre de la mĂȘme annĂ©e sous le titre de CinĂ©ma CinĂ©mas deuxiĂšme. CinĂ©ma de notre temps, Arte 1993-2003, rĂ©a Janine Bazin, AndrĂ© Sylvain Labarthe, documentaire, portraits, sĂ©rie, 56 documents SĂ©rie de portraits Ă  base d’entretiens et montages d’archives de cinĂ©astes ou rĂ©alisateurs Pasolini l’enragĂ© 09/04/1993, The Scorsese machine 31/10/1993, Imamura le libre penseur 12/04/1995, Dialogue entre Fritz Lang et Jean-Luc Godard 11/01/1995, Melville portrait en neuf poses 28/06/1996, Bresson ni vu ni connu 23/04/1997, Ari Kaurismaki l’irrĂ©ductible 18/07/2001, etc. Remontage de “CinĂ©astes de notre temps“ 100 ans de cinĂ©ma, Arte 1995, documentaire, portraits, sĂ©rie, 25 documents Collection produite Ă  l’occasion du centenaire du cinĂ©ma, se situant entre le documentaire et le portrait. Le principe un cinĂ©aste fait dĂ©couvrir le cinĂ©ma de son pays. ThĂšmes Tipically British le cinĂ©ma britannique par Stephen Frears 14/04/1995, Le cinĂ©ma japonais par Nagisa Oshima 21/04/1995, Le cinĂ©ma allemand par Edgar Reitz 30/04/1995, Un voyage avec Martin Scorsese Ă  travers le cinĂ©ma amĂ©ricain 29/05/1995 etc.. Rencontres de cinĂ©ma, Rencontres, Canal +, prĂ© Laurent Weil, 18 minutes Laurent Weil interview des personnalitĂ©s qui font l’actualitĂ© cinĂ©matographique. Alternent avec l’interview des extraits de films et de bande annonce. A la radio Des idĂ©es et des hommes, ChaĂźne nationale 1949-1959 , 363 documents dont 9 consacrĂ©s au cinĂ©ma Jean Amouche s’entretient avec diffĂ©rents invitĂ©s RenĂ©-Georges Clouzot 25/02/1950, Edgar Morin pour Le CinĂ©ma et l’homme du XXĂšme siĂšcle 01/12/1956, Vittorio De Sica 31/03/1951, Robert Bresson 10/06/1950, La Filmologie 21/10/1950, etc. Entretiens Rencontre avec RenĂ© Clair, ChaĂźne nationale 1951, 13 documents SĂ©rie d’entretiens avec le cinĂ©aste RenĂ© Clair produite par RenĂ© Charensol et Roger RĂ©gent, avec la participation de GĂ©rard Philippe, François Perrier
 Le CinĂ©ma des cinĂ©astes, France Culture 1976-1985, 452 documents Produite et prĂ©sentĂ©e par Claude-Jean Philippe, l’émission est constituĂ©e d’entretiens ou de portraits de cinĂ©astes et de figures marquantes du milieu du cinĂ©ma François Truffaut 01/02/1976, Jacques Demy 22/02/1976, BenoĂźt Jacquot 25/04/1976, Jean-Luc Godard 11/07/1976, Henri Langlois 23/01/1977, Jacques Tati 17/04/1977, Jean Rouch 26/03/1978, Eric Rohmer 25/02/1979, Maurice Pialat 09/09/1979, etc. Le Bon plaisir, France Culture 1984-2003, 100 documents consacrĂ©s Ă  des personnalitĂ©s du cinĂ©ma Entretiens-portraits de cinĂ©astes, auteurs, comĂ©diens, rĂ©alisateurs, etc. Exemples RenĂ© ClĂ©ment 17/05/1997, Roman Polanski 07/12/1996, Youssef Chahine 22/11/1997, Anna Karina 31/01/1998, Jean Rochefort 12/12/1998, Olivier Assayas et Catherine Deneuve 15/05/1999, Bertrand Blier 14/07/2003, etc. Les Nuits magnĂ©tiques, France Culture 1988-2005. Environ 50 documents reliĂ©s au thĂšme du cinĂ©ma Collection documentaire. Des spĂ©cialistes apportent des Ă©lĂ©ments de rĂ©flexion et d’explications sur un thĂšme dĂ©clinĂ© en plusieurs Ă©pisodes. ThĂšmes Les salles de cinĂ©ma mai 1989, Fellini Mondo mai 1990, Le jeune cinĂ©ma français mai 1991, Le cinĂ©ma des premiers temps juillet 1995, La Victorine en nuit amĂ©ricaine mai 1999, etc. Microfilms, France Culture 1985-1990, 312 documents Emission produite et prĂ©sentĂ©e par Serge Daney, qui s’entretient avec des cinĂ©astes invitĂ©s Ă  expliquer leur dĂ©marche, leur travail, leurs Ɠuvres, leurs influences etc. Barbet Schroeder, Eric Rohmer, Jean-Pierre Mocky, Otar Iosseliani
, etc. Le cinĂ©ma retrouvĂ©, France Culture 1994, 26 documents SĂ©rie produite et prĂ©sentĂ©e par Michel Boujut, qui s’entretient avec des personnalitĂ©s du cinĂ©ma aux sujets de films inachevĂ©s, de projets cinĂ©matographiques rĂȘvĂ©s, avortĂ©s, censurĂ©s ou inaboutis Autour du projet de L’Enfer » de Clouzot 09/08/1994, Autour du projet Air pur » de RenĂ© Clair 18/08/1994, Autour du projet JĂ©sus de Nazareth » de Carl Dreyer 29/08/1994, etc. Ca commence comme ça, France Inter 1999, 6 documents Portraits-entretiens produits par Michel Boujut et diffusĂ©e durant l’étĂ© 1999. Chaque numĂ©ro s’intĂ©resse Ă  la vie et l’oeuvre d’un rĂ©alisateur Bertrand Blier, Jacques Tati, Jean-Luc Godard, Bertrand Tavernier, Jacques Becker et Claude Sautet. Alfred Hitchcock avec François Truffaut, France Culture 1999, 23 documents SĂ©rie proposĂ©e par Serge Toubiana et Nicolas Saada consacrĂ©e aux entretiens qu’Alfred Hitchcock a partagĂ© pendant une semaine avec François Truffaut en aoĂ»t 1962, alors qu’il achevait son 48Ăšme film Les Oiseaux. Le cinĂ©aste amĂ©ricain Ă©voque toute son Ɠuvre et sa carriĂšre avec son confrĂšre. Bandes Ă  part, France Culture 2001-2003, 17 documents Magazine mensuel produit par Serge Toubiana, consacrĂ© au cinĂ©ma et construit Ă  base d’archives et d’entretiens. Il s’agit la plupart du temps de dresser un portrait-documentaire de rĂ©alisateurs ou, quelquefois, d’aborder un thĂšme plus large, moins personnalisĂ© sur un auteur particulier. Sujets Comment Eric Rohmer filme l’Histoire 16/09/2001, Qui ĂȘtes-vous Jacques Rozier ? 11/11/2001, Maurice Pialat 30/06/2002, Quand le cinĂ©ma s’expose 14/04/2002, Le CinĂ©ma Ă  l’heure du numĂ©rique 26/02/2003, Autour de Louis Malle 26/03/2003, etc. Ouvrez l’Ɠil et le bon !, France Inter 2003, 39 documents FrĂ©dĂ©ric Bonnaud et Rebecca Manzoni consacrent une heure d’entretien Ă  leur invitĂ©, personnalitĂ© ou professionnel discret ayant cĂŽtoyĂ© une figure de la crĂ©ation cinĂ©matographique David Lynch, Serge Daney, Jean Eustache, Maurice Pialat, etc. CinĂ©ma et dĂ©pendances, France Inter 2004-2007, 35 documents SĂ©rie d’entretiens prĂ©sentĂ©s d’abord sous la forme d’un dialogue entre un cinĂ©aste et un technicien avec lequel il travaille Youssef Chahine, Tony Gatlif, Pierre Salvadori, Albert Dupontel, Alain Corneau
 afin d’explorer l’univers de la fabrication d’un film son, montage, scĂ©nario, tournage
. On s’fait des films, France Inter, pro Guillemette Odicino, 2016-2018, 1h 56 minutes Guillemette Odicino reçoit des invitĂ©s et discute de cinĂ©ma, utilisant des archives sonores et de films pour illustrer ses propos. Plan large, France Culture, pro Antoine Guillot, depuis septembre 2016, magazine, entretiens, 149 Ă©missions, 59 min DĂ©crite comme l’encyclopĂ©die vivante du cinĂ©ma » dans le gĂ©nĂ©rique de l’émission, et comme une heure qui fait rimer la connaissance cinĂ©philique, et le plaisir de la dĂ©couverte, pour les initiĂ©s comme pour les novices » dans la description qu’en fait France Culture. Ex B comme AndrĂ© Bazin, ; M comme Hayao Miyazaki, ; B comme John Boorman, le romantique ironiste, ; Filmer l’invisible, Mardis du cinĂ©ma, France Culture, pro Phillipe Garbit, rĂ©a Alexandra Malka, 1984-2019 325 Ă©pisodes, 1 heure 30 minutes Montage d’entretiens menĂ©s par Michel Cazenave ou un producteur diffĂ©rent, sur un thĂšme ou un cinĂ©aste prĂ©cis, extraits de bandes-son de films, d’archives. BRÈVE CHRONOLOGIE DU CINÉMA EUROPÉEN ET AMÉRICAIN À TRAVERS LES FONDS DE L’INA Nous nous intĂ©resserons ici aux grandes dĂ©couvertes et Ă©volutions techniques et esthĂ©tiques qui ont impactĂ© le cinĂ©ma en Europe et aux Etats-Unis et qui sont traitĂ©es dans de nombreux sujets radiophoniques ou tĂ©lĂ©visuels consultables Ă  l’INA. Nous dĂ©marrerons par les dĂ©buts du cinĂ©ma au moment du muet et nous terminerons avec les Ă©coles et courants esthĂ©tiques. 1 – De la naissance du cinĂ©ma Ă  l’arrivĂ©e du parlant 1895-1927 Les frĂšres LumiĂšre 1895 1895 projection du premier film de l’histoire du cinĂ©ma La Sortie de l’usine LumiĂšre Ă  Lyon TĂ©lĂ©vision et presse filmĂ©e La Mort d’Auguste LumiĂšre Ă  Lyon, ActualitĂ©s françaises, presse filmĂ©e, 1minute 16’’ La mort d’Auguste LumiĂšre est annoncĂ©e et pour l’occasion, des extraits de ses films sont montrĂ©s et on commente son activitĂ© et son importance dans le cinĂ©ma L’Arroseur arrosĂ©, 1Ăšre chaĂźne, prĂ© Pierre Tchernia, sketch Emission de Pierre Tchernia sur le thĂšme de l’arroseur arrosĂ© et prĂ©sentation d’une courte histoire de la naissance du cinĂ©ma suivie du fameux sketch des frĂšres LumiĂšre L’Arroseur arrosĂ©. Ensuite sont prĂ©sentĂ©s des sketchs sur le thĂšme de l’arroseur arrosĂ© pour rendre hommage aux frĂšres LumiĂšre. Les Films LumiĂšre, rĂ©a Louis LumiĂšre, Auguste LumiĂšre, France 2, 1995, 391 courts mĂ©trages A l’occasion du centiĂšme anniversaire du cinĂ©ma, rĂ©trospective des films du catalogue des “Vues pour cinĂ©matographe” d’Antoine LumiĂšre et de ses fils. Chaque jour du 1er janvier au 31 dĂ©cembre est diffusĂ© un court mĂ©trage d’une minute environ, noir et blanc et muet, tournĂ© Ă  la fin du 19Ăšme siĂšcle. Ces films reflĂštent la vie de l’époque en France et Ă  l’étranger. Un commentaire anecdotique et historique a Ă©tĂ© enregistrĂ© spĂ©cifiquement pour la diffusion. CinĂ©ma des frĂšres LumiĂšre au Grand Palais, EntrĂ©e Libre, France 5, Rebecca Dreymann, reportage, 19 min A propos de l’exposition consacrĂ©e aux frĂšres LumiĂšre Visite guidĂ©e de l’exposition intitulĂ©e Et les LumiĂšre furent ! au Grand Palais Ă  Paris. Commentaire sur des images d’archives en alternance avec des images de l’exposition et des interviews de Thierry Fremaux, directeur de l’institut LumiĂšre Ă  Lyon, et de Jacques Gerber, commissaire de l’exposition. A la radio Naissance du cinĂ©ma, El cine frances, Radio France internationale, rĂ©a Jean Pierre AndrĂ©o, 30 minutes, langue espagnole Dans cette Ă©mission est racontĂ©e l’histoire des dĂ©buts du cinĂ©ma, notamment avec le rĂ©cit des inventions des FrĂšres LumiĂšres. Y sont utilisĂ©es des archives INA des voix de Georges MĂ©liĂšs, RenĂ© Dary, Musidora, Abel Gance, Henri Langlois La Naissance du cinĂ©ma, La MĂ©moire en chantant, France culture, pro RĂ©gis François Barbry, 20 min Émission autour de la mort de Louis LumiĂšre le 6 juin 1948. Emission composĂ©e Ă  base d’archives et de musique. Naissance du cinĂ©ma, Franck Ferrand, Europe 1, prĂ© Franck Ferrand, portrait, entretien, 57 minutes Emission sur la Naissance du cinĂ©ma avec un entretien de Madeleine MalthĂȘte MĂ©liĂšs, la petite fille de Georges MĂ©liĂšs. Le cinĂ©ma des frĂšres LumiĂšres, Projection privĂ©e, pro Michel Ciment, France culture, 1 heure Emission autour de l’exposition LumiĂšre ! le cinĂ©ma inventĂ© qui a eu lieu au Grand Palais Ă  Paris du 27 mars au 14 juin 2015. Sont invitĂ©s Thierry Fremaux et Jacques Gerber, les commissaires de l’exposition. Cette exposition relate les diverses inventions qui prĂ©cĂšdent et succĂšdent Ă  l’invention du cinĂ©matographe des frĂšres LumiĂšre. À travers le rĂ©cit de ces inventions notamment celles d’Edison et de MĂ©liĂšs, cette exposition relate l’Histoire du cinĂ©ma et de sa naissance. Il s’agit aussi de questionner l’enjeu de la restauration et de la conservation des films Dans les sources Ă©crites Au pays des LumiĂšre, Bernard Chardere, sous la coordination de Thierry FrĂ©maux et Bertrand Tavernier, Edition Actes Sud, 1995, livre illustrĂ© de photos, 117 pages L’Institut LumiĂšre est créé en 1982 et cĂ©lĂšbre la Naissance du cinĂ©ma. L’éditeur cite Louis LumiĂšre qui prononça Ă  la fin de sa vie “Le cinĂ©ma amuse le monde entier. Que pouvions-nous faire de mieux et qui nous donne plus de fiertĂ© ?”. Ce livre retrace les premiĂšres inventions liĂ©es au cinĂ©ma, de l’invention du mouvement vers les premiĂšres projections de films, en passant par la Camera obscura, les lanternes magiques, Muybridge et Marey, les inventions des trois membres de la famille LumiĂšre etc Les frĂšres LumiĂšre l’invention du cinĂ©ma, Jacques Rittaud-Hutinet, Edition Flammarion, 1995, 391 pages. Biographie des frĂšres LumiĂšre et de leur pĂšre dans laquelle est racontĂ©e leur tempĂ©rament, leur rythme de vie et comment ils ont Ă©tĂ© amenĂ©s Ă  rĂ©aliser toutes ces inventions. Jacques Rittaud-Hutinet nous livre de vĂ©ritables anecdotes et fascine le lecteur avec les inventions des frĂšres LumiĂšre en utilisant un certain suspens dans la narration de la vie de la famille LumiĂšre. MĂ©liĂšs 1896-1923 1897 CrĂ©ation du studio Georges MĂ©liĂšs A la tĂ©lĂ©vision MĂ©liĂšs l’enchanteur, Inf2 dimanche, 2Ăšme chaĂźne, jou Roland Mehl, magazine, 34 minutes MĂ©liĂšs l’enchanteur, livre de Madeleine MalthĂȘte-MĂ©liĂšs, donne son nom Ă  l’émission. Roland Mehl interviewe Madeleine MaltĂȘte MĂ©liĂšs, qui Ă©voque les souvenirs qu’elle a de son grand pĂšre, Georges MĂ©liĂšs, les dĂ©buts du cinĂ©ma lorsque ce dernier inventait le spectacle cinĂ©matographique avec ses diffĂ©rents trucages. A l’appui de cette discussion, des extraits de petits films de MĂ©liĂšs sont montrĂ©s. On peut voir Le Magicien, La Dislocation extraordinaire, L’Homme-orchestre, L’Homme Ă  la tĂȘte de caoutchouc, Le Brahmine et le papillon, Le Couronnement d’Edouard VII, La FĂ©e carabosse, Le Chaudron infernal. Sont aussi montrĂ©s des photographies de Georges MĂ©liĂšs, des gravures du théùtre Robert Houdin, des dessins de MĂ©liĂšs, des photos de tournage, etc. Georges MĂ©liĂšs le premier magicien du cinĂ©ma, , Libre court, France 3, pro Eric Lange, David Shepard, Serge Bromberg, courts mĂ©trages de fiction, 30min SĂ©rie de courts mĂ©trages français en noir et blanc et en couleurs, rĂ©alisĂ©s par Georges MĂ©liĂšs Le Royaume des fĂ©es, en 1903 ; Le Chevalier mystĂšre, 1899 ; L’Antre des esprits, 1901 ; Le Tonnerre de Jupiter, 1903 ; Les Cartes vivante, 1905 ; Le Chaudron infernal, 1903. Illustration le Royaume des fĂ©es de Le Voyage dans la lune, ARTE, rĂ©a Georges MĂ©liĂšs, court-mĂ©trage, fiction, version restaurĂ©e couleur, 15 minutes Le professeur Barbenfouillis entreprend d’effectuer un voyage dans la lune. AprĂšs avoir prĂ©sentĂ© le chantier de ce projet, il se rend dans la Lune accompagnĂ© de 6 savants. LĂ -bas, il rencontre d’étranges habitants qu’on appelle les SĂ©lĂ©nites. A la radio Archives sonore de la voix de MĂ©liĂšs, dans Archive Georges MĂ©liĂšs Ă  propos de l’invention des frĂšres LumiĂšre, chaine non dĂ©terminĂ©e, 1945, 3 min Georges MĂ©liĂšs explique sa rencontre avec Louis LumiĂšre, comment ce dernier vient le croiser dans les escaliers alors qu’il Ă©tait directeur du théùtre Robert Houdin. Louis LumiĂšre se rendait voir ClĂ©ment Maurice qui sera plus tard son opĂ©rateur. Il demande Ă  MĂ©liĂšs d’assister Ă  la projection, supposant que le spectacle devrait plaire Ă  quelqu’un qui aime les trucages et qui aime Ă©tonner le public. C’est ainsi que MĂ©liĂšs assista Ă  la naissance du cinĂ©ma. Documents prĂȘtĂ©s par Madeleine Malthete MĂ©liĂšs. A la rencontre de Georges MĂ©liĂšs avec Madeleine MalthĂšte MĂ©liĂšs, , Emmenez-moi, France Inter, jou Brigitte Patient, 5 min RĂ©sumĂ© producteur [Site internet] Guillaume Apollinaire disait de MĂ©liĂšs, l’inventeur du spectacle cinĂ©matographique “Monsieur MĂ©liĂšs et moi faisons Ă  peu prĂšs le mĂȘme mĂ©tier nous enchantons la matiĂšre vulgaire“. Une assertion que ne renierait certainement pas la petite fille du rĂ©alisateur de gĂ©nie, Madeleine MalthĂȘte-MĂ©liĂšs qui consacre Ă  son ancĂȘtre tout un livre MĂ©liĂšs, l’enchanteur ed. La Tour Verte. Car Madeleine MĂ©liĂšs a vĂ©cu auprĂšs du rĂ©alisateur entre ses cinq et quinze ans. C’est lui qui l’a Ă©levĂ©e, avec l’ancienne actrice Jehanne d’Alcy, sa seconde femme. Collaboratrice d’Henri Langlois de 1943 Ă  1945 Ă  la CinĂ©mathĂšque française, dont elle est membre fondatrice, elle anime l’association des Amis de Georges MĂ©liĂšs ». Hugo Cabret, Canal +, rĂ©a Martin Scorcese, long mĂ©trage, 2 heures 1 min Un orphelin vivant Ă  la gare Montparnasse se lie d’amitiĂ© avec un vieil homme dont il dĂ©couvrira qu’il s’agit de Georges MĂ©liĂšs, premier cinĂ©aste de fiction du monde, tombĂ© dans l’oubli. Dans les sources Ă©crites Les apprentis sorciers d’Edison Ă  MĂ©liĂšs », Georges Sadoul, La Revue du cinĂ©ma, 1er Octobre 1946, Ă©dition Gallimard JosĂ© Corti, 1946 Georges Sadoul est spĂ©cialiste de l’histoire du cinĂ©ma, il est connu pour son Histoire GĂ©nĂ©rale du cinĂ©ma et a beaucoup Ă©crit sur MĂ©liĂšs et sur les frĂšres LumiĂšre Georges MĂ©liĂšs en 1961 et LumiĂšre et MĂ©liĂšs en 1985. Cet ouvrage est prĂ©facĂ© par Jean Paul le Chanois et Doniol-Valcroze. MĂ©liĂšs et la naissance du spectacle cinĂ©matographique, Colloque de Cerisy, dirigĂ© et prĂ©facĂ© par Madeleine MalthĂȘte MĂ©liĂšs, 1984 RĂ©sumĂ© Ă©diteur Georges MĂ©liĂšs 1861-1938 apparaĂźt, dans les derniĂšres annĂ©es du XIXe siĂšcle, comme l’une des figures les plus Ă©tonnantes du cinĂ©ma naissant. Tour Ă  tour peintre, sculpteur, caricaturiste, prestidigitateur, directeur du théùtre Robert-Houdin Ă  Paris, MĂ©liĂšs apporte au cinĂ©ma son expĂ©rience multiple de scĂ©nographe, d’illusionniste, de rĂ©gisseur, de machiniste et d’acteur. Homme-orchestre, homme-protĂ©e, cet artisan de gĂ©nie a le mĂ©rite de concevoir le cinĂ©ma comme un spectacle original. PĂšre des vues Ă  transformations, des actualitĂ©s reconstituĂ©es, des bandes publicitaires, des fĂ©eries en couleurs et du film de science-fiction, il rĂ©alise en 16 ans – de 1896 Ă  1912 – plus de 500 films dans ses deux ateliers de pose de Montreuil-sous-Bois. » Griffith et la forme narrative 1915 Naissance d’une nation, Griffith A la tĂ©lĂ©vision DW Griffith Naissance du cinĂ©ma, titre original DW Griffith Father of film, rĂ©a Kevin Brownlow et David Gilles, La 25Ăšme heure, documentaire, 2 heure 30 minutes Documentaire riche en extraits de films et en photos d’archives de Kevin Brownlow et David Gilles, diffusĂ© dans la tranche horaire de la 25Ăšme heure prĂ©sentĂ©e par Jacques et Valentine Perrin. TĂ©lĂ©rama Les couche-tard trĂšs tard ! et surtout les magnĂ©toscopeurs apprĂ©cieront ce travail encyclopĂ©dique et cyclopĂ©en, Ă  la rencontre du pĂšre fondateur du septiĂšme art, prince du muet, crĂ©ateur gĂ©nial de presque ! toutes les techniques classiques du cinĂ©ma. Jugez plutĂŽt de 1908 Ă  1931, en quatre cents courts mĂ©trages, plus une brassĂ©e de superproductions, il invente de flash-back, Ă©trenne le gros plan, le plan amĂ©rician, impose l’usage des flous » et des surimpressions. 
 » IntolĂ©rance = Love’s Struggle Throughout the Ages, Le Muet du mois, ARTE, RĂ©a David Wark Griffith, Long mĂ©trage, 2 h 56 min Griffith fait un film sur la cruautĂ© de l’homme envers son prochain en une fresque de quatre Ă©pisodes montrant diverses formes d’intolĂ©rance et en rĂ©ponse Ă  Naissance d’une nation. Le Pauvre amour = True heart Susie, ARTE, RĂ©a David Wark Griffith, Long mĂ©trage, Etats-Unis, 1919, 1 h 27 min Susie donne Ă  William tout ce qu’elle a pour qu’il puisse faire ses Ă©tudes. Elle se dĂ©voue en espĂ©rant obtenir en Ă©change son amour. Bulletin de presse Arte Un hymne cinĂ©matographique Ă  Miss Gish, rayonnante en amoureuse inĂ©branlable, par son chantre le plus inspirĂ© DW Griffith. 
 Quelques annĂ©es aprĂšs Naissance d’une nation et IntolĂ©rance, celui qui est alors le maitre incontestĂ© du cinĂ©ma mondial, y rappelle son talent Ă  Ă©mouvoir par la seule force de l’image ». Naissance d’une Nation, naissance d’une contestation, Histoire, rĂ©a Bestor Cram, documentaire, 1 heure Le long-mĂ©trage de DW Griffith, Naissance d’une nation, a marquĂ© l’histoire du cinĂ©ma Ă  la fois par ses innovations narratives et techniques mises au point dans ce film mais Ă©galement par les vives polĂ©miques qu’il a suscitĂ© Ă©tant un film raciste qui a d’ailleurs entraĂźnĂ© la radicalisation d’activistes noirs-amĂ©ricains. Griffith a ensuite fait IntolĂ©rance espĂ©rant Ă©chapper Ă  ces critiques mais son film reste marqueur et tĂ©moin d’une pĂ©riode terrible pour les Etats-Unis. A la radio David Wark Griffith, pionnier de l’image, Les Mardis du cinĂ©ma, France culture, pro Marie AgnĂšs Desplaces, documentaire, 1h30 min Cette Ă©mission est consacrĂ©e au cinĂ©aste DW Griffith. Il est question des nombreuses innovations techniques et des nouveautĂ©s qu’il apporta Ă  l’écriture. Deux de ses films sont utilisĂ©s Le Lys BrisĂ©, 1919 et Naissance d’une nation 1915. Patrick Brion, historien du cinĂ©ma raconte la carriĂšre de Griffith. Jean Mottet, professeur Ă  Paris I analyse le montage alternĂ© et la mise en scĂšne dans Naissance d’une nation. Pierre Sorlin Ă©galement reçu parle de la façon dont Griffith tente de donner une vision plus Ă©quilibrĂ©e de la guerre de sĂ©cession dans Naissance d’une nation et comment il crĂ©e dans ce film toute la narration cinĂ©matographique que l’on utilise aujourd’hui et Ă  laquelle nous a souvent habituĂ© le cinĂ©ma amĂ©ricain. Jean Loup Bourget enfin, explique les origines théùtrales du mĂ©lodrame cinĂ©matographique et notamment comment cela apparaĂźt dans Le Lys brisĂ©. Pourquoi Hollywood a mal Ă  l’esclavage ?, Pendant les travaux, le cinĂ©ma reste ouvert, France inter, pro StĂ©phane Bou, pro Jean Baptiste Thoret, magazine, 54 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source site internet de France Inter] 
 la question de l’esclavage et du traitement des Noirs a constituĂ© pendant longtemps, un point aveugle, un sujet sensible pour l’AmĂ©rique et son cinĂ©ma. 
 Un petit rappel 1865, guerre de sĂ©cession et abolition de l’esclavage. Mais pour les Etats-Unis du Sud, les Noirs sont toujours ce qu’ils appellent des nĂšgres, une sous-humanitĂ© brimĂ©e. DĂ©bute alors l’ñge de la sĂ©grĂ©gation et des tristes lois Jim Crow qui durera prĂšs de 80 ans 
 Pendant ce temps, que se passe-t-il Ă  Hollywood ? Tout commence, sans doute, en 1915, avec Naissance d’une nation de Griffith, premier acte du grand cinĂ©ma amĂ©ricain et crime fondateur d’une Histoire qu’Hollywood mettra des dĂ©cennies Ă  remettre Ă  l’endroit. 
 Dans les sources Ă©crites Le cinĂ©ma amĂ©ricain 1895 – 1980 de Griffith Ă  Cimino, Jean Loup Bourget, Le Monde anglophone, Presses universitaires de France, 1983, 263 pages. Jean Loup Bourget fait une histoire du cinĂ©ma de ses origines aux annĂ©es 80 en passant par des rĂ©alisateurs cĂ©lĂšbres comme Griffith au chapitre 2, King Vidor, Orson Welles mais aussi en Ă©numĂ©rant certaines techniques cinĂ©matographiques comme l’arrivĂ©e du parlant, de la couleur. A travers cette chronologie du cinĂ©ma, Jean Loup Bourget aborde Ă©galement la question du genre, de la comĂ©die au film de genre en passant par le fantastique, le western et bien d’autres. Griffith nous en remontre », Devant la recrudescence des vols de sacs Ă  main cinĂ©ma, tĂ©lĂ©vision et information de 1988 Ă  1991, Serge Daney, 1991, 270 pages RĂ©sumĂ© Ă©diteur Ces textes ont Ă©tĂ© publiĂ©s entre 1988 et 1991 dans le quotidien LibĂ©ration. L’auteur qui, longtemps, fut critique de cinĂ©ma puis salariĂ© comme “zappeur” se demande d’abord Ă  quoi ressemblent les films lorsqu’ils “passent Ă  la tĂ©lĂ©â€. D’oĂč une chronique quotidienne intitulĂ©e les FantĂŽmes du permanent. C’est le premier tour de la “navette” celle qui refuse de se satisfaire de la lĂ©gende dorĂ©e du cinĂ©ma comme de la brutalitĂ© du pouvoir tĂ©lĂ©visuel. » Burlesque 1910-1940 1919 fondation de la United Artist À la tĂ©lĂ©vision Tout sur mon pĂšre Max Linder, Le Documentaire culturel, ARTE, Jean Michel Meurice, documentaire, 53 min Portrait de l’acteur et rĂ©alisateur Max Linder, qui a beaucoup influencĂ© Charlie Chaplin. Max Linder s’est suicidĂ© aprĂšs avoir tuĂ© sa femme, laissant sa fille de 16 mois. Pour cette raison, cette derniĂšre n’a pas connu ses parents mais elle revient sur l’histoire de son pĂšre et de ses films. Ce documentaire est composĂ© de commentaires d’images d’archives croisĂ©es avec l’interview de Maud Linder. Elle explique le travail qu’elle a effectuĂ© avec Henri Langlois pour restituer la mĂ©moire de son pĂšre, longtemps restĂ©e dans l’ombre. Chaplin-Keaton, le clochard milliardaire et le funambule dĂ©chu, Duels, France 5, Simon BackĂšs, documentaire, 55 min Cette collection de 18 numĂ©ros en partenariat avec Une vie, une Ɠuvre de France Culture, dresse ici le portrait de deux personnalitĂ©s prĂ©sentĂ©es comme amicalement rivales. Un Ă©pisode est consacrĂ© Ă  Chaplin et Keaton. Dans cet Ă©pisode, on parle d’ñge d’or du cinĂ©ma burlesque Ă  travers ces deux importantes figures. Les spĂ©cialistes du cinĂ©ma Kevin Brownlow, Serge Bromberg, Adele Van Reeth et Jos Houben sont interviewĂ©s pour parler de ces cinĂ©astes du burlesque. En alternance avec les interview sont projetĂ©s des extraits de films de Chaplin The Kid 1921, The Gold Rush 1942, Modern Times 1936, The Great Dictator 1940, Limelight 1952 ; et de Keaton The General 1926, The Butcher Boy 1917, The High Sign 1921, The Electric House 1922, Three Ages 1923, et bien d’autres. Buster Keaton, un gĂ©nie brisĂ© par Hollywood, ARTE, rĂ©a Jean Baptiste PĂ©rĂ©tiĂ©, documentaire, 53 min RĂ©sumĂ© producteur Un demi-siĂšcle aprĂšs la disparition de Buster Keaton, Robinson StĂ©venin raconte l’oeuvre de ce gĂ©nie du cinĂ©ma, broyĂ© par la machine hollywoodienne. Une face de glace’ au regard grave, un corps Ă©lastique se pliant avec grĂące aux exploits physiques les plus fous, capable d’exprimer des Ă©motions subtiles Buster Keaton, l’acrobate-poĂšte, est presque nĂ© sur une scĂšne de music-hall en 1895. Acteur, rĂ©alisateur, producteur, ingĂ©nieur, voltigeur dans son petit studio de cinĂ©ma, sa crĂ©ativitĂ© se dĂ©multiplie Ă  l’infini pour des petits miracles d’humour, d’élĂ©gance et de mĂ©lancolie. A la fin des annĂ©es 20, le roi du muet est au sommet de sa gloire avant la chute, vertigineuse, quand il commet l’erreur de signer Ă  la MGM, renonçant du mĂȘme coup Ă  sa libertĂ© artistique. Robinson StĂ©venin conte cette tragĂ©die au fil de l’oeuvre de Keaton, le florilĂšge d’extraits de ses films dessinant le portrait bouleversant d’un romantique dans l’ñme, derriĂšre le voile dĂ©licat du burlesque » A la radio Les Nuits de France Culture Charlot – Chaplin », Les Chemins de la connaissance, France Culture, pro Françoise EstĂšbe, dĂ©cembre 2002, 5 Ă©missions, 25 min Episodes L’ImmigrĂ© vagabond le ; le Schlemihl et le dandy le ; le PoĂšte du burlesque le ; l’Homme mĂ©canique le ; la Mort du schlemihl le RĂ©sumĂ© des essayistes Petr Kral et Fabrice Revault d’Allones Comment un hĂ©ros comique, un bouffon, mi-clown mi-vagabond, personnage persĂ©cutĂ©, victime de toutes les avanies et de tous les quolibets, peut-il devenir un mythe ? Proche des fous, entre paria et poĂšte, tel le personnage juif du “schlemihl”, dĂ©calĂ© et chevaleresque, Charlot a l’innocence primordiale des victimes rĂ©demptrices. Emouvant d’humanitĂ©, dans le rire tragique qu’il suscite, Charlot fait rĂ©sonner une sensibilitĂ© collective. 
 » Philosopher avec Charlie Chaplin, Les Nouveaux chemins de la connaissance, France Culture, pro AdĂšle Van Reeth, magazine, 4 Ă©pisodes, 53 min SĂ©rie de quatre Ă©missions consacrĂ©es Ă  Charlie Chaplin, ponctuĂ©es d’extraits musicaux et de commentaires de cinĂ©astes. Chaplin contre Charlot , archives sonores, analyse esthĂ©tique et question du rapport au corps ; La Critique sociale d’un infatigable analyse d’un point de vue sociologique des films de Chaplin ; Keaton vs Chaplin, un monde meilleur est-il possible ? , comparaison entre les deux cinĂ©astes ; Du corps Ă  la parole, analyse des films de Chaplin et le passage qui est fait du muet au parlant. Dans les sources Ă©crites Regards neufs sur le cinĂ©ma, dir. Jacques Chevallier, coordonnĂ© par Egly Max, Peuples et Culture, Ă©ditions du Seuil, 1963. Dans ce document apparaissent, entre autres, deux articles Ă©crits par Charlie Chaplin intitulĂ©s Faire rire » et Appel aux hommes » Revue Positif du 1er juillet 1966. DiffĂ©rents articles sur le cinĂ©ma burlesque apparaissent Ă©galement dans cette revue Le Regard de Buster Keaton » de Robert Benayoun ; L’Insolence de Harold Lloyd » de Raymond Borde, DĂ©clarations » de Harold Lloyd et Entretien avec Mack Sennett » de Theodore Dreiser. Le Roman de Charlot, Claude-Jean Philippe, Fayard, 1987, 395 pages Claude Jean Philippe, prĂ©sentateur du CinĂ©-Club d’Antenne 2 sur le plateau d’Apostrophes et critique de cinĂ©ma Ă©crit un roman sur Charlie Chaplin. GrĂące Ă  des sources variĂ©es, il fait une reconstitution biographique de la vie de l’acteur. Charlie Chaplin La revue de Charlot », L’Art d’aimer, Jean Douchet, les Cahiers du cinĂ©ma, 1987, livre illustrĂ© de photos, 190 pages Ouvrage qui assemble plusieurs articles concernant Charlie Chaplin RĂ©sumĂ© Ă©diteur “La critique est l’art d’aimer.” Jean Douchet dĂ©veloppe une haute conception de la critique, fondĂ©e sur le couple passion-luciditĂ©, et appartenant au mĂȘme titre que l’oeuvre dont elle traite au domaine de la crĂ©ation artistique. Il fait partie du groupe de jeunes critiques des Cahiers du cinĂ©ma et Arts autour de Godard, Rivette, Rohmer, Truffaut qui, dans les annĂ©es 60, allaient imposer la Politique des Auteurs et donner naissance Ă  la Nouvelle Vague. Il continue Ă  propager sa passion comme enseignant, rĂ©alisateur d’émissions tĂ©lĂ©visĂ©es et essayiste. » Premier film documentaire 1922 1922 Nanouk l’Esquimau de Robert Flaherty Nanouk l’esquimau, ARTE, rĂ©a Robert Flaherty, long mĂ©trage, documentaire, version originale, muet, 1h18 min Robert Flaherty rĂ©alise le premier documentaire du cinĂ©ma en filmant la vie quotidienne d’une famille inuit, la pĂȘche au saumon et la chasse Ă  l’otarie, la construction d’igloo, dans l’Arctique canadien. Il commence Ă  faire ce documentaire en 1910 mais doit le recommencer en raison d’un accident technique incendie de la pellicule et nĂ©gatif Ă©garĂ©. Il se rend Ă  nouveau au Nord du Canada, Ă  l’étĂ© 1920 pour une pĂ©riode de quinze mois et le rĂ©alise en 1922. Nanouk l’esquimau est le rĂ©sultat d’un long travail impactĂ© par de dures Ă©preuves qui a donnĂ© naissance au genre du documentaire. Saumialouk, le grand gaucher, ARTE, rĂ©a Claude Massot, auto SĂ©bastien Regnier documentaire, 1h2min Sur les pas de Robert Flaherty, 65 ans plus tard, au printemps 1988, Claude Massot et SĂ©bastien Regnier retournent sur les lieux oĂč a Ă©tĂ© tournĂ© le film Nanouk l’esquimau. A leur arrivĂ©e, ils invitent les Inuits Ă  une projection du film de Flaherty. A la radio Robert Flaherty parle de sa vie, date d’enregistrement Plein feu sur les spectacles du monde, pro RenĂ© Wilmet, 3 minutes, langue anglais Document d’archive dans lequel on peut entendre la voix de Robert Flaherty, parlant en anglais. Robert Flaherty parle de son statut d’explorateur et de la façon dont son film a Ă©tĂ© diffusĂ© dans le monde. Robert Flaherty, prospecteur et cinĂ©aste ou Le rĂȘve d’un prince ; Atelier de crĂ©ation radiophonique, France Culture, pro Jean Daniel Lafond, crĂ©ation sonore en deux parties, 2 heures L’émission commence sur le bateau qui dessert les Ăźles d’Aran, fond sonore de l’eau. On entend Jean Renoir Ă©voquer les souvenirs qu’il a de Robert Flaherty. Cette Ă©mission multidiffusĂ©e de 1987 jusqu’en 2019 prĂ©sente par fragments des morceaux de vie, des extraits d’interviews de Flaherty ou de cinĂ©astes parlant de Flaherty. Robert Flaherty, Projection privĂ©e, France Culture, pro Michel Ciment, entretiens, 45 minutes Avec la participation de Richard Leacock documentariste et Patrick Leboutte, spĂ©cialiste du documentaire, Michel Ciment retrace la vie de Robert Flaherty, Ă  l’occasion de la sortie d’un coffret DVD regroupant quatre de ses films. L’entretien est ponctuĂ© d’extraits de films et de diffĂ©rentes voix utilisĂ©es pour l’émission dont celle de Jean Rouch. Dans les sources Ă©crites La Mise en scĂšne documentaire Robert Flaherty, l’Homme d’Aran et le documentaire, Analyse filmique, Pierre Baudry et Gilles Delavaud, Ă©dition MinistĂšre de l’éducation nationale et MinistĂšre de la culture, 1994, 127 pages. Livre accompagnĂ© d’un CD expliquant la mise en scĂšne documentaire en s’appuyant sur le documentaire de l’Homme d’Aran de Flaherty scĂ©nario et photographies. ArrivĂ©e du parlant 1927 1927 Le chanteur de Jazz, Alan Crosland Histoire du cinĂ©ma français par ceux qui l’ont fait, Naissance du parlant 1927-1929, France 3, rĂ©a Armand Panigel, 1974 RĂ©sumĂ© producteur En 1929, le cinĂ©ma parlant apparaĂźt aux Etats Unis. En France, la polĂ©mique Ă©clate entre les partisans et les dĂ©tracteurs de ce nouveau procĂ©dĂ©. Carne, Pagnol et Christian-Jaque sont enthousiastes alors que Gance, Clair et l’Herbier mettent en avant le caractĂšre universel du muet. CinĂ©ma parlant, Histoire d’un rĂȘve, TF1, rĂ©a Paul Luciani, mini programme, 1 minute PrĂ©sentation du Chrono-mĂ©gaphone, l’un des premiers appareils permettant au cinĂ©ma de devenir parlant. Brevet de cet appareil dĂ©posĂ© par LĂ©on Gaumont, il est prĂ©sentĂ© au public en 1910. A la radio Histoire du cinĂ©ma naissance du cinĂ©ma parlant, Heure de culture française, Programme National, par RenĂ© Jeanne et Charles Ford, causerie, 8 min Causerie sur les dĂ©buts du cinĂ©ma parlant. Sont Ă©voquĂ©s La Passion de Jeanne d’Arc de Carl ThĂ©odor Dreyer ; les propos de Charlie Chaplin et de RenĂ© Clair sur le parlant ; les enjeux pour les studios et pour les auteurs. La Naissance du cinĂ©ma parlant, Chroniques sauvages, France Inter, pro Robert Arnaut, chronique, 57 minutes Entretien d’Emmanuelle Franc avec Denise Grey, Jean Pierre Jeancolas, Michel Chion et Michel Marie. Emission construite sur la base d’entretiens. Henri Poret parle des compositions de son pĂšre Julien Poret, qui a sonorisĂ© le cinĂ©ma muet. Denise Grey, comĂ©dienne parle de l’émotion qu’elle a ressenti au dĂ©but du cinĂ©ma parlant. Jean pierre Jeancolas, historien du cinĂ©ma dĂ©crit les procĂ©dĂ©s sonores utilisĂ©s au cinĂ©ma et analyse les effets de l’arrivĂ©e du parlant sur le cinĂ©ma. Michel Chion, enseignant et critique de cinĂ©ma dĂ©crit le premier matĂ©riel technique de son et tĂ©moigne des difficultĂ©s rencontrĂ©es par les ingĂ©nieurs du son lors des premiers tournages du cinĂ©ma parlant. Michel Marie, enseignant et historien du cinĂ©ma produit une analyse sur la bande sonore du film de Fritz Lang, M le maudit. Quand le cinĂ©ma prit la parole, Nuits magnĂ©tiques. Histoires et contre histoires du cinĂ©ma, France Culture, pro Robert Arnaut, documentaire, 1h18 min DiffĂ©rents enseignants sont interrogĂ©s sur la place du son Michel Chion, Michel Marie, Vincent Pinel, NoĂ«l Burch, mais aussi le pianiste et compositeur Jay Gottlieb et l’éditeur et enseignant Alain Masson. Sont discutĂ©s l’investissement de la Warner dans le cinĂ©ma parlant, les accompagnements musicaux des films muets, les grands musiciens qui se sont intĂ©ressĂ©s au cinĂ©ma muet, les problĂšmes techniques Ă  l’arrivĂ©e du parlant, la rĂ©ception du sonore par le spectateur, etc. Michel Chion, Du jour au lendemain, France Culture, pro Alain Veinstein, magazine, 40 minutes Entretien avec Michel Chion Ă  l’occasion de la sortie de son essai Un art sonore, le cinĂ©ma histoire esthĂ©tique et poĂ©tique. Il est question de sa passion pour le son, et d’une analyse de l’histoire du cinĂ©ma Ă  partir du son. La Voix au cinĂ©ma, Jusqu’au bout des voix, France Inter, pro Caroline Ostermann, Entretien, Ă©mission Ă  base de disques, 54 minutes Dans cette Ă©mission Ă  laquelle participent Dominique Besnehard, Jean Douchet, Michel Lonsdale, Pierre Lenoir et AgnĂšs Varda, il est question de montrer le rĂŽle qu’a jouĂ© la voix au cinĂ©ma avec l’arrivĂ©e du cinĂ©ma parlant. Ce changement fut une catastrophe pour certains acteurs muets qui avaient une voix inadaptĂ©e au parlant. Il est Ă©galement question dans cette Ă©mission de la matĂ©rialisation du son chez Fritz Lang, de l’intĂ©rĂȘt d’Orson Welles pour le son radiophonique, de la façon dont avec la voix, il est possible de cultiver des actions, crĂ©er des personnages. La Matinale culturelle Les cinĂ© concerts », Le Dossier du jour, France Musique, Vincent Josse, 14 minutes Les cinĂ©s-concerts, des musiques originales improvisĂ©s sur des films muets ont donnĂ© naissance Ă  la musique au cinĂ©ma. Jean-François Zygel, compositeur, pĂ©dagogue, homme de tĂ©lĂ© et de radio, pianiste improvisateur est un des spĂ©cialistes français de l’accompagnement de films muets en concert et explique comment cette passion lui est venue, et en quoi consiste cet art. Jean-Baptiste Urbain explique que pendant l’ùre du cinĂ©ma muet, le cinĂ©ma Ă©tait un cinĂ©-concert sans le savoir, puisque ce qui se passait Ă  l’écran Ă©tait accompagnĂ© dans la salle par une musique un pianiste, quelques instrumentistes ou, dans les plus grandes salles, un orchestre. Au moment oĂč arrive le cinĂ©ma parlant et la bande sonore du film, la musique jouĂ©e en direct disparaĂźt. Dans les sources Ă©crites Le RĂŽle du son dans le rĂ©cit cinĂ©matographique, Etudes cinĂ©matographiques, aut Antoni Gryzik, 1984, n° 139 – 141, 123 p RĂ©sumĂ© Ă©diteur DirigĂ©e par Michel EstĂšve et publiĂ©e par Michel J. Minard la collection Étude cinĂ©matographiques assure la continuitĂ© des cahiers du mĂȘme nom publiĂ©es par Astre et M. ESTÈVE depuis 1966 et qui faisaient eux-mĂȘmes suite Ă  la revue Étude cinĂ©matographiques fondĂ©e en 1960 par Henri AGEL et Georges-Albert Astre. 
 Il n’est pas question d’y publier des comptes rendus de films en relation Ă©troite avec l’actualitĂ© mais, au contraire, d’approfondir certains aspects majeurs, certaines fonctions essentielles du cinĂ©ma en prenant Ă  l’égard des oeuvres Ă©tudiĂ©es une indispensable distance, en multipliant les confrontations 
 ». PrĂ©facĂ© par Pierre Schaeffer, cet ouvrage interroge dans une approche esthĂ©tique, le rĂŽle du son au cinĂ©ma commentant l’origine de la mise en scĂšne du son de sa prĂ©sence rĂ©elle et imaginaire au discours filmique, et aux musiques et effets sonores utilisĂ©s dans la scĂ©nographie. L’Audio-vision son et image au cinĂ©ma, Michel Chion, Armand Colin, 2013, 239 pages RĂ©sumĂ© Ă©diteur Ce que certains appellent la bande sonore dans l’audio-visuel n’est pas une simple couche rajoutĂ©e au cinĂ©ma tel qu’il Ă©tait au temps du muet, c’est un remaniement de tout l’ensemble. Nous ne “voyons” pas un film sonore, un clip, une Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e, mais nous les “audio-voyons” 
. Traduit en plusieurs langues, cet ouvrage est, depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1990, devenu un texte de rĂ©fĂ©rence pour l’enseignement du son au cinĂ©ma dans le monde. Il est ici augmentĂ© et rĂ©actualisĂ© par une longue postface, remettant Ă  jour les concepts proposĂ©s. Compositeur de musique concrĂšte, rĂ©alisateur, enseignant Ă  l’Esec, chercheur Ă  l’IKKM Weimar et maĂźtre de confĂ©rences Ă©mĂ©rite Ă  Paris 3, Michel Chion a publiĂ© une trentaine d’études et d’essais, dont plusieurs sont consacrĂ©s Ă  son travail scientifique et historique sur le cinĂ©ma, la musique, et le son, qui reste le centre de ses recherches. Il a publiĂ© dans la mĂȘme collection Le Son, traitĂ© d’acoulogie. » 2 – Quelques Ă©coles ou courants esthĂ©tiques Montage soviĂ©tique, expressionisme allemand, rĂ©alisme poĂ©tique, nĂ©orĂ©alisme italien, nouvelle vague française, nouvel Hollywood, Dogme 95 Les Grands cinĂ©astes que je propose, 7e art, Henri Agel, Edition du Cerf, 1967, 236 pages, livre illustrĂ© avec photos Chapitres consacrĂ©s Ă  diffĂ©rents cinĂ©astes Louis LumiĂšre, Georges MĂ©liĂšs, Louis Feuillade, David Wark Griffith, Thomas Ince, Mack Sennett, Victor Sjöström, Mauritz Stiller, Charles S. Chaplin, Buster Keaton, Eric von Stroheim, Robert Flaherty, Frank Borzage, F. W. Murnau, Fritz Lang, Carl T. Dreyer, Ernst Lubitsch, Josef von Sternberg, King Vidor, Jean Renoir, Jean GrĂ©millon, Alfred Hitchcock, Alexandre Dovjenko, Mark DonskoĂŻ, Kenji Mizoguchi, Jean Vigo, Max Ophuls, Jean Cocteau, Luis Buñuel, Howard Hawks, George Cukor, Orson Welles, Joseph L. Mankiewicz, Otto Preminger, Nicholas Ray, Vicente Minnelli, Vittorio De Sica, Roberto Rossellini, Robert Bresson, Jacques Tati, Georges Franju. Les Grandes â€œĂ©coles” esthĂ©tiques, CinĂ©maction, numĂ©ro 55, pĂ©riodique RĂ©sumĂ© Ă©diteur Tout se passe comme si l’histoire du cinĂ©ma traversait, de temps en temps, des pĂ©riodes d’intense Ă©briĂ©tĂ© crĂ©atrice » au cours desquelles des cinĂ©astes se retrouvent, provisoirement, autour d’un programme esthĂ©tique ou thĂ©matique. Objectif, presque toujours rompre des lances avec le cinĂ©ma de papa », des commerçants ou des gouvernements, de l’acadĂ©misme et de la convention, pour proposer une nouvelle vision du cinĂ©ma, du monde et de la vie. Trois petits tours et puis s’en vont la nouvelle Ă©cole » dure en gĂ©nĂ©ral, sinon ce que durent les roses, du moins rarement plus de cinq, dix, quinze ans. 
 Courant des montages soviĂ©tiques 1917-1929 SergueĂŻ M. Eisenstein Thema. Russie le pouvoir et le cinĂ©ma, De Nicolas II Ă  Staline, ARTE, pro Pierre AndrĂ© Boutang, tranche horaire, rĂ©a William Aldridge, documentaire, 1h Documentaire consacrĂ© au rapport entre le pouvoir et le cinĂ©ma en Russie du dĂ©but du cinĂ©ma sous le rĂ©gime tsariste aux premiers films de propagande sous Staline. Documentaire constituĂ© d’alternance entre entretiens avec des historiens comme Litsov, extraits de films, contextualisation de l’époque d’Eisenstein, de Poudovkine, Koulechov, Vertov et bien d’autres. Ce documentaire explique comment est nĂ© le cinĂ©ma en Russie et dans quel contexte politique. Le CuirassĂ© Potemkine, rĂ©a SergueĂŻ Eisenstein, Le Muet du mois, ARTE, produit en 1925, version restaurĂ©e 2005, noir et blanc, muet, long mĂ©trage, 50 min source AllocinĂ© Un Ă©pisode de la RĂ©volution russe de 1905 l’équipage d’un cuirassĂ©, brimĂ© par ses officiers, se mutine et prend le contrĂŽle du navire. ArrivĂ©s Ă  Odessa, les marins sympathisent avec les habitants qui se font brutalement rĂ©primer par l’armĂ©e tsariste
 La GrĂšve, Le Muet du mois, ARTE, rĂ©a SergueĂŻ Eisenstein, long mĂ©trage, muet noir et blanc, 1h28 min produit en 1925. AprĂšs la mort d’un des leurs, les ouvriers d’une grande usine de la Russie tsariste se mettent en grĂšve. L’armĂ©e tsariste la rĂ©prime de maniĂšre sanglante. Dans ce film, Eisenstein montre ses techniques cinĂ©matographiques pour lesquelles il sera cĂ©lĂšbre, notamment concernant les choix narratifs et le montage. Il choisit de filmer la masse plutĂŽt qu’un personnage principal et refuse un montage narratif. Que viva Eisenstein, ARTE, rĂ©a Peter Greenaway, long mĂ©trage, fiction, 1h 41min Film rĂ©alisĂ© en hommage Ă  Eisenstein et au film qu’il a tournĂ© Ă  Mexico intitulĂ© Que viva Mexico, biopic qui retrace ce tournage d’Eisenstein au Mexique. RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] En 1931, pendant dix jours, le cinĂ©aste soviĂ©tique SergueĂŻ Eisenstein se lance dans le tournage mouvementĂ© de l’un de ses chefs-d’oeuvre, Que Viva Mexico!. Que Viva Mexico! est restĂ© comme l’une des oeuvres maĂźtresses du grand SergueĂŻ Eisenstein. En 1931, Hollywood ne veut pas du cinĂ©aste soviĂ©tique. Au lieu de rentrer en URSS, le rĂ©alisateur du CuirassĂ© Potemkine et d’Octobre trouve refuge Ă  Guanajuato, au Mexique
 
 A la radio A propos d’Eisenstein, Microfilms, France Culture, pro Serge Daney, magazine, 40 minutes Serge Daney s’entretient avec Jacques Aumont, historien du cinĂ©ma, au moment de la parution du livre d’Eisenstein, MĂ©moires, que Jacques Aumont a traduit. GrĂące Ă  ce livre, Jacques Aumont comprend la personnalitĂ© de ce cinĂ©aste, son adhĂ©sion Ă  la RĂ©volution russe de 1917, son travail sur Ivan le terrible, l’image qu’il a du peuple russe, etc. Le CinĂ©ma a cent ans Eisenstein, Les Mardis du cinĂ©ma, France Culture, pro Françoise Estebe et Jean Claude Loiseau, documentaire, 1h30 min Françoise Estebe a menĂ© une sĂ©rie d’entretiens avec les enseignants, Ă©crivains et critiques François Albera, Françoise Navailh, Charles Tesson et Dominique Fernandez. Dans ces entretiens, sont Ă©voquĂ©s les dĂ©buts d’Eisenstein comme dĂ©corateur et metteur en scĂšne de théùtre, son style et sa thĂ©orie sur le montage, son rapport avec le pouvoir et la façon dont cela s’exprime dans ses films. Une histoire du cinĂ©ma, France Culture, pro Jean Douchet et François Caunac, Causerie, 25 Ă©missions, 29 minutes Eisenstein ; Vertov, Ă©pisode 6/25 Jean Douchet prĂ©sente les cinĂ©astes soviĂ©tiques SergueĂŻ Eisenstein et Dziga Vertov, les notions de plans et de montage, leur appartenance Ă  un cinĂ©ma rĂ©volutionnaire, etc. Dans les sources Ă©crites La revue du cinĂ©ma, dir. Robert Aron, Jean Georges Auriol, Denise Tual ; librairie JosĂ© Corti, n°14, 1 sept 1930 Situation du cinĂ©ma SoviĂ©tique » par Stefan Priacel, Le film soviĂ©tique, art primitif et savant », par LĂ©on Pierre Quint ; Profession de foi d’un metteur en scĂšne soviĂ©tique » par Alexandre Djovenko ; Le cuirassĂ© Potemkine » par Jacques Spitz ; Turksib » par CĂ©cile Pierrot ; ScĂ©nario de la ligne gĂ©nĂ©rale » par Eisenstein et Alexandroff. L’EsthĂ©tique du film, Jacques Aumont, Alain Bergala, Michel Marie, Marc Vernet, Nathan CinĂ©ma, 2001, 238 pages Eisenstein et la cinĂ©-dialectique », Le Calcul des rĂ©actions du spectateur Poudovkine, Eisenstein» au sujet d’Eisenstein. Livre qui fait le panorama de l’esthĂ©tique du cinĂ©ma, son langage qu’il crĂ©e par le montage et la mise en scĂšne. DĂ©crit par l’éditeur comme un ouvrage interdisciplinaire, s’appuyant sur l’histoire de l’art, la thĂ©orie littĂ©raire, la sĂ©miologie et la psychanalyse » Expressionisme allemand 1920-1930 1927 l’Aurore de Murnau et MĂ©tropolis de Fritz Lang À la tĂ©lĂ©vision Nosferatu, CinĂ© regards, FR3, par, Herzog Werner ; par, Eisner Lotte, reportage, 16 minutes. Emission consacrĂ©e Ă  Nosferatu Werner Herzog parle de son cinĂ©ma, et, une historienne du cinĂ©ma allemand, Lotte Eisner, du premier Nosferatu le vampire de Murnau. Elle compare le Nosferatu de Murnau et celui d’Herzog. L’Aurore, Murnau, Le Muet du mois, ARTE, rĂ©a Friedrich Wilhelm Murnau, long mĂ©trage, fiction, 1h 30 min Un paysan, sĂ©duit par une femme de la ville, tente de tuer sa femme qui vient de la campagne. Elle prend fuite, il l’a rattrape et voit leur amour re-naĂźtre. [Portrait du cinĂ©aste Friedrich Wilhelm Murnau], Journal de la culture = Kultur, ARTE, jou Artem Demenok, reportage, 2 minutes Reportage Retour sur la vie du cinĂ©aste Friedrich Wilhelm Murnau, en particulier sur son voyage Ă  Bali oĂč il tourna son dernier film, Tabou. Interview de Friedemann Beyer, directeur de la fondation Murnau, d’Enno Patalas, historien du cinĂ©ma. Alternance d’images factuelles, d’extraits de films et de photographies. Nosferatu le vampire, CinĂ©-club, ARTE, rĂ©a Friedrich Wilhelm Murnau, long mĂ©trage de fiction, 1h 35 minutes, version restaurĂ©e par Luciano Barriatua Nosferatu a Ă©tĂ© restaurĂ© par Luciano Barriatua en 2005/2006, Ă  l’initiative de la fondation Murnau, Ă  partir d’une copie nitrate teintĂ©e, avec intertitres français de 1922, notamment complĂ©tĂ©e d’une copie de la version distribuĂ©e en 1930. RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Dans les montagnes de la rĂ©gion des Carpathes, en Transylvanie, un agent immobilier venu conclure une affaire rencontre un personnage mystĂ©rieux et inquiĂ©tant. En 1830, Hutter, commis d’un agent immobilier, est envoyĂ© en Transylvanie dans la rĂ©gion des Carpathes, auprĂšs du comte Orlock, intĂ©ressĂ© par l’achat d’une maison Ă  BrĂȘme. MalgrĂ© les mises en gardes des paysans, Hutter dĂ©cide de passer la nuit dans le sinistre chĂąteau du comte. Alors qu’il profite paisiblement de l’hospitalitĂ© d’Orlock, Hutter se coupe accidentellement le doigt. Il ne tarde pas Ă  constater que le propriĂ©taire des lieux a un certain goĂ»t pour le sang. Il comprend qu’il n’est pas en face d’un simple mortel mais bien d’un vampire. Pendant ce temps, le navire qui transporte les affaires personnelles d’Orlock accoste dans le port de BrĂȘme
 À la radio L’Expressionnisme, Euphonia, France Culture, pro CĂ©cile Gilly, – documentaire, 5 Ă©missions, 1h ; L’expressionnisme 5Ăšme Ă©mission, Documentaire dĂ©diĂ© au mouvement de l’expressionisme. L’épisode 1 concerne l’origine du mouvement et son implication dans les arts, l’épisode 2 concerne la naissance de l’expressionisme dans la peinture, la musique et la littĂ©rature, l’épisode 3 concerne l’écriture expressionniste, l’épisode 4 concerne l’opĂ©ra expressionniste, et enfin l’épisode 5 concerne l’expressionnisme dans la musique et au cinĂ©ma. Bernard Eisenchitz et Alain Poirier dans ce dernier Ă©pisode font une dĂ©finition du cinĂ©ma expressionniste apparu au dĂ©but des annĂ©es 20 en Allemagne, commentant la musique utilisĂ©e et comment elle a Ă©voluĂ©. Murnau, Une Histoire du cinĂ©ma, France culture, pro Jean Douchet, François Caunac, Causerie, Episode 7/25, 29 min Jean Douchet parle des premiers films de Friedrich Wilhelm Murnau, la crĂ©ation esthĂ©tique de ce cinĂ©aste et son inscription dans l’expressionisme allemand. Il analyse les caractĂ©ristiques de ce mouvement, la lumiĂšre, le rythme, le jeu d’acteur des personnages dans Nosferatu mais aussi l’Aurore, L’intruse et Tabou. Jean Douchet mĂšne une analyse sur diverses thĂ©matiques, il traite par exemple du thĂšme de la culpabilisation. Sources Ă©crites Revue Positif, numĂ©ro 228, mars 1980, pĂ©riodique Deux articles sont consacrĂ©s Ă  Fritz Lang dans cette revue Le Nom de l’innommable Le Testament du docteur Mabuse » par GĂ©rard Legrand et Fritz Lang ou la tentation du vide » par Philippe Leguay. Dans cette mĂȘme revue, un article consacrĂ© Ă  Murnau par Sylvain Exertier intitulĂ© La Lettre oubliĂ©e de Nosferatu » Trois moments du cinĂ©ma allemand » coordonnĂ© par François Amy de la BretĂšque et Pierre Guibbert, Les Cahiers de la CinĂ©mathĂšque, Revue d’histoire du cinĂ©ma, mars 1981, numĂ©ro 32 PĂ©riodique consacrĂ© au cinĂ©ma allemand, de ses dĂ©buts aux annĂ©es 80, passant donc Ă©galement par Fritz Lang. L’Analyse des films, J. Aumont et Michel Marie, Nathan UniversitĂ©, 1988, 231 pages Dans ce livre mĂ©thodologique sur l’analyse de films, prĂ©sentant la maniĂšre d’aborder cet axe d’étude, deux chapitres sont consacrĂ©s Ă  l’analyse de deux films de Murnau. Plastique et rhĂ©torique de l’image le cache et l’iris dans Nosferatu le vampire » ; L’image et la figure L’Aurore de Murnau ». RĂ©alisme poĂ©tique 1930-1940 1937 La Grande illusion, Renoir ; 1939 Le jour se lĂšve, Marcel CarnĂ© Vers le rĂ©alisme poĂ©tique 1936-1938, Histoire du cinĂ©ma français par ceux qui l’ont fait, TF1, pro Armand Panigel, magazine, 48 minutes Armand Panigel interviewe Marcel CarnĂ© Ă  l’occasion de la diffusion de son film Les Portes de la nuit sorti en 1946. Marcel CarnĂ© raconte la genĂšse du projet, l’implication de Jean Gabin et Marlene Dietrich, le scĂ©nario de Jacques PrĂ©vert. Il revient sur son erreur d’avoir choisi Yves Montand dans le rĂŽle principal. Il revient Ă©galement sur sa carriĂšre, livrant quelques anecdotes et donne son avis sur le cinĂ©ma français. Thema. Marcel CarnĂ©, ARTE, tranche horaire, 4 heures SoirĂ©e thĂ©matique en hommage au cinĂ©aste français Marcel CarnĂ©. Diffusion successive du film Les Portes de la nuit de Marcel CarnĂ©, du documentaire CarnĂ©, vous avez dit CarnĂ© et de la biographie Marcel CarnĂ©, ma vie Ă  l’écran rĂ©alisĂ©s par Jean-Denis Bonan, et enfin d’un film rĂ©alisĂ© pendant le tournage du documentaire de Nicolas Baulieu intitulĂ© Fragments et anecdotes. À la radio Marcel CarnĂ©, 40 ans de cinĂ©ma, La Vie Ă  Paris, France Inter, pro Claude Archambault, date d’enregistrement magazine, 30 minutes Entretien avec le rĂ©alisateur Marcel CarnĂ© qui Ă©voque ses 40 ans de carriĂšre. Il parle de son amour pour les grands acteurs et critique ceux qui sont trop Ă©gocentriques. Il parle de ses dĂ©buts comme assistant de Jacques Feyder et RenĂ© Clair et de son article Quand le cinĂ©ma descendra dans la rue. Il Ă©voque Ă©galement l’atmosphĂšre et les personnages qu’il crĂ©e et qui participent du rĂ©alisme poĂ©tique. Une Histoire du cinĂ©ma français 2Ăšme Ă©mission, 1929-1939 De “Sous les toits de Paris” Ă  “La rĂšgle du jeu”, France Culture, documentaire, 2 heures RĂ©sumĂ© producteur De la tyrannie de l’ingĂ©nieur de son aux versions multiples. Du théùtre filmĂ© Ă  la crise de la production. Du rĂ©alisme poĂ©tique au Front Populaire. Des scĂ©naristes aux auteurs. De la CinĂ©mathĂšque Ă  la guerre. Avec les voix de Jacques Feyder, Marcel Pagnol, Sacha Guitry, Julien Duvivier, Henri Jeanson, Jean Vigo, Henri Langlois, Marcel Dalio, Jean Gabin, Arletty, Louis Jouvet, Raimu, Eric Von Stroheim, Michel Simon, Fernandel, Jean Rouch, etc.. » Dans les sources Ă©crites Histoire du cinĂ©ma, CinĂ©maction, numĂ©ro 73, Coordination RenĂ© Predal, pĂ©riodique PĂ©riodique qui fait l’histoire du cinĂ©ma, de ses origines et du muet jusqu’au cinĂ©ma d’auteur, en passant par le rĂ©alisme poĂ©tique. Une partie y est consacrĂ©e au chapitre XII. NĂ©orĂ©alisme italien 1943-1955 1945 Rome ville ouverte, Rossellini À la tĂ©lĂ©vision Roberto Rossellini prĂ©sente, Jean Marie Coldefy, janvier 1963, interview et entretiens, 11 Ă©pisodes, 3 min Compilation d’entretiens qui montrent Roberto Rossellini prĂ©sentant chacun de ses longs mĂ©trages. PrĂ©sentations qui devaient avoir lieu avant la diffusion de chacun des films Stromboli, Rome ville ouverte, India mĂšre patrie, Allemagne annĂ©e zĂ©ro, La Peur, Les Onze Fioretti de François d’assise, Jeanne au bĂ»cher, L’Amore, Voyage en Italie, Paisa, Europe 51. Il Ă©tait une fois, Rome ville ouverte, France 5, rĂ©a Marie Genin, documentaire, 52 minutes Marie Genin et Serge July s’intĂ©ressent Ă  l’un des films qui a le plus marquĂ© le nĂ©orĂ©alisme italien Rome ville ouverte de Roberto Rossellini. Dans ce documentaire ils ancrent la narration du film dans sa rĂ©alitĂ© historique. Des extraits de films, des archives d’entretiens et d’actualitĂ©s, alternent avec les tĂ©moignages des enfants de Rossellini. Participent Ă  ces entretiens Isabella Rossellini, Vittorio Taviani, Carlo Lizzani, PĂšre Virgilio Fantuzzi, Luca Magnani, Renzo Rossellini et Adriano Apra. À la radio Entretien en français de Roberto Rossellini, Plein feu sur les spectacles du monde, Programme National, RenĂ© Wilmet, date estimĂ©e probable de document enregistrĂ© entre 1947 et 1953, magazine, 2 min Le rĂ©alisateur parle de Rome, Ville ouverte et PaĂŻsa et de l’accueil du public français pour ces deux films. Il explique comment il filma alors que les Allemands Ă©taient encore prĂ©sents et parle de ses projets de nouveaux films. Roberto Rossellini, Radioscopie, France Inter, Jacques Chancel, entretien, 53 minutes Au micro de Jacques Chancel, Roberto Rossellini, ĂągĂ© de presque 80 ans philosophe sur la vie, se pose des questions existentielles, questionnant le rĂŽle du cinĂ©ma et de la tĂ©lĂ©vision, la lĂ©gislation au cinĂ©ma, le nĂ©orĂ©alisme italien, la nouvelle vague. François Truffaut ; Roberto Rossellini, Le CinĂ©ma des cinĂ©astes, France Culture, Claude Jean Philippe, 43 minutes Claude Jean Philippe s’entretient avec François Truffaut au sujet de la situation du cinĂ©ma face Ă  la libĂ©ration, les films qui ont dĂ©terminĂ© sa vocation de cinĂ©aste, sa rencontre avec AndrĂ© Bazin. S’ensuit d’une interview de Roberto Rossellini questionnant son intĂ©rĂȘt pour l’élaboration de la pensĂ©e, le rapport entre la culture et le cinĂ©ma. Dans les sources Ă©crites CinĂ©ma et monde rural, CinĂ©maction, coordination Predal RenĂ©, numĂ©ro 36, Ce pĂ©riodique met Ă  l’honneur le monde rural, souvent dĂ©valorisĂ© voire moquĂ© dans les films. Le nĂ©orĂ©alisme avait abordĂ© cette ruralitĂ© sans la moquer et cela est Ă©tudiĂ© par Guiseppe de Santis dans un des chapitres de cet ouvrage. Nouvelle vague française annĂ©es 1950-1960 1960 A bout de souffle, Godard À la tĂ©lĂ©vision Alexandre Astruc Les Mauvaises rencontres, Le CritĂ©rium du film, 1Ăšre chaine de l’ORTF, rĂ©a Colette Thiriet, pro Marcel Lherbier, 3 min 56 Marcel Lherbier parle d’Alexandre Astruc, qui disait qu’il fallait utiliser la camĂ©ra comme un stylo. Il interviewe l’actrice principale du film Les Mauvaises rencontres, afin de prĂ©senter le film qui va ĂȘtre diffusĂ©. François Truffaut Les 400 Coups, Cinq colonnes Ă  la une, 1Ăšre chaĂźne de l’ORTF, Pierre Desgraupes, magazine, 7 minutes PrĂ©sentation de trois extraits d’essais rĂ©alisĂ©s pour le casting des 400 coups de François Truffaut. On voit des duos d’enfants qui s’entraĂźnent dont Jean Pierre LĂ©aud. CinĂ©astes de notre temps, 2Ăšme chaĂźne, pro Janine Bazin, pro AndrĂ© S. Labarthe, rĂ©a Robert Valey, documentaire La Nouvelle vague par elle-mĂȘme 1Ăšre partie, 1 heure 35 minutes ; La Nouvelle vague, remĂšde ou poison 2Ăšme partie, 38 minutes La collection CinĂ©astes de notre temps de 1964 Ă  1972 produite par AndrĂ© S. Labarthe et Janine Bazin, l’épouse d’AndrĂ© Bazin, propose de nombreuses Ă©missions consacrĂ©es au cinĂ©ma et en particulier au cinĂ©ma de la Nouvelle Vague. Dans l’émission La Nouvelle vague par elle-mĂȘme, Pierre Kast, Alexandre Astruc, Jacques Doniol Valcroze parlent de la Nouvelle Vague, de la critique, des cinĂ©astes autodidactes, des principes de la Nouvelle Vague et comment elle est arrivĂ©e. Claude Chabrol, Jean Rouch, AgnĂšs Varda, Jacques Rivette, François Truffaut, Jean luc Godard, Jacques Rozier, Jacques Demy, Georges Franju, Jacques Daniel Pollet, parlent de leurs films. L’émission est ponctuĂ©e de nombreuses archives et extraits de films. La deuxiĂšme partie est consacrĂ©e Ă  l’aspect Ă©conomique de la Nouvelle Vague. Sont interviewĂ©s dans cette deuxiĂšme partie Henri Langlois, Georges de Beauregard, Jules Borkon, Pierre Braunberger, Jacques Flaud, Pierre Kast et RenĂ© Thevenet. Cette collection est reprise ensuite par Arte sous la direction d’AndrĂ© Labarthe de 1990 Ă  2003, sous le nom CinĂ©ma de notre temps. CinĂ© club. Cycle le souffle des annĂ©es 60 Les 400 coups, diffusĂ© sur France 2 le rediffusĂ© sur ARTE le rĂ©a François Truffaut, long mĂ©trage de fiction, 1h35 min Antoine Doinel fugue, fait l’école buissonniĂšre pour aller au cinĂ©ma. Ce film considĂ©rĂ© comme faisant l’autobiographie de son auteur marque les dĂ©buts du cinĂ©ma de la Nouvelle Vague avec Jean Pierre LĂ©aud, ĂągĂ© de 14 ans, souvent considĂ©rĂ© comme le jumeau de François Truffaut. Nouvelle vague vue d’ailleurs, Cannes 2009, ARTE, rĂ©a Luc Lagier, documentaire, 50 minutes RĂ©sumĂ© producteur Cinquante ans aprĂšs, la Nouvelle Vague continue de dĂ©ferler outre-Atlantique. Des rĂ©alisateurs amĂ©ricains Arthur Penn, James Gray, Paul Schrader
 montrent combien cette rĂ©volution artistique a influencĂ© le cinĂ©ma et leur travail. 
 » Documentaire ponctuĂ© d’archives, d’extraits de films et d’interviews. Le Redoutable, Canal +, rĂ©a Michel Hazanavicius, long mĂ©trage de fiction, 1h 44 min RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] En 1968, un jeune cinĂ©aste adulĂ© et mariĂ© avec une femme de vingt ans sa cadette remet son art en question quand Ă©clate la rĂ©volte estudiantine de Mai 1968. En 1967, Jean-Luc Godard est dĂ©jĂ  considĂ©rĂ© comme un maĂźtre, avec ses chefs-d’oeuvre Le MĂ©pris, Pierrot le fou et A bout de souffle. Mais le cinĂ©aste est en pleine remise en question de son art, qu’il trouve vain et qu’il s’apprĂȘte Ă  tuer, tandis qu’éclate la rĂ©volte Ă©tudiante de mai 1968. Il se passionne pour la rĂ©volution et les discours maoĂŻstes et marxistes qu’il soutient. Il vit avec Anne Wiazemsky, de vingt ans sa cadette et qu’il ne traite pas trĂšs bien. Egocentrique et Ă©goĂŻste, il empĂȘche sa femme de vivre
 » À la radio Le Jeune cinĂ©ma français, Adelin Trinon, France vivante, France Culture, dĂ©bat Table ronde de jeunes Belges, Suisses et Canadiens Ă©tudiants dans une Ă©cole de cinĂ©ma de Bruxelles. Ils questionnent ensemble l’apport de la Nouvelle Vague, l’influence de Godard, la nĂ©cessitĂ© de se tourner vers des films rĂ©alistes, et donnent leur opinion sur Chabrol, Truffaut et Lelouch. Biographie AgnĂšs Varda, pro Jean Daive, pro Alain Veinstein, Nuits magnĂ©tiques, France Culture, magazine, 1h21 min AgnĂšs Varda, interviewĂ©e par Jean Daive parle de son enfance morne, son Ă©ducation, son professeur Gaston Bachelard, ses reportages photographiques, la rĂ©alisation de son premier film La Pointe courte, la nouvelle vague, les difficultĂ©s de son mĂ©tiers, de la diffusion de certains de ses films, son itinĂ©raire en tant que femme. La Nouvelle Vague, El Cine frances, jou Ignacio Ramonet, Radio France internationale, 30 minutes, langue espagnole La Nouvelle Vague et le phĂ©nomĂšne Vadim-Bardot avec Et dieu crĂ©a la femme. Il est aussi question de Louis Malle, Melville, Truffaut, Godard et Chabrol avec des extraits de leurs films. Claude Chabrol, prĂ© Monique Desbarbat, prĂ© Claude Villiers, Le Tribunal des flagrants dĂ©lires, France Inter, 58 minutes Emission humoristique conçue comme un tribunal dans lequel l’invitĂ© du jour doit comparaitre. Claude Chabrol y est invitĂ© et est accusĂ© de haute trahison Ă  l’esprit de la Nouvelle Vague et d’incitation Ă  la surconsommation au vu de ses nombreuses dĂ©clarations concernant la gastronomie. CinĂ©mathĂšque en libertĂ©, Nuits magnĂ©tiques, Les Nuits de France Culture, France Culture, pro Chantal de BĂ©chade, 5 Ă©missions, dĂ©cembre 2017, documentaire, 1h 25 min La Nouvelle vague, les pavĂ©s, la plage », troisiĂšme volet d’un documentaire en cinq parties sur l’histoire de la CinĂ©mathĂšque française. Episode sur l’importance de la cinĂ©mathĂšque pour les cinĂ©astes de la Nouvelle Vague et de l’influence de ces derniers sur le cinĂ©ma mondial. Pour Henri Langlois, fondateur de la cinĂ©mathĂšque, la nouvelle vague c’est l’autodidacte, l’art contre les gens qui pensent que la crĂ©ation artistique s’apprend dans les Ă©coles. Chantale de BĂ©chade, elle, explique le rĂŽle important qu’a jouĂ© la cinĂ©mathĂšque dans l’apparition de la Nouvelle Vague. Dans les sources Ă©crites Les Cahiers du cinĂ©ma, Editions de l’Etoile,1951-2020, pĂ©riodique, critique Cette revue de critique de film a Ă©tĂ© fondĂ©e par Jacques Doniol-Valcroze, Joseph-Marie Lo Duca, AndrĂ© Bazin et LĂ©onide Keigel. Parmi les premiers rĂ©dacteurs, on compte de nombreux cinĂ©astes que l’on va rattacher au courant de la Nouvelle Vague comme Eric Rohmer ses premiers articles sont signĂ©s de son vrai nom Maurice SchĂ©rer, Claude Chabrol, Hans Lucas alias Jean Luc Godard, Truffaut, Jacques Rivette. Cette revue se compose gĂ©nĂ©ralement d’entretiens ou d’articles critiques qui revendiquent un certain cinĂ©ma. On peut relever des articles phares comme Une certaine tendance du cinĂ©ma français » et la Politique des auteurs » de François Truffaut. La revue va ĂȘtre reprise par Serge Daney, Serge Toubiana puis Antoine de Baecque, Charles Tesson et bien d’autres. Elle est aujourd’hui dirigĂ©e par StĂ©phane Delorme. Nouvelle vague, Jacques Siclier, 7e art, Edition du Cerf, 1961, 132 pages Ce petit livre retrace la naissance de la nouvelle vague, le contexte de crĂ©ation dans une crise Ă©conomique du cinĂ©ma, qui donne une place importante Ă  la critique, et créé un univers Ă  part. La Nouvelle Vague version Godard, Travail universitaire, mĂ©moire, sous la direction de Dana Jorge, 1985, 55 pages MĂ©moire de diplĂŽme en information et communication de l’IFP, UniversitĂ© Paris II, soutenu par Anne Gillet sous la direction de Jorge Dana. MĂ©moire qui trace l’avĂšnement de la Nouvelle vague dans le cinĂ©ma français, sa situation historique et ses principes. Questionne Ă©galement la place et la vision de Godard dans la Nouvelle Vague. Les Cahiers du cinĂ©ma histoire d’une revue, Antoine De Baecque, Cahier du cinĂ©ma, 1991, 316 pages, livre illustrĂ© Tome 1 Ă  l’assaut du cinĂ©ma de 1951 Ă  1959 RĂ©sumĂ© Ă©diteur Avril 1951. Dans un petit bureau des Champs-ElysĂ©es, Jacques Doniol- Valcroze, Lo Duca et LĂ©onide Keigel feuillettent les premiers exemplaires d’une nouvelle revue voulue par AndrĂ© Bazin les Cahiers du cinĂ©ma. La couverture du premier numĂ©ro est dĂ©jĂ  jaune, et sera longtemps un signe de ralliement des cinĂ©philes. Mai 1959. Les Quatre Cents Coups triomphe au Festival de Cannes. DerriĂšre François Truffaut, c’est toute une gĂ©nĂ©ration de critiques – de Claude Chabrol Ă  Jean-Luc Godard, Jacques Rivette ou Eric Rohmer.
. L’histoire des Cahiers du cinĂ©ma est celle d’une gĂ©nĂ©ration enthousiaste et injuste, brillante et provocatrice, conviviale et divisĂ©e, qui va donner naissance Ă  la Nouvelle Vague. La figure centrale de ce noyau de moralistes du cinĂ©ma est incontestablement AndrĂ© Bazin qui, selon le mot de Truffaut, fut un homme cĂ©lĂšbre par sa bontĂ© » 
 La Nouvelle Vague et le cinĂ©ma d’auteur socio analyse d’une rĂ©volution artistique, Mary Philippe, Editions Du Seuil, 2006, 211 pages. RĂ©sumĂ© Ă©diteur De Truffaut Ă  Godard ou Resnais, de Chabrol Ă  Rivette ou Varda, le jeune cinĂ©ma» de la Nouvelle Vague marque, au dĂ©but des annĂ©es 1960, un tournant. Au cinĂ©ma de la QualitĂ©, celui de CarnĂ© et PrĂ©vert, de Gabin et Jouvet, des maĂźtres du dĂ©cor et de la lumiĂšre, des professionnels de la profession», se substitue un cinĂ©ma d’auteur», libĂ©rĂ© de son carcan technicien, indĂ©pendant des impĂ©ratifs Ă©conomiques et du vedettariat et capable de confronter», selon le mot de Godard, des idĂ©es vagues avec des images claires» L’ambition de ce livre est de proposer une socio-analyse de cette rĂ©volution artistique» cerner les rĂšgles professionnelles, les hiĂ©rarchies sociales ou les tendances de la critique qui caractĂ©risent le cinĂ©ma français. » Nouvel Hollywood annĂ©es 60-80 Dennis Hopper, Francis For Coppola, Brian De Palma, George Lucas, Martin Scorcese, Michael Cimino, Steven Spielberg À la tĂ©lĂ©vision Scarface de Brian De Palma, Etoiles et toiles, TF1, rĂ©a Adrian Maben, par Al Pacino et Brian De Palma, 1 heure Brian De Palma et Al Pacino sont interviewĂ©s au moment de la sortie de Scarface de Brian De Palma, remake du Scarface d’Howard Hawks. Des extraits des films sont prĂ©sentĂ©s, Al Pacino est interviewĂ© sur son rĂŽle d’acteur et Brian de Palma sur l’emploi de la violence dans ses films. The Scorsese machine, CinĂ©ma, de notre temps = Kino unsere Zeit, ARTE, pro AndrĂ© Sylvain Labarthe, pro Janine Bazin, documentaire, 1h14 min L’équipe de CinĂ©ma de notre temps a filmĂ© Martin Scorsese, Ă  New York au mois de novembre 1988, dans ses bureaux, parmi ses principaux collaborateurs. Plus que d’un entretien traditionnel, il s’agit d’une prĂ©sentation “de l’intĂ©rieur” du “systĂšme Scorsese”. Documentaire qui se dĂ©roule de maniĂšre chronologique, la date et l’heure apparaissent Ă  chaque sĂ©quences Ă  l’écran. On voit Scorsese dans son bureau, recevant des collaborateurs. On voit mĂȘme Scorsese discuter avec Brian De Palma, en repas de famille avec ses parents. En alternance avec ces sĂ©quences de vie quotidienne, Scorsese s’adresse Ă  la camĂ©ra pour raconter les films qui ont marquĂ© son enfance, parle du montage etc. Story Easy Rider, Personne ne bouge, ARTE, jou FrĂ©dĂ©ric Bonnaud, 15. 11. 2015, 8 minutes En 1969, Easy Rider donne naissance Ă  un renouveau du cinĂ©ma ce qui va entamer la pĂ©riode du Nouvel Hollywood. Jean Baptiste Thoret et Bruno Isher reviennent sur sa crĂ©ation. Wasn’t Born to Follow, Sur les traces d’Easy Rider, Pop culture, ARTE, rĂ©a Simon Witter, rĂ©a Hannes Rossacher, 52 minutes Ce documentaire fait partie d’une sĂ©rie de quatre, consacrĂ©s au film Easy Rider Dennis Hopper, 1969. RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Sur un texte dit par GĂ©rard Lanvin, les documentaristes poursuivent leur route d’Easy Rider avec, dans cet Ă©pisode, la drogue comme fil conducteur. La drogue est au centre de ce troisiĂšme Ă©pisode, qui confronte le tournage du film Ă  un Ă©tat des lieux plus de quarante ans aprĂšs. Outre Peter Fonda et Dennis Hopper – dĂ©cĂ©dĂ© en mai 2010 -, Guy Lawson, journaliste au magazine Rolling Stone, et deux spĂ©cialistes des drogues interviennent. La drogue faisait partie de notre processus crĂ©atif », se souvient Dennis Hopper. Les documentaristes se penchent Ă©galement sur les relations d’amour-haine entre bikers et hippies, rapprochĂ©s par certaines valeurs – le rejet des normes bourgeoises et l’envie de nomadisme. Le LSD les avait rĂ©unis une fois en 1967, lors d’un happening gĂ©ant Ă  San Francisco, oĂč les 40 000 hippies prĂ©sents furent encadrĂ©s par les Hell’s Angels. » Summer of scandals Hollywood Confidential, les Ă©gouts du paradis, ARTE, rĂ©a JĂ©rĂŽme Korkikian, documentaire, 57 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Le cinĂ©aste Peter Bogdanovich et l’historien Peter Biskind dĂ©taillent un siĂšcle de scandales hollywoodiens. Ils illustrent leur propos d’extraits de films. Des films emblĂ©matiques comme Scarface de Howard Hawks, La Mort aux trousses et Psychose d’Alfred Hitchcock, L’Homme au bras d’or d’Otto Preminger, Orange mĂ©canique de Stanley Kubrick et Taxi Driver de Martin Scorsese complĂštent leur propos. L’exemple de Judy Garland, dont la toxicomanie fut cyniquement instrumentalisĂ©e par les studios, illustre Ă  merveille le contexte qui rĂ©gnait Ă  Hollywood. AprĂšs la pĂ©riode de censure du code Hayes souffle une Ăšre de libertĂ©, suivie par l’avĂšnement des blockbusters. » A la radio Le Nouvel Hollywood, Programme musical, France Musique, prĂ© Olivier Le Borgne, Ă©mission Ă  base de disques, 1 heure Panorama des musiques des films mythiques de la pĂ©riode du Nouvel Hollywood, qui ont marquĂ© leur Ă©poque. Elles sont Ă©coutĂ©es dans cette Ă©mission. Peter Biskind, Charivari, France Inter, pro FrĂ©dĂ©ric Bonnaud, 42 minutes FrĂ©dĂ©ric Bonnaud reçoit Peter Biskin, auteur de Le Nouvel Hollywood paru en 2003 et Sexe, mensonges et Hollywood paru en 2004 RĂ©sumĂ© producteur 
 Il y a quatre ans, le journaliste amĂ©ricain Peter Biskind avait publiĂ© Le Nouvel Hollywood, ou comment la gĂ©nĂ©ration sex, drugs- and-rock’n’roll » a sauvĂ© Hollywood. Dans ce livre, Peter Biskind racontait comment des cinĂ©astes tels que Martin Scorsese, Francis Ford Coppola, George Lucas et Steven Spielberg avaient pris le pouvoir et fait seulement les films qu’ils voulaient faire, des films trĂšs personnels, sans se soumettre aux ordres des grands studios. Les annĂ©es 70 resteront comme de grandes annĂ©es pour le cinĂ©ma amĂ©ricain, tant la libertĂ© et l’inspiration Ă©taient alors au pouvoir. 
 Dans un nouveau livre, intitulĂ© Sexe, mensonges et Hollywood et toujours publiĂ© au Cherche-midi, Peter Biskind raconte les annĂ©es 80 et 90, avec le succĂšs du concept assez discutable de cinĂ©ma indĂ©pendant, la crĂ©ation du fameux Festival de Sundance par Robert Redford, et l’ascension de Miramax, la maison de production des frĂšres Weinstein. Les cinĂ©astes de ces annĂ©es-lĂ  s’appellent Steven Soderbergh ou Quentin Tarantino, et Martin Scorsese y fait figure de grand survivant des seventies. 
 Sur la route de Dennis Hopper, Surpris par la nuit, France Culture, pro FrĂ©dĂ©ric Bas, pro Alain Veinstein, , documentaire, 1h 14 min Documentaire sur le rĂ©alisateur et acteur Dennis Hopper Ă  l’occasion de l’exposition Ă  la cinĂ©mathĂšque de Paris. Sont interviewĂ©s Brice Matthieussent, J. F. Rauger, Serge Toubiana, Matthieu Orleans, Jean Baptiste Thoret, P. Edelman et Dennis Hopper. Ils Ă©voquent les dĂ©buts de Dennis Hopper, la rĂ©alisation de Easy Rider, sa rencontre avec James Dean, et l’émergence du road movie. RĂ©sumĂ© producteur Ceux qui ont vu L’Ami amĂ©ricain de Wim Wenders 1977 n’ont pas oubliĂ© son ouverture un homme avec un chapeau de cow-boy arrive en taxi Ă  Hambourg c’est Dennis Hopper dans le rĂŽle de Ripley. Il vient rendre visite Ă  son vieil ami, le peintre Pogash interprĂ©tĂ© par Nicholas Ray, le premier grand cinĂ©aste qui a fait jouer l’acteur Hopper dans les annĂ©es 1950. 
 Acteur-icĂŽne qui a traversĂ© l’histoire du cinĂ©ma hollywoodien en accompagnant les mĂ©tamorphoses de l’AmĂ©rique depuis l’émergence du Rebelle dans les fifties La Fureur de vivre, GĂ©ant jusqu’au Freak bordeline des annĂ©es 1980 et 1990 Blue velvet, Speed, Dennis Hopper a explosĂ© en donnant une incarnation dĂ©finitive Ă  la contre-culture amĂ©ricaine post-beat generation. 
 » Autour du Nouvel Hollywood, CinĂ©ma song, France Musique, pro Thierry Jousse, 2 Ă©missions, et 1h30 min Cette Ă©mission de la collection CinĂ©ma song, consacrĂ©e Ă  la musique de films, s’intĂ©resse Ă  la bande son des films du Nouvel Hollywood. Dans les sources Ă©crites TĂ©lĂ©rama [du 22 au 28 octobre 1977], TĂ©lĂ©rama, numĂ©ro 1449, François de Closets, Daniel Karlin, pĂ©riodique Article sur le Nouvel Hollywood dans lequel diffĂ©rents zooms sont faits sur des rĂ©alisateurs emblĂ©matiques sur Francis Ford Coppola auteur non prĂ©cisĂ©, William Friedkin auteur non prĂ©cisĂ©, George Lucas auteur Gilbert Salachas, Steven Spielberg auteur Alain Remond Positif [fĂ©vrier 1985], numĂ©ro 288, pĂ©riodique Chapitre consacrĂ© Ă  Francis Ford Coppola la comĂ©die des masques » sur Cotton Club de Jean. A. Gili ; Y a-t-il un spectateur dans la salle ? » Sur Cotton Club de Vincent Amiel ; Stormy weather Histoire d’une production de Hubert Niogret ; La saga du Parrain » de Michel Cieutat. L’art du film, une introduction, Arts et cinĂ©ma, David Bordwell, Kristin Thompson, De Boeck UniversitĂ©, 2000, 637 pages. Ouvrage qui s’intĂ©resse aux questions de l’esthĂ©tique du film, analyse de sĂ©quence et propos sur des thĂ©ories du cinĂ©ma. Ce livre finit sur un chapitre consacrĂ© au Nouvel Hollywood 5 pages Ă  ce propos, de la page 578 Ă  583. Dogme95 depuis 95 InitiĂ© par Lars Von Trier et Thomas Vinterberg À la tĂ©lĂ©vision Les Idiots, Canal +, rĂ©a Lars von Trier, long mĂ©trage, fiction, 1h 50 min En 1998, Lars Von Trier rĂ©alise Les Idiots, deuxiĂšme volet de sa trilogie cƓur en or » qui contient en premier Breaking the wave 1996 et en dernier Dancer in the Dark 2000. Le films suit des adultes anti-bourgeois qui se comportent comme des idiots pour provoquer le politiquement correct ». KinocinĂ© [programme du 23 Octobre 2000], ARTE, tranche horaire, 4 heures SoirĂ©e consacrĂ©e Ă  Dogme 95 avec Breaking the waves, film long mĂ©trage de Lars von Trier suivi du documentaire de 27 minutes Lars von Trier reflets dans un cƓur d’or de Xavier Villetard qui dresse un portrait du cinĂ©aste. S’ensuit Free Dogme, un documentaire de 52 minutes de Marie Berthelius et Roger Narbonne sur le principe du dĂ©bat-tournage » dans lequel sont interviewĂ©s par tĂ©lĂ©phone Lars von trier, Jean Marc Barr, Lone Scherfig et Wim Wenders. Ils se filment en mĂȘme temps qu’ils s’appelent mais ne se voient pas. Enfin, un vidĂ©oclip Lars Von Trier & the Idiot All star interprĂštent You’re a lady ». Festen – FĂȘte de famille, ARTE, rĂ©a Thomas Vinterberg, long mĂ©trage, fiction, 1h 40 min En 1998, Thomas Vinterberg rĂ©alise Festen, l’histoire d’un dĂźner de famille lourd en rĂ©vĂ©lations. Ce film rĂ©alisĂ© au dĂ©but du mouvement Dogme95 en annonce les principes. Le Nouveau cinĂ©ma scandinave, Le Documentaire culturel spĂ©cial Cannes, ARTE, StĂ©phane Bergouhnioux, 53 minutes Longtemps aprĂšs Ingmar Bergman et aprĂšs le Dogme 95 incarnĂ© par Lars von Trier Palme d’or en 2000 et en compĂ©tition l’annĂ©e derniĂšre Ă  Cannes, une nouvelle gĂ©nĂ©ration d’auteurs issue des Ă©coles de cinĂ©ma scandinaves voit le jour. Avec talent et succĂšs, et grĂące Ă  un systĂšme de production inter-pays propre Ă  l’Europe du Nord, ces jeunes cinĂ©astes dĂ©veloppent une Ă©criture formelle et des thĂ©matiques originales, entre goĂ»t de la transgression et prĂ©occupations sociales et morales. En parcourant les paysages naturels et urbains de la Scandinavie, partie intĂ©grante de ce cinĂ©ma, les rĂ©alisateurs du documentaire vont Ă  la rencontre de ces jeunes cinĂ©astes, pour comprendre avec eux ce qui fait leur identitĂ©. DĂ©cryptage Lars Von Trier, SpĂ©cial pays nordiques, Court-circuit, ARTE, 6 minutes Reportage dans lequel Martin Hanse Strange et Peter Schepelern s’expriment au sujet de Lars Von Trier. Martin Hanse Strange, rĂ©alisateur, commente l’influence du cinĂ©aste Lars Von Trier et de son mouvement Dogme 95 sur le cinĂ©ma danois. Peter Schepelern, enseignant en Ă©tude cinĂ©matographiques et maĂźtre de confĂ©rence narre le parcours et la formation de Lars Von Trier qu’il eĂ»t en tant qu’élĂšve. À la radio Lars von Trier, le passager de l’Europe, CinĂ© club, Les Nuits de France Culture, France Culture, Catherine Paoletti, documentaire, 1h 25 min RĂ©sumĂ© producteur Le cinĂ©ma du Danois Lars von Trier, dont la personnalitĂ© Ă©nigmatique n’exclut pas un sĂ©rieux sens de l’humour, se caractĂ©rise par une exploration systĂ©matique des genres cinĂ©matographiques thriller, historique, mystique, comĂ©die musicale, qu’il se rĂ©approprie et qu’il rĂ©investit tout Ă  fait singuliĂšrement en les traduisant au grĂ© de ses obsessions et de son imaginaire personnel. Sa quĂȘte inlassable de l’origine du mal, de ce flĂ©au trĂšs singulier qui un jour, fit basculer l’Europe dans l’horreur, est interrogĂ© sans relĂąche. 
 Avec Jean-Marc Barr, comĂ©dien dans les films Europa et Breaking the waves ; Claude Darras, plasticien ; Carole Desbarats, directrice de la FĂ©mis ; Wolfgang Ernst, historien Ă  l’Ecole supĂ©rieure des arts et mĂ©dias de Cologne ; Jean Max Mejean critique Ă  la revue CinĂ©ma Action ; la voix de Lars von Trier. » Thomas Vinterberg, Boomerang, France Inter, pro Augustin Trapenard, 28 minutes Le film La CommunautĂ© de Thomas Vinterberg narre une pĂ©riode qu’il regrette qui est la pĂ©riode de la communautĂ© qu’il a connu, y ayant vĂ©cu. Il questionne ici l’individu dans le collectif. RĂ©sumĂ© producteur [Source site internet de France Inter] PrĂšs de vingt ans aprĂšs son cultissime Festen, son nouveau film La CommunautĂ© sort aujourd’hui et c’est un Ă©vĂšnement ! Thomas Vinterberg est l’invitĂ© d’Augustin Trapenard. Son cinĂ©ma nous parle des espoirs, des limites et des errances de la communautĂ©. Dans ses films il en explore aussi bien les travers que les joies et les promesses. Son nouveau film, La CommunautĂ©, est donc Ă  l’image de son oeuvre prolifique. Le cinĂ©aste danois nous y raconte l’histoire d’une utopie collective, mise Ă  l’épreuve par les lois impitoyables du dĂ©sir. » Dans les sources Ă©crites Positif [fĂ©vrier 1985], numĂ©ro 288, fĂ©vrier 1985, PĂ©riodique Chapitre consacrĂ© Ă  Lars Von Trier. L’Europe aprĂšs la pluie sur Element of Crime de Emmanuel CarrĂšre ; Entretien avec Lars Von Trier de Michel Ciment et Hubert Niogret. CinĂ©ma 26, Fonds Arte CinĂ©ma, diapositives et photos Photos de tournages de FĂȘte de famille Titre original Festen, rĂ©alisĂ© par Thomas Vinterberg en 1998, interprĂ©tĂ© par Ulrich Thomsen, Henning Moritzen, Thomas Bo Larsen, Paprika Steen, Birthe Neumann. 3 – Quelques films internationaux Ă  voir ou revoir des annĂ©es 1980-2020 SuĂšde Fanny et Alexandre, ARTE, rĂ©a Ingmar Bergman, version 3 heures, long mĂ©trage de fiction, VF Long mĂ©trage original d’une durĂ©e de 5h et 26 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] AprĂšs la mort tragique de leur pĂšre acteur, deux enfants souffrent du dĂ©sastreux remariage de leur mĂšre avec un Ă©vĂȘque puritain de l’Eglise de SuĂšde. En SuĂšde, au dĂ©but du XXe siĂšcle. Helena Ekdahl, propriĂ©taire du théùtre d’Uppsala, a invitĂ© sa famille et ses amis pour de somptueuses festivitĂ©s de NoĂ«l. Ses trois fils sont prĂ©sents, Oscar, comĂ©dien mĂ©diocre, Gustav Adolf, Ă©ternel coureur de jupons, et Carl, un professeur alcoolique. Parmi les petits-enfants qui prennent joyeusement part Ă  la fĂȘte, Fanny et Alexandre. Au cours d’une rĂ©pĂ©tition, leur pĂšre, Oscar, est victime d’une hĂ©morragie cĂ©rĂ©brale. Sa mort soudaine jette la consternation dans la famille Ekdahl. L’évĂȘque Edvard Vergerus cĂ©lĂšbre les funĂ©railles. Il sĂ©duit Emilie, la jeune veuve, et bientĂŽt l’épouse, au grand effroi des enfants, qui redoutent son puritanisme obsessionnel
 » RĂ©compensĂ© de quatre oscars et un cĂ©sar. Canada Videodrome, Nuit Cronenberg, Canal +, rĂ©a David Cronenberg, 1 heure 23 minutes, long mĂ©trage, fiction, VF Le patron d’une chaĂźne TV Ă©rotique capte un programme-pirate qui provoque des hallucinations et l’amĂšne Ă  se comporter de maniĂšre Ă©trange. RĂ©compensĂ© du prix du meilleur film de sciences fiction au festival international de film fantastique de Bruxelles. David Cronenberg remporte Ă©galement le prix GĂ©nie du meilleur rĂ©alisateur et est nommĂ© dans 7 autres catĂ©gories de ce prix. France, Royaume Uni, Etats-Unis Paris, Texas, ARTE, rĂ©a Wim Wenders, premiĂšre diffusion, RediffusĂ© le long mĂ©trage, fiction, 2 heure 19 minutes Un homme, Travis, erre dans le dĂ©sert, sans famille. Son frĂšre vient Ă  sa rencontre et renoue avec lui. Ces retrouvailles permettent Ă  Travis de renouer avec son fils avec lequel il part Ă  la recherche de sa mĂšre. Espagne Femmes au bord de la crise de nerf, France 2, rĂ©a Pedro Almodovar, long mĂ©trage, fiction, 1 heure 25 minutes, VF Ivan et Pepa, deux comĂ©diens de doublage sont amants depuis plusieurs annĂ©es. Subitement Ivan dĂ©laisse Pepa et elle comprend qu’il mĂšne une double vie
 Il remporte de trĂšs nombreuses rĂ©compenses dont cinq Goyas, un Oscar, un Golden Globes et un BAFTA. Hong Kong Chungking express , Mon cinĂ©club, Canal +, rĂ©a Wong Kar-wai, 1 heure 40 minutes, long mĂ©trage de fiction, VOSTFR Deux policiers noient parallĂšlement leur chagrin d’amour
 Ce film remporte de nombreuses rĂ©compenses au Hong Kong film Awards, Faye Wong remporte le prix de la meilleure actrice au Festival du film de Stockholm et l’acteur Tony Leung Chiu-wai remporte le prix du meilleur acteur au Golden Horse Film Festival TaĂŻwan, Hong Kong, Etats-Unis, Chine Tigre et dragon Titre original Crouching tiger hidden dragon, Canal +, rĂ©a Ang Lee, long mĂ©trage, fiction, 1 heure 55 minutes Dans la Chine du XIXĂšme siĂšcle, Li Mu Bai possĂšde une Ă©pĂ©e magique nommĂ©e DestinĂ©e », elle est l’objet de nombreuses convoitises. Il la confie Ă  une guerriĂšre en lui donnant l’objectif de la remettre au seigneur TĂ© mais une fois la nuit tombĂ©e, un voleur vient la lui dĂ©rober
 Ce film reçoit d’innombrables rĂ©compenses mais on peut cependant relever quatre oscars, deux Golden Globes, quatre BAFTA Awards et huit Hong Kong film Awards France, Allemagne Le fabuleux destin d’AmĂ©lie Poulain, Canal +, rĂ©a Jean Pierre Jeunet et Marc Caro, long mĂ©trage, fiction, 1 heure 56 minutes. AmĂ©lie est pleine d’imagination. Elle vit dans Paris et se plait Ă  observer la vie des gens autour d’elle. Elle se fixe l’objectif de rendre les gens autour d’elle heureux et va alors faire de nombreuses rencontres. Ce long mĂ©trage remporte Ă©galement de nombreuses rĂ©compenses et nous n’en nommerons que quelques unes 4 cĂ©sars, 2 BAFTA et 3 prix LumiĂšres. Etats-Unis, France Mulholland Drive, Canal +, rĂ©a David Lynch, long mĂ©trage, fiction, 2 heures 20 minutes, VF Une jeune actrice, Betty, tente de faire carriĂšre Ă  Hollywood. ParallĂšlement, une femme perd la mĂ©moire dans un accident de voiture. Elle se rĂ©fugie alors chez Betty qui va l’aider Ă  retrouver sa mĂ©moire ainsi que son identitĂ©. Ce film est rĂ©compensĂ© du prix de la meilleure mise en scĂšne au festival de Cannes, ex-aequo avec The Barber. Il remporte Ă©galement le CĂ©sar du meilleur film Ă©tranger et le BAFTA du meilleur montage pour Mary Sweeney. Etats-Unis Kill Bill volume 1, Canal +, rĂ©a Quentin Tarantino, long mĂ©trage, fiction, 1 heure 46 minutes, public + 16 ans, VF Le jour de ses noces, une femme est laissĂ©e pour morte, au milieu de ses convives, morts. Quatre ans plus tard, elle sort du coma et dĂ©cide de venger la mort de ses proches. Ce film remporte entre autres, le prix du public au festival international de films de Catalogne. Il est nominĂ© aux Golden Globes et au BAFTA Awards. BrĂ©sil La CitĂ© des hommes = Cidade dos homens, Mardi dĂ©couverte, Canal +, rĂ©a Paulo Morelli, 1 heure 46 minutes, long mĂ©trage de fiction Acerola et Laranjinha, deux amis ĂągĂ©s de 18 ans, vivent dans les favelas de Rio de Janeiro. Ils voient une guerre des gangs Ă©clater
 En prolongement de la sĂ©rie du mĂȘme nom, Paulo Morelli raconte les favelas, questionnant les problĂ©matiques de gangs, de violences. Ce film est nominĂ© au Cinema Brazil Grand Prize Mauritanie, France Timbuktu, Coup de cƓur, Canal +, rĂ©a Abderrahmane Sissako, Long mĂ©trage de fiction, 1 heure 31 minutes Des djihadistes imposent leurs lois dans un village non loin de Tombouctou. Face Ă  eux, les habitants tentent de se rebeller mais les djihadistes imposent la charia et des sentences Ă  ceux qui ne respecteraient pas leurs lois. Reçoit de nombreuses rĂ©compenses dont 7 prix aux CĂ©sars, le prix du jury du Festival de Cannes ainsi que le Globes de Cristal. Etats-Unis The Revenant, Canal +, rĂ©a Alejandro Gonzalez Inarritu, long mĂ©trage, fiction, 2 h27 min, VF RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Au debut du XIXe siĂšcle, un trappeur, attaquĂ© par un ours et affaibli par ses blessures, parcourt 300 kilomĂštres pour retrouver l’assassin de son fils. Au dĂ©but du XIXe siĂšcle, Hugh Glass, un trappeur accompagnĂ© par son fils, un Indien mĂ©tis, guide des colons. Le convoi est attaquĂ© par des Indiens et tente de leur Ă©chapper par les montagnes. GriĂšvement blessĂ© par un ours, Glass est confiĂ© Ă  John Fitzgerald, qui le dĂ©teste, et au jeune et innocent Jim Bridger. Fitzgerald tue le fils de Glass, ment Ă  Bridger et le convainc d’enterrer le trappeur. Mais Glass parvient Ă  s’extirper de sa tombe, bien dĂ©cidĂ© Ă  retrouver celui qui lui a enlevĂ© son fils. Affaibli par ses blessures, il peut compter sur sa soif de vengeance pour parcourir les 300 kilomĂštres qui le sĂ©parent de son pire ennemi
 » RĂ©compensĂ© de divers prix dont 3 Golden Globes et 3 Oscars. France, Allemagne, Turquie, Qatar Mustang, Coup de cƓur, Canal +, rĂ©a Deniz Gamze ErgĂŒven Long mĂ©trage de fiction, 1 heure 33 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Dans un village turc, cinq jeunes filles sont confrontĂ©es aux traditions rigoristes de leur entourage. Elles sont bientĂŽt enfermĂ©es dans la maison familiale. C’est le dernier jour de l’annĂ©e scolaire dans un village reculĂ© de Turquie. Lale et ses quatre soeurs rentrent de cours et jouent Ă  la plage avec des garçons. Mais leurs jeux innocents font grand bruit dans le village trĂšs conservateur et leur grand-mĂšre, outrĂ©e par ce qu’elle estime ĂȘtre de l’impudeur, les sanctionne dĂšs leur retour Ă  la maison. Entre les jeunes filles et les adultes, c’est le dĂ©but d’une confrontation faite d’incomprĂ©hension. Peu Ă  peu, la maison familiale se transforme en prison pour les jeunes filles qui ne rĂȘvent que de libertĂ© et se rebellent contre les traditions
 » Ce film remporte de nombreuses rĂ©compenses dont le prix Label Europea Cinema de la Quinzaine des rĂ©alisateurs, le duc d’or du meilleur film au festival international de films d’Odessa, 4 prix LumiĂšres, 4 CĂ©sars. Royaume Uni, France Moi, Daniel Blake, Canal +, rĂ©a Ken Loach, long mĂ©trage, fiction, 1 heure 36 minutes, VF RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Alors qu’il se bat pour avoir une allocation, un menuisier de 60 ans, cardiaque, croise la route d’une mĂšre de deux enfants qui peine Ă  survivre. Atteint d’une maladie cardiaque, Daniel Blake, menuisier, ne peut plus travailler. Or, l’administration ne l’entend pas de cette oreille il doit rechercher un emploi sous peine de sanction. Alors que, ĂągĂ© de 59 ans, il doit apprendre Ă  se dĂ©brouiller avec un ordinateur pour faire ses dĂ©marches, il croise le chemin de Katie, une femme cĂ©libataire mĂšre de deux enfants. Elle a dĂ» quitter sa ville natale pour ne pas ĂȘtre placĂ©e dans un foyer d’accueil. Ensemble, ils vont se serrer les coudes. Daniel finit par dĂ©crocher un emploi mais doit renoncer Ă  cause de ses problĂšmes de santĂ©. Il engage alors une bataille contre l’administration et ses aberrations
 » RĂ©compensĂ© de la Palme d’Or au festival de Cannes, ainsi que du CĂ©sar pour le meilleur film Ă©tranger et 4 BAFTA CorĂ©e du sud Mademoiselle, Canal +, rĂ©a Park Chan-Wook, long mĂ©trage de fiction, 2 heures 16 minutes Dans les annĂ©es 1930, en CorĂ©e, une femme riche vit recluse dans un manoir avec son oncle tyrannique. Un escroc qu’on nomme le Comte » engage une pickpocket qu’il place comme servante chez la riche femme. Remporte le prix Vulcain de l’artiste technicien Ă  la CompĂ©tition officielle du Festival de Cannes, pour Ryu Seong-hie, directeur artistique et le Boston Online Film Critics Association Awards pour le meilleur film en langue Ă©trangĂšre, parmi d’autres prix. Sources Ă©crites L’annĂ©e du cinĂ©ma, aut Isabelle Danel, aut DaniĂšle Heymann, aut Pierre Murat, Ă©dition Calmann-LĂ©vy, livre illustrĂ© de photos, 253 pages Collection qui recense entre 1977 et 2004 les films sortis Ă  l’annĂ©e. Exemple L’annĂ©e du cinĂ©ma 2000 » ; L’annĂ©e du cinĂ©ma 1983 » etc. Des chapitres sont consacrĂ©s au films phares » et aux festivals. Pendant les travaux, le cinĂ©ma reste ouvert, Thierry Jousse, Cahiers du cinĂ©ma, Edition de l’étoile, 2003, 248 pages, RĂ©sumĂ© Ă©diteur L’ambition de ce livre est de tracer le portrait d’un moment clĂ© du cinĂ©ma, les annĂ©es 90, oĂč les mutations Ă©conomiques, esthĂ©tiques, technologiques ont obligĂ© le cinĂ©ma Ă  s’interroger sur lui-mĂȘme et Ă  penser son avenir sur fond de prolifĂ©ration d’autres images. Ce livre s’ouvre sur une rĂ©interprĂ©tation de la Nouvelle Vague, pĂ©riode qui a façonnĂ© l’auteur dans ses racines de spectateur de cinĂ©ma , et s’achĂšve sur les interrogations les plus contemporaines autour de l’image, du cĂŽtĂ© des Ă©vĂ©nements du 11 septembre 2002 et de la tĂ©lĂ© rĂ©alitĂ©. Entre les deux, le livre suit l’évolution du cinĂ©ma français contemporain et ses auteurs importants Brisseau, Desplechin, Claire Denis, Catherine Breillat
, explore certaines voies majeures du cinĂ©ma europĂ©en Monteiro, Lars von Trier, Kusturica
, analyse la vision contemporaine de l’Ɠuvre de grands cinĂ©astes modernes Nicholas Ray, Antonioni, Bunuel, Eastwood, Debord
, Ă©voque l’irruption du cinĂ©ma asiatique Kitano, WongKar wai, Hou Hsiao hsien
, les mĂ©tamorphoses du cinĂ©ma amĂ©ricain Kubrick, Lynch, Tim Burton, les frĂšres Coen, Jarmusch
 et s’arrĂȘte sur l’éclatement du cinĂ©ma touchĂ© par le clip, les sĂ©ries TV, les nouveaux modes de consommation de l’image avec quelques paris pour l’avenir 
 Le cinĂ©ma français face aux genres, auteurs Jean Pierre Esquenazi , Christophe Gauthier, Laurent le Forestier, Jacqueline Nacache, Laurence Schifano, GeneviĂšve Sellier, Pierre Sorlin, Guillaume Soulez, Francis Vanoye, Laurent VĂ©ray, Ginette Vincendeau, RaphaĂ«lle Moine, Presses de l’AFHRC, 2005, 319 pages Ce livre prĂ©facĂ© par Michel Marie questionne la place du cinĂ©ma français dans le genre. Il s’agit de construire une nouvelle approche du cinĂ©ma français Ă  travers une analyse gĂ©nĂ©rique. CLOSE UP SUR LES THÉMATIQUES CinĂ©ma et arts A la tĂ©lĂ©vision Les Peintres et le cinĂ©ma, Un certain regard, 1Ăšre chaine, pro Jean Loup Ferrier, pro Monique Lepeuve, sĂ©rie documentaire, 33 minutes Une Ă©mission qui questionne les liens entre la peinture et le phĂ©nomĂšne cinĂ©matographique Ă  travers des interviews de diffĂ©rents peintres que sont Max Ernst, Salvador Dali, Fernand LĂ©ger ainsi que deux peintres devenus cinĂ©astes Robert Lapoujade et Robert Bresson. Ces interviews alternent avec des vues de peintures, des collages, et des extraits de films. Le MystĂšre Picasso, ARTE, rĂ©a Henri Georges Clouzot, long mĂ©trage documentaire, 1 heure 14 minutes RĂ©sumĂ© producteur Pour savoir ce qui se passe dans la tĂȘte d’un peintre, il suffit de suivre sa main.” Suivre la main du peintre, c’est la dĂ©marche choisie par Henri-Georges Clouzot pour rendre compte de l’oeuvre de Pablo Picasso. En 1955, Picasso se prĂȘte au jeu de Clouzot la camĂ©ra le filme alors qu’il peint au grĂ© de son inspiration. Mais, la main de l’artiste est invisible. PlacĂ©e derriĂšre le chevalet, la camĂ©ra filme par transparence. Comme par magie, les traits, les formes, les personnages apparaissent progressivement Ă  l’écran. Les esquisses se succĂšdent, d’abord Ă  l’encre noire, puis en couleur, le tout orchestrĂ© par des musiques de Georges Auric. 
 » CinĂ©ma Our city dreams de Chiara Clemente], Culture, France 24, reportage, 3 min Reportage sur le film Our city dreams de Chiara Clemente. Documentaire qui s’intĂ©resse aux femmes artistes Ă  New York. Renoir, une histoire de famille, EntrĂ©e libre [Ă©mission du 16 novembre 2018], France 5, jou Killian Mourcou, reportage, 5 minutes Reportage consacrĂ© Ă  l’exposition Renoir, pĂšre et fils. Peinture et cinĂ©ma qui a lieu au MusĂ©e d’Orsay Ă  Paris. Retour sur les parcours d’Auguste Renoir, peintre et son fils Jean Renoir, cinĂ©aste, et, sur leur influence mutuelle. Jean Renoir a posĂ© Ă  de nombreuses reprises pour son pĂšre et Ă©pouse l’une de ses modĂšles, Catherine Hessling. Elle devient par la suite une actrice rĂ©currente de ses films. Ce reportage analyse le parcours du cinĂ©aste et les points communs entre ses Ɠuvres et celles de son pĂšre. Commentaire sur images factuelles, iconographies et extraits de films en alternance avec les interviews de Sylvie Patry, commissaire de l’exposition et Matthieu Orlean, collaborateur artistique de la CinĂ©mathĂšque française. La Passion Van Gogh Titre original Loving Vincent, Arte cinĂ©ma, ARTE, rĂ©a Dorota Kobiela, rĂ©a Hugh Welchman, long mĂ©trage d’animation, 1h29 minutes Ce long mĂ©trage qui retrace la vie de Van Gogh et mĂšne une enquĂȘte concernant sa mort est rĂ©alisĂ© uniquement avec une animation de toiles peintes Ă  la fois par Van Gogh et par d’autres artistes qui se sont inspirĂ©s de l’esthĂ©tique du peintre. 120 tableaux de Van Gogh apparaissent dans ce long mĂ©trage. RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Devant remettre une lettre au frĂšre de Van Gogh qui vient de se suicider, le fils d’un facteur part Ă  la dĂ©couverte de l’oeuvre et des fĂȘlures du peintre. Vincent van Gogh vient de se suicider. Avant de commettre son geste fatal, il a Ă©crit une lettre Ă  son frĂšre ThĂ©o qu’il a remise au facteur Joseph Roulin. Celui-ci charge son fils Armand de livrer la missive. Jaloux de la relation entre son pĂšre et le peintre, le jeune homme renĂącle Ă  accomplir cette mission. A Paris, il ne parvient pas Ă  retrouver ThĂ©o, anĂ©anti par la disparition de son frĂšre. Armand se rend Ă  Auvers-sur-Oise, oĂč Van Gogh a passĂ© les derniers mois de sa vie, pour tenter de comprendre les tourments du gĂ©nial artiste
 A la radio Collection L’Art et la vie, Programme National, pro Georges Charensol, pro Jean DalevĂšze 1948-1963, magazine, 25 minutes Collection de magazine de l’actualitĂ© des arts plastiques produite et prĂ©sentĂ©e par Georges Charensol. L’émission est composĂ©e de plusieurs sujets, avec entretiens, reportages, chronique. Chaque sĂ©quence est sĂ©parĂ©e de la suivante par une plage musicale. Jean DalevĂšze anime la chronique des expositions. Le magazine devient “L’Art vivant” en 1963 sur France Culture L’Art et la vie Ă©mission du 2 juillet 1948, prĂ© Georges Charensol 20 minutes Emission sur l’actualitĂ© artistique prĂ©sentĂ©e par Georges Charensol dans laquelle il est question du premier congrĂšs du film sur l’art qui s’est tenu Ă  Paris. Luciano Emmer, auteur italien d’un film sur Giotto explique sa conception d’un film sur l’art ; Henri Storck, rĂ©alisateur belge dit que la matiĂšre cinĂ©matographique vient avant la peinture ; un critique d’art dit que la technique de la critique d’art va Ă©voluer avec les mĂ©thodes cinĂ©matographiques d’analyse d’une Ɠuvre. Enfin, Gaston Diehl parle de la naissance de la fĂ©dĂ©ration internationale du film sur l’art regroupant des rĂ©alisateurs et des conservateurs de musĂ©es. L’art et la vie Ă©mission du 21 septembre 1950, prĂ© Jean DalevĂšze, 25 minutes 157Ăšme Ă©mission de ce magazine, ici consacrĂ©e aux fouilles archĂ©ologiques en France, Ă  l’exposition d’horlogerie, aux films sur l’art et au nouveau musĂ©e armĂ©nien. Jean DalevĂšze rĂ©unit pour un dĂ©bat, entre autres, RenĂ© Lucot qui parle de son film sur Bourdelle ; Robert Hessens qui parle de Van Gogh et Guernica avec Alain Resnais. Qu’est ce que l’art en 1969 ?, Heure de culture française, France Culture, pro Jean Jacques LĂ©vĂȘque, entretien, 28 minutes Jean-Jacques LĂ©vĂȘque s’entretient avec le peintre Charles Lapicque et le cinĂ©aste François Reichenbach Ă  propos des liens entre le cinĂ©ma et la peinture. Charles Lapicque s’exprime Ă  propos des rapports du peintre au cinĂ©ma et dit Ă©galement que la peinture est plus rapide que le cinĂ©ma pour reprĂ©senter car elle n’a pas besoin de dĂ©roulement. François Reichenbach Ă©voque les diffĂ©rences entre la peinture et le cinĂ©ma et dit de Lapicque qu’il est le plus cinĂ©matographique des peintres. CinĂ©ma et peinture, Mardis du cinĂ©ma, France Culture, pro Jean-Pierre Pagliano, documentaire, 1h 30 minutes RĂ©sumĂ© producteur Robert Bresson, peintre et cinĂ©aste, dĂ©finit le film comme une surface Ă  couvrir et constate que “tout finit sur un rectangle de toile blanche suspendu Ă  un mur”. Les relations qui unissent le cinĂ©ma et la peinture sont multiples. On Ă©voquera la perfection plastique atteinte par le muet Ă  son apogĂ©e, les rĂ©fĂ©rences explicite du 7e Art aux Ă©coles picturales, les biographies de peintres Ă  l’écran les Van Gogh de Resnais, Minnelli, Altman et, bientĂŽt, de Maurice Pialat ancien peintre lui aussi. De Man Ray et Fernand LĂ©ger Ă  Christian Boltanski, les plasticiens des diffĂ©rentes avant-gardes ont aussi expĂ©rimentĂ© par le film et aujourd’hui la vidĂ©o. Quant aux techniques de l’animation synthĂšse du cinĂ©ma et des arts graphiques, elles ont permis Ă  Len Lye et Ă  Mc Laren de peindre et graver directement sur la pellicule, Ă  Robert Lapoujade et Ă  Yves Charnay de rĂ©aliser des peintures animĂ©es image par image. Tous ces thĂšmes seront abordĂ©s dans l’émission, qui privilĂ©giera cependant un autre aspect de la question comment filmer la peinture ? Des rĂ©alisateurs de documentaires, des peintres et des spĂ©cialistes du film d’art analyseront ce genre cinĂ©matographique.» L’impressionnisme et la naissance du cinĂ©matographe, Peinture fraĂźche, France Culture, pro Jean Daive, magazine, 58 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Site Internet de France Culture] L’impressionnisme et la naissance du cinĂ©matographe. Cette exposition, Ă  travers des comparaisons documentĂ©es sur les relations entre ces trois supports de crĂ©ation artistique peinture, photographie et cinĂ©ma se propose de mieux faire comprendre comment s’est construit un des arts majeurs de notre civilisation de l’image et de la communication. La dette du cinĂ©ma naissant vis-Ă -vis des partis techniques des peintres impressionnistes apparaĂźt tout Ă  fait Ă©vidente notamment Ă  travers les Ɠuvres de Claude Monet, Toulouse-Lautrec, Camille Pissarro ou Auguste Renoir, lui-mĂȘme pĂšre de l’un des plus importants cinĂ©astes français. » L’Art et le film 1Ăšre Ă©mission, Surpris par la nuit, France Culture, pro Simone Douek, pro Alain Veinstein, 2 Ă©missions, magazine, 1h15 minutes Émissions consacrĂ©es Ă  l’art de filmer l’art, Ă  ce que le cinĂ©ma a apportĂ© Ă  l’art et vice versa. Cette Ă©mission est composĂ©e de rĂ©cits de rĂ©alisateurs concernant leurs maniĂšres de filmer, mais aussi d’analyses de thĂ©oriciens qui questionnent comment certains artistes sont devenus, par exemple, des cinĂ©astes expĂ©rimentaux. La premiĂšre partie est consacrĂ©e Ă  l’art de filmer les artistes. François Levy-Kuentz parle de la rĂ©alisation de son film sur Calder, GisĂšle Breteau Skira commente le film Henri Matisse de François Campaux, Alain Bergala et Alain Fleisher parlent de l’apport du cinĂ©ma Ă  la peinture
 Peinture et cinĂ©ma, Projection privĂ©e, France Culture, pro Michel Ciment, 1h Emission prĂ©sentĂ©e par Michel Ciment, consacrĂ©e aux rapports entre peinture et cinĂ©ma. 4 Ă©crivains sont invitĂ©s Laurent Darbellay auteur de Luchino Visconti et la peinture. Les effets picturaux de l’image cinĂ©matographique ; JoĂ«lle Moulin, autrice de CinĂ©ma et peinture et Biographie de peintres Ă  l’écran et enfin Alain Bonfand pour Le cinĂ©ma saturĂ©. Essai sur les relations de la peinture et des images en mouvement. Les invitĂ©s expliquent le point de dĂ©part et le dĂ©veloppement de leur thĂšse sur l’étude de la relation entre peinture et cinĂ©ma. Dans les sources Ă©crites La Revue du cinĂ©ma [automne 1949], numĂ©ro 19/20, dir. de publication Robert Aron, Jean Georges Auriol, Denise Tual, Article d’AndrĂ© Bazin le CinĂ©ma et la peinture », Ă  propos de Van Gogh et Rubens. Cette Ă©tude de Bazin sur les liens entre cinĂ©ma et peinture paraĂźt dans Qu’est ce que le cinĂ©ma d’AndrĂ© Bazin en 2002 avec un chapitre intitulĂ© Peinture et cinĂ©ma ». Trucages et effets spĂ©ciaux au cinĂ©ma A la tĂ©lĂ©vision Fantastique et cinĂ©ma, Estivales, FR3, rĂ©a Marielle Larriaga, rĂ©a Bernard Vasseur 55 minutes Emission qui tente de dĂ©finir ce qu’est le fantastique au cinĂ©ma. ComposĂ©e d’interviews de critiques, metteurs en scĂšne, rĂ©alisateurs David Lynch, Cronenberg, Verhoeven, Alan Parker et bien d’autres et d’extraits de films fantastiques, cette Ă©mission se propose d’étudier la partie inconsciente de l’imaginaire transcrite sur grand Ă©cran. Phil Tippett, gĂ©nie des effets spĂ©ciaux, Tracks, ARTE, 8 minutes Reportage consacrĂ© Ă  Phil Tippett, grand spĂ©cialiste des effets spĂ©ciaux qui s’est fait connaĂźtre pour avoir fait le stop motion dans Star Wars, et l’un des prĂ©curseur du Go motion. A partir de l’interview de Phil Tippett, l’émission retrace l’évolution des effets numĂ©riques, du stop motion vers le go motion, Ă  partir des extraits de divers films. Les Robots au cinĂ©ma, CinĂ© star, TF1, rĂ©a Pierre Desfons, prĂ© Michel Denisot, 1h4 minutes Michel Denisot prĂ©sente un magazine consacrĂ© aux robots mais surtout Ă  celui du film de Robocop. Jacques Gastineau, rĂ©alisateur d’effets spĂ©ciaux montre un robot gorille tĂ©lĂ©commandĂ© en action et explique sa fabrication. DiffĂ©rents cinĂ©astes sont interviewĂ©s dont Paul Verhoeven et Phill Tippett. D’autres cinĂ©astes encore viennent prĂ©senter leur machines et certaines analyses d’extraits sont faites sur quelques films prĂ©sentĂ©s au festival d’Avoriaz A la radio Robots et androĂŻdes, CinĂ© club, France Culture, Françoise Estebe, 1h25 min RĂ©sumĂ© producteur De tout temps, dans ses phantasmes dĂ©miurgiques, l’homme a rĂȘvĂ© de reproduire les mĂ©canismes du vivant, d’animer des crĂ©atures artificielles, voire de recrĂ©er la vie mĂȘme. La magie du cinĂ©ma a enfantĂ© sa cosmologie oĂč se croisent robots, androĂŻdes, pantins articulĂ©s, dinosaures, automates, hommes-machines, extraterrestres
 Utilisant trucages, maquettes articulĂ©es, effets spĂ©ciaux et aujourd’hui images de synthĂšse, le cinĂ©ma fantastique suit l’évolution de la science et des techniques jusqu’aux dĂ©veloppements actuels de la gĂ©nĂ©tique et de la robotique. Avec Philippe-Alain Michaud, responsable de la programmation du cycle de films “Ex Machina, la fabrique des corps animĂ©s” au printemps dernier Ă  l’auditorium du Louvre ; Jackie Borne, journaliste Ă  France 2. » Les Effets spĂ©ciaux, La TĂȘte au carrĂ©, France Inter, pro Mathieu Vidard, 54 minutes RĂ©jane Hamus-VallĂ©e, maĂźtre de confĂ©rence en sociologie visuelle, spĂ©cialiste des effets spĂ©ciaux et Julien Pettre, chercheur en informatique et en sciences du numĂ©rique Ă  l’INRIA sont interviewĂ©s. Emission consacrĂ©e Ă  l’exposition Effets spĂ©ciaux, crevez l’écran ! », exposition consacrĂ©e Ă  comprendre les effets spĂ©ciaux, explication de ce qu’est la performance capture, le fond vert etc 
 Effets spĂ©ciaux numĂ©riques capturez-les tous !, La MĂ©thode scientifique, France Culture, pro Nicolas Martin, 59 minutes Pascal Pinteau et Christophe Guillon, spĂ©cialistes des effets spĂ©ciaux viennent expliquer les trucages et effets spĂ©ciaux, mais surtout le trucage numĂ©rique et comment il est devenu omniprĂ©sent dans la superproduction. Dans les sources Ă©crites Trucages et effets spĂ©ciaux au cinĂ©ma, Alan Mc Kenzie et Derek Ware, 1987, livre illustrĂ© de photos 167 pages RĂ©sumĂ© Ă©diteur 
 sans les trucages et les effets spĂ©ciaux, Hollywood ne serait pas tout Ă  fait ce qu’il est une formidable usine Ă  sensations qui, depuis les dĂ©buts du cinĂ©ma, fait palpiter le coeur des publics les plus divers. Films catastrophes ou de science-fiction, films de guerre, thrillers ou peplums tous font appel aux trucages. Effets spĂ©ciaux, cascades, maquillages sont devenus indispensables aux rĂ©alisateurs Ă  succĂšs, comme en attestent E. T. l’extra-terrestre, Indiana Jones et le temple maudit ou La Guerre des Ă©toiles. Pour la premiĂšre fois, ce livre place en haut de l’affiche cascadeurs et maquilleurs, dĂ©corateurs et rĂ©alisateurs de deuxiĂšme Ă©quipe, les Keystone Cops de Mack Sennett, Yakima Canutt, Ralph Hammeras, Rob Bottin, Carlo Rambaldi
 ces hommes de la production qui ont permis au septiĂšme art de rĂ©aliser l’impossible. 
 Effets spĂ©ciaux 2, Fonds Jean Jacques Ledos, numĂ©ro 11, Jean Jacques Ledos, versement en 2010, Archives Ă©crites UnitĂ© regroupant divers documents rĂ©unis par Jean Jacques Ledos pour les besoins d’une recherche sur l’évolution des effets spĂ©ciaux au cinĂ©ma et Ă  la tĂ©lĂ©vision. CinĂ©ma d’animation Histoires d’images 1987 – Animation [1Ăšre partie], Prix Pixel-INA. Montages spĂ©cifiques, Imagina 1987, Divers fonds vidĂ©o, 1h57 min PremiĂšre partie de la compilation Histoires d’images 1987 – Animation, qui prĂ©sente des courts mĂ©trages d’animation en montrant diffĂ©rentes techniques d’animation. Cette compilation a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e et produite par l’INA et projetĂ©e lors du festival Imagina de 1987. Le programme Histoires d’images 1987 est composĂ© de trois thĂšmes Texture, Animation et MĂ©tamorphoses, chaque thĂšme ayant donnĂ© lieu Ă  une compilation de courts mĂ©trages en images de synthĂšse ou en animation traditionnelle. CinĂ©ma, French touch, MCM, rĂ©a VĂ©ronique Trouillet, 48 minutes Un reportage qui tente de dĂ©finir ce qu’est la french touch en comparant les productions françaises et Ă©tats-uniennes de films d’animation. RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Une enquĂȘte entre la France et les Etats-Unis, avec les interviews de Moebius, Pitof, Jean-Jacques Annaud et les Français des studios ILM et Dreamworks. » Les Enfants de MĂ©liĂšs, MCM, rĂ©a Marc Tiphaine, documentaire, 1 heure RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Gros plan sur les technologies nouvelles et les effets spĂ©ciaux qui transforment l’économie du cinĂ©ma. » Zoom Les Gobelins, Court circuit le magazine, Court Circuit n°358, ARTE, jou FrĂ©dĂ©ric Temps, jou FĂ©dĂ©rico Vitali, Reportage consacrĂ© Ă  la formation au cinĂ©ma d’animation de l’école des Gobelins, Ă  Paris. Les responsables insistent sur la nĂ©cessaire ouverture professionnelle de l’animation. Des extraits de films d’animation Chronos 10 ; Burning safari ; Anima Facta Est ; Voodoo ; Cocotte minute alternent avec les interviews de Marie France Zumofen, responsable du dĂ©partement animation ; Eric Riewer, responsable des relations internationales ; Fred Nagorny, enseignant en cinĂ©ma d’animation ; Ludovic Bouancheau, Ă©tudiant promo 2007. Le voyage de Chihiro , Canal + Family, rĂ©a Hayao Miyazaki, 2 heures, long mĂ©trage de fiction RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Une petite fille, dont les parents ont Ă©tĂ© changĂ©s en cochons, doit accomplir certaines tĂąches afin de leur faire retrouver une apparence humaine. La petite Chihiro accompagne ses parents dans une promenade sylvestre qui doit les conduire vers leur nouvelle maison en banlieue. Mais, alors qu’elle prend un raccourci Ă  travers un tunnel peu empruntĂ©, la petite famille se retrouve soudain en territoire inconnu. Le temps de retrouver leur chemin, ils font une halte dans un gigantesque restaurant en plein air, totalement dĂ©sertĂ©. AffamĂ©s, les parents de Chihiro commencent Ă  goĂ»ter les plats proposĂ©s dans les diverses Ă©choppes, ce que la jeune fille, intimidĂ©e par le lieu, se refuse Ă  faire. HypnotisĂ©s par les plats succulents, ses parents s’empiffrent Ă  une vitesse inquiĂ©tante avant de se changer, sous les yeux d’une Chihiro horrifiĂ©e, en Ă©normes cochons
 » L’Ambouba, Sud, cĂŽtĂ© court, TV5MONDE, rĂ©a Nadia Rais, Court mĂ©trage, animation, 10 minutes Ce court mĂ©trage tunisien questionne l’oubli et le rapport que l’on a Ă  l’amnĂ©sie et au temps. Making of Le crĂ©puscule, Court circuit le magazine, n°360, ARTE, jou Antoine Voituriez, reportage, 5 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source site internet d’ARTE] Retour sur l’étonnante fabrication de ce film, avec Nicolas Pasquet, l’un des 4 rĂ©alisateurs de Nobrain. Nobrain est un collectif de rĂ©alisateurs rĂ©putĂ©s pour leur capacitĂ© Ă  mĂ©langer les techniques. En pleine phase de bruitage et de post-synchronisation, Nicolas Pasquet, l’un des 4 rĂ©alisateurs du film, Ă©voque leur processus de fabrication complexe. Miniyamba walking blues, ARTE, rĂ©a Luc Perez, 13 minutes, court-mĂ©trage d’animation RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Du fleuve Niger aux barbelĂ©s de l’enclave de Ceuta, les rĂȘves d’un jeune malien se confrontent Ă  la dure rĂ©alitĂ© des migrants. » Coup de coeur [Ma Vie de courgette], Canal +, jou Laurie Cholewa, 4 minutes Le rĂ©alisateur de Ma Vie de courgette, Claude Barras et la scĂ©nariste de ce film d’animation CĂ©line Sciamma s’entretiennent avec Laurie Cholewa au sujet du scĂ©nario et des techniques d’animation de Ma vie de Courgette. Leurs interviews sont entrecoupĂ©es d’extraits du film. Ma Vie de Courgette, Canal +, rĂ©a Claude Barras, long mĂ©trage de fiction, 1 heure Icare prĂ©fĂšre qu’on l’appelle Courgette. Il n’a plus de parents et se retrouve dans un foyer avec des enfants qui ont eĂ»t un parcours difficile. Ensemble, ils vont trouver goĂ»t Ă  la vie et voir les choses autrement, et, ce n’est pas sans compter l’arrivĂ©e de la petite Camille dont Courgette va tomber amoureux
 L’enfance au cinĂ©ma Festivals Cannes, FESPACO, FIFF, Festival d’Annecy, Festival premiers plans Angers 1952-1967 Reflets de Cannes, 1Ăšre chaine, prĂ© François Chalais, 1952-1967, entretien, reportage, 18 minutes De 1953 Ă  1968, François Chalais a suivi le Festival International du film de Cannes. Au fil des annĂ©es, l’émission s’organise et dispose de moyens plus importants. Le studio d’enregistrement oĂč François Chalais reçoit comĂ©diens et rĂ©alisateurs est installĂ© dans la rĂ©serve de l’HĂŽtel Miramar. Dans ses premiĂšres annĂ©es Reflets de Cannes est une chronique quotidienne du Festival, puis elle passe d’une moyenne de six Ă©missions en 1957 Ă  une seule et derniĂšre Ă©mission en 1967. 1954 Ouverture du festival du cinĂ©ma Ă  Cannes, Journal Les ActualitĂ©s Françaises, 54-14 Rubrique “La semaine” presse filmĂ©e, 45 minutes Reportage consacrĂ© Ă  l’ouverture du 7Ăšme Festival international du film avec des images de nombreuses vedettes sur la Croisette ou lors de la montĂ©e des marches du palais Robert Mitchum, Edwige FeuillĂšre, Jean Pierre Aumont, MichĂšle Morgan et Jean Cocteau. 1984 Cannes 84 le palmarĂšs du 37Ăšme festival, Antenne 2, Pierre Tchernia, 26 minutes Pierre Tchernia prĂ©sente cette cĂ©rĂ©monie prĂ©sidĂ©e par Dirk Bogarde, et intĂ©gralement retransmise en eurovision Helen Mirren, absente, obtient le prix de la meilleure interprĂ©tation fĂ©minine pour Cal de Pat O’ Connor qui reçoit le prix Ă  sa place ; Nathalie Baye remet un double Prix d’interprĂ©tation masculine Ă  Alfredo Landa et Francisco Rabal pour Les Saints innocents ; Faye Dunaway remet la Palme d’Or Ă  Wim Wenders pour Paris Texas. Si Cannes m’était contĂ©, La soirĂ©e du cinquantiĂšme anniversaire, Canal +, rĂ©a Jean Pierre Devilliers, documentaire, 28 minutes Ce documentaire raconte les 50 annĂ©es du Festival de Cannes en dĂ©marrant sur un extrait du film Gilda avec Rita Hayworth. Le premier festival a eu lieu en 1946, les suivants ont Ă©tĂ© annulĂ©s en raison de la guerre. Les annĂ©es 50 sont reprĂ©sentatives de l’époque “glamour” du festival, les annĂ©es 60 de la Nouvelle vague » et des cinĂ©astes français, de jean Pierre LĂ©aud, François Truffaut, Jacques Demy. Le festival est annulĂ© lors de l’annĂ©e 68 en raison des Ă©vĂšnements politiques de mai 68, quant aux annĂ©es 70, La Grande bouffe provoque un scandale. Les annĂ©es 80 marquent le dĂ©but de la surmĂ©diatisation et de la starisation du festival mais elles sont aussi la rĂ©compense de talents amĂ©ricains comme Scorcese ou Coppola. Enfin, le documentaire prĂ©sente les derniĂšres palmes des annĂ©es 90 et montre Jane Campion, premiĂšre femme Ă  avoir reçu la Palme d’or. Festival Cannes 39, Kinorama, ARTE, rĂ©a Daniel Coche, Magazine, 4 minutes RĂ©trospective Ă  base d’archives et de photos d’archives et d’extraits de films sur le premier festival de Cannes qui devait s’ouvrir le 1er septembre 1939 mais qui fĂ»t annulĂ© Ă  cause de la dĂ©claration de la guerre. Voir aussi Cannes 1939 le festival n’aura pas lieu, France 5, rĂ©a Julien Ouguergouz, documentaire, 52 minutes Le Journal du Festival, Canal +, 1995-2018, rĂ©a Antoine Slodre, magazine, 5-20 minutes Magazine composite Ă  structure variable consacrĂ© Ă  l’actualitĂ© du Festival international du Film de Cannes et prĂ©sentant les films en compĂ©tition. Cette Ă©mission a pour but de rendre compte de l’atmosphĂšre gĂ©nĂ©rale du festival ainsi que du dĂ©roulement des projections et des impressions suscitĂ©es par les films. A la radio Petit festival de Cannes, France Inter, pro Jean ChĂ©rasse, prĂ© Richard Dembo, 1971, Interview, 10-15 minutes Interviews au sujet d’un film diffusĂ© Ă  Cannes, on demande au rĂ©alisateur de prĂ©senter son film. Le Festival empĂȘchĂ© Cannes septembre 1939, La Marche de l’histoire, France Inter, Jean Lebrun, documentaire, 27 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source site internet de France Inter] Dans le bunker de Cannes qui a Ă©tĂ© baptisĂ© Palais des Festivals, une plaque a Ă©tĂ© vissĂ©e dans le bĂ©ton – puis assez vite escamotĂ©e, d’ailleurs Jean Zay y Ă©tait honorĂ© comme le crĂ©ateur du Festival international du film. Le ministre, rescapĂ© en 1939 de l’équipe du Front populaire de 1936, avait menĂ© l’affaire Ă  marches forcĂ©es. Il s’agissait de contrer la Mostra de Venise qui, de rendez-vous international du cinĂ©ma, devenait un outil pour Goebbels et, aprĂšs les funestes accords de Munich, de mener face Ă  l’Axe, par la culture, une diplomatie enfin offensive. 
 Cannes 39, festival antifasciste, s’annonçait aussi comme une vitrine pour le cinĂ©ma US qui fournissait le tiers de la sĂ©lection. 
 La municipalitĂ© et les hĂŽteliers de Cannes se rĂ©jouissaient de pouvoir prolonger leur saison d’étĂ© cette premiĂšre Ă©dition Ă©tait prĂ©vue pour le dĂ©but de septembre. La dĂ©claration de guerre l’empĂȘcha d’avoir lieu. Alors, un festival avortĂ© ? PlutĂŽt un festival ajournĂ© puisque, comme pour beaucoup d’idĂ©es de Jean Zay, la rĂ©alisation vint aprĂšs la LibĂ©ration. » 60 ans du festival de Cannes, 2000 ans d’histoire, France inter, pro Patrice GĂ©linet, 28 min Patrice Gelinet reçoit Jean Olle Laprune, spĂ©cialiste et historien du cinĂ©ma français, et fondateur de la chaĂźne CinĂ©classic, Ă  propos du 60Ăšme Festival de Cannes. Leur entretien est illustrĂ© de sons d’archives. Fespaco, Festival panafricain du cinĂ©ma et de la tĂ©lĂ©vision de Ouagadougou A la tĂ©lĂ©vision Fespaco, Espace francophone le magazine tĂ©lĂ©visĂ© de la francophonie, France 3, rĂ©a Issouf Ouedraogo, 19 minutes Le FESPACO est l’occasion de prĂ©senter des films africains, et montrant les relations culturelles et Ă©conomiques panafricaines. DiffĂ©rents cinĂ©astes comme Souleymane Cisse, Gaston Kabore ou Merzak Allouache viennent expliquer leurs dĂ©marches et leurs films. Le Film arabe Ă  Ouaga, France 3, Mona Makki, 26 minutes A Ouagadougou s’est tenue la 22Ăšme Ă©dition du festival du film africain FESPACO. La programmation a fait grand place aux productions des pays arabes et plus particuliĂšrement du Maghreb et de l’Egypte, annonciatrices des mouvements de rĂ©voltes qui eurent lieu au printemps. En alternance des commentaires sur images et extraits de films avec les interviews des cinĂ©astes suivants Abdelkrim Bahloul, Daoud Aoulad Syad, Iman Kamel, FĂ©rid Boughedir et Mohamed Moufkatir. RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Le cinĂ©ma Ă©gyptien et maghrĂ©bin a Ă©tĂ© largement reprĂ©sentĂ© lors de la 22e Ă©dition du Festival du film africain qui s’est dĂ©roulĂ© du 26 fĂ©vrier au 5 mars 2011 Ă  Ouagadougou, au Burkina Faso. Une dizaine de documentaires, courts et longs mĂ©trages attestent des prĂ©mices des bouleversements politiques et sociaux qui transforment le monde arabe. » Ouaga fait son cinĂ©ma, Espace francophone, France 3, rĂ©a Mona Makki, 25 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Depuis prĂšs d’un demi-siĂšcle, Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, accueille tous les deux ans le plus grand festival du film africain, le FESPACO. Le comĂ©dien Oyou, vedette de sĂ©ries africaines, propose une visite de l’évĂ©nement. » L’Ɠil du cyclone, TV5MONDE, rĂ©a Sekou TraorĂ©, long mĂ©trage fiction, 1h 43 minutes Étalon de bronze Ă  la 24Ăšme Ă©dition du FESPACO, en 2015 RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Dans la capitale d’un pays africain, une avocate est chargĂ©e d’éviter la peine de mort Ă  son client, un chef rebelle. Dans la capitale d’un pays africain, Blackshouam attend son procĂšs. En prison, il ne cesse de subir de mauvais traitements ce qui rĂ©volte MaĂźtre Emma Tou, chargĂ©e de lui Ă©pargner la peine capitale que les autoritĂ©s et l’opinion lui promettent. Par crainte et sur la demande de ses parents, elle avait d’abord refusĂ© de dĂ©fendre ce criminel de guerre, lieutenant du Front de libĂ©ration et responsable de la mort de milliers de personnes, de pillages, de viols et autres exactions. Mais, elle dĂ©couvre que son client a lui-mĂȘme Ă©tĂ© enrĂŽlĂ© en tant que soldat quand il Ă©tait enfant
 » A la radio Ouagadougou fait son cinĂ©ma petit journal du fespaco, Nuits magnĂ©tiques, France Culture, pro Caroline Bourguine, pro Pierre GoĂ«tschel, pro Colette Fellous, mai 1995, documentaire, 1h 18 minutes, 2 Ă©missions ActualitĂ©s du festival du FESPACO, ambiance du festival, extraits de films et extraits de discours. SpĂ©cial 25Ăšme Fespaco, Tous les cinĂ©mas du monde, Radio France Internationale, pro Elisabeth Lequeret, pro Sophie Torlotin, magazine, 50 minutes L’émission est consacrĂ©e au festival du cinĂ©ma FESPACO qui se dĂ©roule Ă  Ouagadougou Burkina Faso. Il rĂ©unit des films de cinĂ©ma, de tĂ©lĂ©vision, des courts-mĂ©trages, des sĂ©ries, etc. Dans la premiĂšre partie de l’émission, les journalistes s’entretiennent avec Alain Gomis dont le film FĂ©licitĂ© est en compĂ©tition et avec Daouda Coulibaly pour son film WĂčlu, Ă©galement en compĂ©tition. Dans la deuxiĂšme partie de l’émission, il est question des vingt films en compĂ©tition pour cette 25Ăšme Ă©dition. Festival international du Film de femmes de CrĂ©teil Photo Agnieszka Holland Les Leçons de cinĂ©ma, Fonds Festival International de Films de Femmes, Divers fonds vidĂ©o, Jackie Buet, depuis – entretiens Jackie Buet, directrice du Festival International du Film de Femmes interview des professionnelles du cinĂ©ma, Ă  l’occasion du FIFF de CrĂ©teil qui a lieu tous les ans depuis 1979. Ces entretiens permettent de mettre en mĂ©moire diffĂ©rents parcours de cinĂ©astes et questionnent l’existence ou non d’un cinĂ©ma de femmes », RĂ©sumĂ© producteur [Source jaquette DVD “Les Leçons de cinĂ©ma -1”] inaugurĂ©es en 1998, les “Lecons de cinĂ©ma” permettent une rencontre privilĂ©giĂ©e avec des rĂ©alisatrices. En petit comitĂ©, dans l’ambiance feutrĂ©e d’un studio spĂ©cialement amĂ©nagĂ©, les rĂ©alisatrices invitĂ©es au Festival International de Films de Femmes de CrĂ©teil disposent d’un libre temps de parole pour s’exprimer sur leur cinĂ©ma. D’oĂč l’idĂ©e de leur poser trois questions essentielles, afin de cerner ce qui est important pour elles, ce qu’elles regardent et ce qu’elles “fixent” sur la pellicule. . Pouvez-vous nous parler de votre parcours et de votre rencontre avec le cinĂ©ma ? . Avez-vous une formation cinĂ©matographique, ou ĂȘtes-vous arrivĂ©e au cinĂ©ma par d’autres chemins ? . Pouvez-vous nous dĂ©crire votre mĂ©thode de travail, votre maniĂšre de faire du cinĂ©ma ? » Invisible, ARTE, rĂ©a Aviad Michal, long mĂ©trage de fiction, 1h 28 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source iMedia] Le parcours de reconstruction de deux femmes, victimes d’un mĂȘme violeur, est Ă©maillĂ© de scĂšnes de confrontation entre soldats israĂ©liens et palestiniens. Nira, monteuse Ă  la tĂ©lĂ©vision et mĂšre cĂ©libataire, et Lily, une militante de gauche qui aide les Palestiniens Ă  la cueillette des olives, victimes d’un mĂȘme violeur en sĂ©rie il y a vingt ans, se rencontrent par hasard. Ensemble, elles tentent d’exorciser leur peur. Leur parcours difficile est Ă©maillĂ© de scĂšnes de confrontation entre soldats israĂ©liens et palestiniens
 » Grand Prix du jury en 2012 Te doy mis ojos, titre français Ne dis rien, Canal +, rĂ©a Iciar Bollain, fiction, long mĂ©trage Au sujet du combat d’une femme pour sortir de la violence conjugale. Grand prix du jury en 2004 A la radio Qu’est-ce donc qu’un film de femme ?, Le Petit salon, France Culture, pro Lucile Commeaux, 11 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source site internet France Culture] Alors que va se tenir Ă  CrĂ©teil la 39e Ă©dition du Festival International du Film de Femmes Ă  quoi donc correspond une telle dĂ©nomination ? Un festival qui se tient aprĂšs la sortie de divers rapports en ce dĂ©but d’annĂ©es 2017, concernant la condition fĂ©minine dans le milieu du cinĂ©ma, et notamment un rapport du Centre National du CinĂ©ma paru le 23 fĂ©vrier dernier
. Il montre une Ă©volution en faveur de la paritĂ© et de l’égalitĂ©, mais qui reste largement insatisfaisante. Surtout il donne indirectement des informations sur ce qu’on appelle un “film de femme”. C’est d’abord dans l’esprit de beaucoup un film rĂ©alisĂ© par une femme, c’est d’ailleurs le sens du Festival de CrĂ©teil qui affirme dans sa charte “favoriser un cinĂ©ma rĂ©alisĂ© par des femmes”.
 Un “film de femme” c’est encore un film moins vu, peu de films rĂ©alisĂ©s par des femmes dĂ©passent le million d’entrĂ©es. 
 DerniĂšre hypothĂšse, sans doute la plus problĂ©matique mais en mĂȘme temps la plus intĂ©ressante, est-ce qu’un “film de femme” est un film sur les femmes, ou encore autre chose un film fĂ©minin, est-ce qu’il possĂšde dans sa maniĂšre, dans les thĂšmes qu’il aborde, quelque chose de genrĂ©. LĂ  on touche Ă  des questions dĂ©licates et esthĂ©tiques 
 que le Festival de CrĂ©teil assume tout Ă  fait, j’ai l’impression qu’il faut entendre dans son titre toute la polysĂ©mie de l’expression “film de femme”. 
 » Festival d’Annecy A la tĂ©lĂ©vision Le Festival d Annecy 1979, CinĂ©mania, Antenne 2, rĂ©a Gabriel Cotto, 30 minutes DiffĂ©rents extraits de films du festival d’animation d’Annecy sont montrĂ©s et des rĂ©alisateurs parlent de leurs films, expliquant la difficultĂ© du cinĂ©ma d’animation Ă  se dĂ©ployer Ă  cette pĂ©riode. Ils montrent aussi de maniĂšre technique comment ils procĂšdent pour animer. SpĂ©cial Festival d’Annecy [1Ăšre partie], MickrocinĂ©, Canal + CinĂ©ma, 30 minutes Émission consacrĂ©e Ă  trois courts mĂ©trages Jeu de l’inconscient titre original Subconscious Password de Chris Landreth, un court mĂ©trage canadien qui propose un parcours dans la mĂ©moire du personnage. Ce court mĂ©trage reçoit le Cristal d’or du meilleur court mĂ©trage Ă  Annecy en 2013. Le deuxiĂšme court mĂ©trage, TempĂȘte sur anorak de Paul Cabon, est un court mĂ©trage français dans lequel des scientifiques sont pris dans une tempĂȘte sur les cĂŽtes bretonnes. Enfin, L’étrange disparition de monsieur Walter Werner de Caroline Murrell, un autre court mĂ©trage français traitant du dĂ©doublement de la personnalitĂ©. Image TempĂȘte sur anorak de Paul Cabon A la radio Projection privĂ©e, France Culture, pro Michel Ciment, magazine, entretien, 40 minutes Michel Ciment s’entretien avec Jean-Luc Xiberras, le dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral du Festival de CinĂ©ma d’Animation d’Annecy. Ils discutent de l’histoire du festival d’Annecy qui est issu des JournĂ©es du CinĂ©ma d’animation du Festival de Cannes, ils expliquent les diffĂ©rentes sections du festival, l’organisation de la sĂ©lection, le marchĂ© du film d’animation. Ils Ă©voquent Ă©galement le cinĂ©aste japonais Hayao Miyasaki dont le film Porco Rosso Ă©tait prĂ©sentĂ©. Projection privĂ©e, France Culture, pro Michel Ciment, magazine, entretien, 40 minutes A l’occasion du festival du cinĂ©ma d’animation d’Annecy, Michel Ciment s’entretient avec deux cinĂ©astes d’animation qui ont Ă©tĂ© primĂ©s lors de ce festival Michel Ocelot, pour sa sĂ©rie Le Manteau de la vieille dame et Jacques Colombat pour son long mĂ©trage Robinson et compagnie. Ils parlent de leur formation respective, des raisons pour lesquelles ils sont devenus cinĂ©astes d’animation et leurs projets Ă  venir. Ils commentent Ă©galement la situation du cinĂ©ma d’animation en France, le fait qu’il y ait peu de production de courts et longs mĂ©trages d’animation mais qu’un dĂ©bouchĂ© soit possible par le biais de la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e. Festival Premiers plans, Angers SpĂ©cial Premier Plan d’Angers, Court circuit, ARTE, rĂ©a JĂ©rĂŽme BarthĂ©lĂ©my, rĂ©a Daniel Sauvage, 57 minutes Emission consacrĂ©e Ă  la 31Ăšme Ă©dition du festival d’Angers, Festival Premiers Plans qui avait lieu du 25 janvier 2019 au 3 fĂ©vrier 2019. À cette occasion, Court Circuit diffuse trois courts mĂ©trages qui ont Ă©tĂ© diffusĂ©s Beautiful Looser de Maxime Roy, Bloomstreet 11 de Nienke Deutz et Vilaine fille de Ayce Kartal, en alternance avec des interviews de rĂ©alisateurs. Les FrĂšres Dardenne, Les masterclasses, France Culture, pro Arnaud Laporte, 59 minutes RĂ©sumĂ© producteur [Source site internet de France Culture] Les FrĂšres Dardenne “On croit beaucoup aux vertus de la rĂ©pĂ©tition car plus on rĂ©pĂšte plus on s’oublie, on laisse de la place aux personnages”. Lors de cette Masterclasse enregistrĂ©e au festival Premiers Plans d’Angers, les rĂ©alisateurs et producteurs Jean-Pierre et Luc Dardenne reviennent sur leurs pratiques de cinĂ©ma, partant de l’idĂ©e initiale Ă  la sortie de leurs Ɠuvres en salle. 
 » Bandes annonces de films A la tĂ©lĂ©vision Les Films du dimanche, 1Ăšre chaine, prĂ© François Chalais, 1953-1956 BrĂšve prĂ©sentation sous forme de bancs-titres du ou des films programmĂ©s le dimanche aprĂšs-midi et soirĂ©e. Des photographies et des dessins peuvent illustrer le thĂšme du film. Les Accords du Diable, La Cinq, prĂ© Catherine Falgayrac, 1988-1989, bande annonce, 5 minutes BrĂšve prĂ©sentation du film d’horreur hebdomadaire CinĂ©six 1999-2017, M6, bande annonce – magazine, 7 minutes Court magazine qui prĂ©sente les films et leur bande annonce sous un Ɠil critique. Mercredi C sorties, France 3, rĂ©a Jean Christophe Chapotot, rĂ©a Antoine Heidler, 2004-2010 magazine, bande annonce, 6 minutes Ce magazine hebdomadaire de format court sans plateaux est programmĂ© le mercredi, jour des sorties cinĂ©matographiques. Il prĂ©sente les bandes annonces d’une sĂ©lection de films diffusĂ©s en France. Avis de sorties, 2005-2020, France 5, red Donatella Lombardini, magazine, 7 minutes Magazine court hebdomadaire prĂ©sentant en voix-off les sorties cinĂ©ma de la semaine y compris les reprises. Ce magazine prĂ©sente surtout les sorties françaises et europĂ©ennes La BA de François, Canal +, François Berland, bande annonce, 2 minutes En voix off est prĂ©sentĂ©e une bande annonce du film qui va ĂȘtre diffusĂ© juste aprĂšs, dans l’hebdo cinĂ©ma de Canal + CinĂ© sorties de la semaine, France 2, red Nicolas Rieux, 2018-2020, magazine, bande annonce, 7 minutes Magazine cinĂ©matographique consacrĂ© Ă  la sortie en salle des nouveaux films. Dans les sources Ă©crites Les bandes annonces de films sur notre Ă©cran quotidien, mĂ©moire, Natacha Nunge, DR Guillaume Soulez, 2001, 115 pages MĂ©moire sur la bande annonce sous la direction de Guillaume Soulez ayant pour problĂ©matique “quelle est la part des promesses des chaĂźnes dans les bandes annonces de films diffusĂ©s Ă  la tĂ©lĂ©vision par comparaison avec les bandes annonces de cinĂ©ma ?” Les films annonces de fiction sĂ©miotique d’un discours mĂ©diatique, thĂšse, Sylvie Perineau, DR Jacques Fontanille, 2007, 348 pages RĂ©sumĂ© Ă©diteur Ce travail interroge le film-annonce de film de fiction comme genre paratextuel du discours promotionnel. Le film-annonce allie une visĂ©e paratextuelle consistant Ă  prĂ©senter et Ă  reprĂ©senter le film Ă  des ambitions pragmatiques tournĂ©es vers la plus grande efficience possible. Si, par ses modes de captation, sa tendance Ă  l’hyperbole et au spectaculaire ou encore par ses recours habituels au discours Ă©pidictique, aux promesses et Ă  l’ethos, le genre ne diffĂšre guĂšre des autres formes mĂ©diatiques de la communication promotionnelle, c’est en tant que paratexte qu’il se singularise. À partir d’une rhĂ©torique constitutive crĂ©ant des Ă©carts par rapport au film, le film-annonce s’assume comme forme mĂ©diatique programmatique communiquant le film. 
 Musique et cinĂ©ma Ă  la radio Musique et cinĂ©ma, France Culture 1971-1972 SĂ©rie documentaire composĂ©e d’entretiens, d’interprĂ©tations musicales et d’archives explorant les relations entre musique et cinĂ©ma autour de thĂšmes ou figures diffĂ©rentes L’Iran 16/11/1971, Maurice Thiriet 23/11/1971, Jacques Ibert 08/02/1972, etc. Visconti, la passion de la musique, France Culture 1981, 5 documents SĂ©rie documentaire en cinq Ă©pisodes, produite par Martine Cadieu et Francis Rousseau, rĂ©alisĂ©e Ă  base d’archives et consacrĂ©e Ă  Visconti et Ă  la relation entre ses films et la musique, aux influences lyriques du cinĂ©astes etc. Le Jazz du cinĂ©ma, France Culture 1995, 25 documents SĂ©rie documentaire produite par Yvan Amar et GĂ©rard Tourtrol, explorant, Ă  partir d’archives, les rapports entre le jazz et le cinĂ©ma. ThĂšmes Les Musiciens Ă  l’écran , Films noirs, suspense et tension , La Musique comme personnage, Les Burlesques, etc. Opus, France Culture 1988-1999, 15 documents liĂ©s au cinĂ©ma SĂ©rie documentaire consacrĂ©e Ă  l’univers musical et rĂ©alisĂ©e Ă  base d’extraits de disques et d’archives. Certains thĂšmes relient la musique au cinĂ©ma Marcel L’Herbier et la musique 16/01/1988, Jean Wiener 28/04/1990, Lalo Schifrin 21/07/1990, Georges Delerue 04/01/1992, etc. Carnet de notes, France Culture 2000-2002, 59 documents liĂ©s au thĂšme du cinĂ©ma Emission produite par Philippe Langlois consacrĂ©e Ă  l’univers sonore et musical, constituĂ©e d’extraits. Plusieurs numĂ©ros relient la musique au cinĂ©ma La Musique d’Andrei Tarkovski 03/12/2001, Les MĂ©tiers du son au cinĂ©ma 17/12/2001, L’Univers sonore de Jacques Tati 15/02/2002, Le Corps comme instrument de musique dans la comĂ©die musicale 15/04/2002, La Chanson dans les films de Rohmer 15/07/2002, etc. L’Embobineur, France Musique, pro Charles Pierre Valliere, 8 minutes Chronique hebdomadaire diffusĂ©e le mercredi soir dans l’émission Par ici les sorties en direct depuis les studios de la Maison de la Radio France, L’embobineur est prĂ©sentĂ©e par Charles-Pierre ValliĂšre qui propose la bande-originale de musique d’un film liĂ© ou non Ă  l’actualitĂ© des sorties cinĂ©matographiques du jour. AprĂšs une brĂšve prĂ©sentation du film et de sa bande-originale de musique, Charles-Pierre ValliĂšre prĂ©sente le compositeur et analyse son style. Commentaire sur alternance de commentaires et d’extraits d’Ɠuvres musicales. CinĂ© qui chante, France Inter, pro Laurent Delmas, 2017 – 49 minutes RĂ©sumĂ© site internet de France Inter Chaque jour, une balade enchantĂ©e au pays du cinĂ©ma extraits de films, chansons et archives seront au rendez-vous, prĂ©sentĂ©s et racontĂ©s par Laurent Delmas avec tous les jours un invitĂ© actrice, acteur, cinĂ©aste, chanteuse ou chanteur qui proposera aux auditeurs sa programmation de chansons sur grand Ă©cran. MĂ©tiers du cinĂ©ma Les Hommes derriĂšre l’écran, Chaine parisienne 1960 7 documents SĂ©rie consacrĂ©e aux mĂ©tiers du cinĂ©ma. Le producteur et prĂ©sentateur Youri aborde en compagnie de professionnels un mĂ©tier par Ă©pisode les producteurs, le directeur de production et distribution, le chef opĂ©rateur, le monteur, le dĂ©corateur et accessoiriste, l’équipe. ConnaĂźtre le cinĂ©ma, France III Nationale, pro Jean Mitry, 1962-1970 153 Ă©pisodes, 40 minutes Emission sur un thĂšme, avec discussion sur un film le plus souvent projetĂ© ; prĂ©sentation d’un mĂ©tier du cinĂ©ma Micros et camĂ©ras, 1Ăšre chaine 1965-1972 202 documents Magazine consacrĂ© aux mĂ©tiers de l’image et du son, produit et rĂ©alisĂ© par Jacques Locquin. ThĂšmes Le DĂ©corateur de studio 29/01/1966, Le CinĂ©aste reporter 09/07/1966, Le CinĂ©mascope Ă  la tĂ©lĂ©vision 13/05/1967, Ponctuation sonore de l’image 24/02/1969, Le CinĂ©ma et la tĂ©lĂ©vision 22/04/1972, etc. Georges Rouquier, artisan cinĂ©aste, Vocation d’un homme, 1Ăšre chaine, rĂ©a LeĂŻla Senati Rencontre avec Georges Rouquier, cinĂ©aste et auteur notamment de Farrebique et Biquefarre qu’il tournera 38 ans plus tard, qui raconte sa passion pour un certain cinĂ©ma. Ecoutez voir, France Inter 2003-2004 43 documents Collections d’entretiens produits et conduits par RĂ©bĂ©cca Manzoni, qui fait parler des artistes et des professionnels de la culture sur leur mĂ©tier. InvitĂ©s Alain Chabat, Tony Gatliff, Rithy Panh, Ariane Ascaride, Michael Haneke, Denis PodalydĂšs, Marin Karmitz, Amos GitaĂŻ, Wim Wenders, Manuel Poirier, Pierre Salvadori, etc. CLOSE UP SUR SUR QUELQUES CINÉASTES Alfred Hitchcock, Xavier Dolan, Yasujiro Ozu Alfred Hitchcock Ses fictions Mais qui a tuĂ© Harry ? rĂ©a Alfred Hitchcock, Thema. Alfred Hitchcock, ARTE, rediffusĂ© le long mĂ©trage de fiction, 1 heure 34 minutes FenĂȘtre sur cour, rĂ©a Alfred Hitchcock, France 3, rediffusĂ©, 1 heure 47 minutes, long mĂ©trage de fiction Documentaires et portraits Un Printemps pour Hitchcock, Laurence Drummond, France Culture, documentaire Ă  base d’archives, 1 heure 30 minutes Entretien de Laurence Drummond avec Jean Douchet. Entretien entrecoupĂ© d’archives de cinĂ©ma. RĂ©sumĂ© producteur NĂ© Ă  Londres le 13 aoĂ»t 1899, mort Ă  Los Angeles le 9 avril 1980, Alfred Hitchcock continue de faire peur, de faire rire et rĂ©flĂ©chir Autrement dit, d’ĂȘtre grave et Ă©nigmatique. Avec Jean Douchet, nous interrogeons le climat des entretiens que François Truffaut eut avec Hitchcock dans les annĂ©es 60 Le CinĂ©ma selon Hitchcock Ed. Seghers Comment le maĂźtre du suspense s’est-il mis en scĂšne au fil des questions ? De quelle nature sont ses questions ? De quelle nature sont ses rĂ©ponses, a-t-il expliquĂ© le choix de ses thĂšmes ? Ces thĂšmes Jean Douchet analyse leur originalitĂ©, leur force d’expression de film en film. Peu Ă  peu s’esquisse l’homme Hitchcock tel que Jean Douchet l’a rencontrĂ© et pressenti L’homme qui en savait trop sur les piĂšges du conscient et de l’inconscient ; sur leurs lois frustrantes ou salvatrices. » Alfred Hitchcock avec François Truffaut, France Culture, Serge Toubiana, Nicolas Saada, 1999, 25 Ă©missions, Entretiens, 25 minutes SĂ©rie proposĂ©e par Serge Toubiana et Nicolas Saada qui fait entendre la sĂ©rie d’entretiens entre Alfred Hitchcock, François Truffaut et, Helen Scott la traductrice, enregistrĂ©e dans les annĂ©es soixante, sĂ©rie qui a permis Ă  Truffaut de publier son cĂ©lĂšbre ouvrage Hitchcock/Truffaut. Hitchcock et la tĂ©lĂ©vision Raccords L’oeil domestique Alfred Hitchcock et la tĂ©lĂ©vision, Jean François Rauger, Rouge Profond, 2014, 166 pages RĂ©sumĂ© Ă©diteur Entre 1956 et 1962, Alfred Hitchcock a rĂ©alisĂ© vingt films pour la tĂ©lĂ©vision, la plupart dans le cadre des sĂ©ries qu’il produisait, Alfred Hitchcock prĂ©sente et The Alfred Hitchcock Hour. Quoique peu commentĂ©s jusqu’alors, ceux-ci constituent un fragment essentiel de sa filmographie. Pas seulement parce qu’ils ont contribuĂ© Ă  la construction d’un personnage devenu une vĂ©ritable image de marque et Ă©tendu la popularitĂ© planĂ©taire du MaĂźtre du suspense, mais surtout parce qu’ils ont dĂ©ployĂ© l’art et les obsessions du cinĂ©aste au coeur d’un mĂ©dium dont il a su saisir la singularitĂ© profonde. Entre la continuation par d’autres moyens de son cinĂ©ma et l’invention d’une forme, la tĂ©lĂ©vision de Hitchcock ouvre de nouvelles perspectives au suspense et Ă  la vision du monde et de l’homme qu’il signifie. PhĂ©nomĂšne industriel et mĂ©diatique, l’ensemble de ces tĂ©lĂ©films mĂ©rite une analyse dĂ©taillĂ©e. Elle fera surgir l’existence d’une vĂ©ritable thĂ©orie hitchcockienne de la tĂ©lĂ©vision. L’oeil du voyeur deviendra un oeil domestique. CinĂ©ma cinĂ©mas, Antenne 2, pro Anne Andreu, pro Michel Boujut, pro Claude Ventura,1982-1990, 82 Ă©pisodes dont une vingtaine consacrĂ©s Ă  Hitchcock, 1 heure Analyse de films et esthĂ©tique hitchcockienne Le Suspense au cinĂ©ma, CinĂ©maction, coordination Jean Bessalel et AndrĂ© Gardies, Centre national du Livre, Corlet, TĂ©lĂ©rama, numĂ©ro 71, 1994 Ce livre consacre un chapitre Ă  Hitchcock par le prisme du suspense, en questionnant la qualification d’Hitchcock de maĂźtre du suspense. Pourquoi aime-t-on avoir peur ? Nous ne sommes pas des anges, Canal +, rĂ©a Jean Louis Cap, jou Jean François Kervean, magazine, 1 heure Chronique de Jean François Kervean autour d’Alfred Hitchcock, son enfance et ce qui l’a portĂ© vers le suspense. Analyse d’une sĂ©quence de Jeune et innocent du point de vue de l’installation du suspense. S’ensuit d’un dĂ©bat en prĂ©sence de Christophe AndrĂ©, intitulĂ© Pourquoi aime-t-on avoir peur ? » Philosopher avec Hitchcock, Les Chemins de la philosophie, France Culture, AdĂšle Van Reeth, 4 Ă©missions, Interview, entretien, 58 minutes Quatre Ă©missions consacrĂ©es aux films d’Alfred Hitchcock. La premiĂšre Ă©mission avec la participation de Carole Desbarats porte sur La Mort aux trousses, La deuxiĂšme avec la participation de Laurent Van Eynde porte sur Sueurs froides, la troisiĂšme avec la participation de Jean Loup Bourget sur Rebecca et la quatriĂšme avec Nicolas Saada porte sur Psychose, questionnant le tournage du film et la maĂźtrise de la technique pour crĂ©er la peur. Des lectures d’archives sonores ponctuent l’entretien. IMAGES ET SON RARES 1938 – Radio Louis LumiĂšre, inventeur du diaphragme du phonogramme, explique en dĂ©tail son invention Ă  la radio. 1938 – Radio Le cinĂ©aste Jean Renoir raconte une anecdote lors d’une sĂ©ance Ă  CinĂ© libertĂ© pendant qu’il expliquait au public l’idĂ©e de son prochain film sur la RĂ©volution, des ouvriers mĂ©tallurgistes lui ont proposĂ© de chanter La Marseillaise avec la chorale de l’usine et de jouer les volontaires de la bataille de Valmy. 1945 – Radio Archives du cinĂ©ma Henri Langlois En 1945, Henri Langlois est interviewĂ© pour parler de la cinĂ©mathĂšque, on entend aussi Georges Sadoul et Max Bonnet, l’opĂ©rateur de MĂ©liĂšs 1er janvier 1955 -TĂ©lĂ©vision, 1Ăšre chaĂźne La tĂ©lĂ©vision diffuse un mimodrame de Marcel Marceau rĂ©alisĂ© par Paul Paviot, Un jardin public, qui propose en noir et plan et dans un registre poĂ©tique une galerie de portraits et des scĂšnes de vie. L’action se dĂ©roule dans un square enfants, marchand de ballons, gardiens, promeneurs sont intriguĂ©s par une statue de soldat Ă  la baillonnette, jouĂ©e par le mime Marceau. 1959 – Radio, Chaine nationale RenĂ© Clair, Michelangelo Antonioni, Abel Gance ou Marcel Lherbier sont quelques-uns des invitĂ©s de Roger RĂ©gent, au micro de l’émission Culture Française Le cinĂ©ma dans le monde. 17 avril 1977 – Radio, France Culture Claude-Jean Philippe, le prĂ©sentateur du CinĂ©ma des cinĂ©astes reçoit Jacques Tati. 3 juin 1996 – TĂ©lĂ©vision, Arte Arte diffuse un court-mĂ©trage inĂ©dit d’Eric Rohmer Pauline et son steack, dans lequel Jean-Luc Godard, StĂ©phane Audran et Anna Karina prĂȘtent leurs voix. 02 avril 1996 – TĂ©lĂ©vision, Arte Arte diffuse A la recherche des films perdus », dans Thema , MĂ©moire du cinĂ©ma, sur la neccessitĂ© de crĂ©er des cinĂ©mathĂšques pour conserver les films, ce documentaire prĂ©sente des extraits rares de pellicules retrouvĂ©es. 5 janvier 1998- TĂ©lĂ©vision, Arte Arte diffuse le premier court-mĂ©trage de Mathieu Kassovitz, Fierro le Pou. En noir et blanc, le film du jeune cinĂ©aste aborde le thĂšme de la sĂ©duction en relatant l’histoire d’une rencontre entre une jeune mĂ©tisse et un jeune blanc sur un terrain de basket. ÉtĂ© 1999 – Radio, France Culture France Culture diffuse une sĂ©rie documentaire consacrĂ©e aux entretiens qu’Alfred Hitchcock a partagĂ© pendant une semaine avec François Truffaut, en aoĂ»t 1962, alors qu’il achevait le tournage des Oiseaux. QUELQUES FONDS D’ARCHIVES ÉCRITES Une importante documentation textuelle se rapporte Ă  la thĂ©matique cinĂ©ma » 3000 rĂ©fĂ©rences de monographies et d’articles de pĂ©riodiques, ainsi qu’une centaine d’unitĂ©s d’archives Ă©crites versĂ©es par des institutions et/ou des professionnels du secteur audiovisuel, complĂštent et enrichissent les collections de films et d’émissions disponibles Ă  la consultation. Voici quelques exemples de documents Ă©crits sur la thĂ©matique du cinĂ©ma français et Ă©tranger et la diffusion des films cinĂ©matographiques sur les chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision françaises. Fonds des pĂ©riodiques L’Ina conserve de nombreuses collections de revues, magazines et pĂ©riodiques sur ou autour du cinĂ©ma, dont certaines numĂ©risĂ©es Cahiers du cinĂ©ma 1951-2
 CinĂ©mAction 1978-2
 CinĂ© Revue 1955-1982 CinĂ©mathĂšque 1991-1996 Écran total 1993-2
 Film Ă©change 1978-1992 Le film français 1961-2
 Positif 1959-1985 Revue du cinĂ©ma 1946-1988 Synopsis 1998-2005 Le technicien du film 1958-2
 Mais aussi 
 American cinematographer 1963-2001 American film 1980-1986 Sight and soud 1959-1994 Variety 1978-2000 etc. Fonds privĂ©s particuliers Fonds Pierre Peytavi 55 cartons Fonds d’archives versĂ© Ă  l’InathĂšque en juillet 2005 par Pierre Peytavi, chef dĂ©corateur pour la tĂ©lĂ©vision. AffectĂ© dans les annĂ©es 1950 au Service CinĂ©ma des ArmĂ©es au Fort d’Ivry, il participe Ă  de nombreux films, dont le film d’Alain Bombart Survie en mer. Il se familiarise ainsi aux techniques de cinĂ©ma et met en pratique son expĂ©rience au service de la tĂ©lĂ©vision en rĂ©alisant les dĂ©cors de nombreuses dramatiques et les adaptations de piĂšces de théùtre dans les annĂ©es 1960. Les dossiers contiennent principalement des plans, des croquis, des fiches de production, des plannings de tournage des devis et des commandes de matĂ©riel. Certains sont complĂ©tĂ©s par des photos de repĂ©rages, des scĂ©narios ou des correspondances. Fonds Maurice Valay 56 cartons Fonds d’archives versĂ© Ă  l’InathĂšque en novembre 2000 par Maurice Valay, chef dĂ©corateur pour la tĂ©lĂ©vision. Les dossiers contiennent principalement des documents relatifs au travail prĂ©paratoire d’émissions tournĂ©es aux studios des Buttes Chaumont, Joinville, Cognacq Jay, Gaumont, Pathé  et diffusĂ©es de 1959 Ă  1978 plans, croquis, fiches de production, plannings de tournage devis et commandes de matĂ©riel, photos de repĂ©rages et de plateaux. Fonds AndrĂ© Gillois 43 cartons Contient des scĂ©narios, dialogues et documents de travail de films, tĂ©lĂ©films et adaptations de piĂšces de théùtre, des projets de films, etc. de l’écrivain et scĂ©nariste AndrĂ© Gillois, qui a notamment travaillĂ© avec RenĂ© Clair et Gilles Grangier 125, rue Montmartre en 1959. Fonds ScĂ©narios 3681 documents Le fonds est constituĂ© de scĂ©narios de plus de 3000 Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es diffusĂ©es entre le dĂ©but des annĂ©es soixante jusqu’à la fin des annĂ©es quatre vingt dix, dont l’Institut national de l’audiovisuel dĂ©tient les droits d’expolitation. Il s’agit de fictions tĂ©lĂ©films, sĂ©ries et feuilletons, Ɠuvres originales ou adaptations d’Ɠuvres littĂ©raires ou thĂ©atrales, dont certaines sont plus connues dans leur version cinĂ©matographique. Fonds SFP 339 cartons VersĂ© par la SociĂ©tĂ© française de production, ce fonds est constituĂ© de dossiers rĂ©alisĂ©s par le service de presse de la SFP autour des fictions en production ou coproduction pour la tĂ©lĂ©vision et le cinĂ©ma ; on y trouve des synopsis, des plans de tournage, des listes artistiques et techniques, des photographies et des articles de presse. Mais aussi des documents relatifs aux festivals de cinĂ©ma Cannes 
, aux plateaux de tournage la Victorine, les Studios de Bry, aux Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es consacrĂ©es au grand Ă©cran CinĂ©ma 16 et une collection de la Lettre interne de la SFP 1989-1998, etc. Fonds CSA 675 cartons Contient des bilans, des dossiers de presse, des brochures sur l’industrie du cinĂ©ma, des Ă©tudes sur la relation entre cinĂ©ma et tĂ©lĂ©vision financement, programmes
, les archives du Service d’Observation des Programmes et notamment des rapports et des analyses sur la place du cinĂ©ma Ă  la tĂ©lĂ©vision, etc. Fonds TF1, F2, France Culture, France Inter Dossiers relatifs Ă  la diffusion, par chaque chaĂźne ou radio, d’émissions diverses, dont des films, tĂ©lĂ©films, magazines de cinĂ©ma, etc. Ces fonds comprennent selon les cas des articles de presse, des taux d’audience, des informations concernant les droits d’auteur, des documents de travail, des rapports de visionnage, etc. D’autres fonds peuvent contenir des documents reliĂ©s au cinĂ©ma L’ANALYSE DE FILMS AVEC L’OUTIL MÉDIASCOPE Consulter l’analyse complĂšte >> Unfilm de Charles Chaplin. Avec Charles Chaplin, Paulette Goddard, Chester Conklin. Charlot est ouvrier dans une gigantesque usine. Il resserre quotidiennement des La vie de l'un des plus fabuleux crĂ©ateurs du cinĂ©ma, auteur des "Temps modernes" et "Le Dictateur", roi du cinĂ©ma muet et crĂ©ateur du personnage de Charlot. L'aventure dĂ©bute Ă  l'Ăąge de cinq ans, le jour oĂč le petit Charles remplaça, au pied levĂ©, sa mĂšre, artiste de music-hall atteinte d'une brusque crise de trac. Une extraordinaire odyssĂ©e artistique commence alors avec cette improvisation jusqu'Ă  la consĂ©cration de son personnage de Charlot et la rĂ©alisation de quelques des uns des plus beaux films du cinĂ©ma muet "Les Temps modernes", "Le Cirque", "Le Dictateur"... qui, aujourd'hui encore, restent aussi Ă©blouissants qu'aux premiers jours. Construite d'aprĂšs deux ouvrages "Histoire de ma vie" de Chaplin, et "Chaplin sa vie et son oeuvre" de David Robinson, menĂ©e par l'acteur-rĂ©alisateur Richard Attenborough qui signa dĂ©jĂ  la bio filmĂ©e de Gandhi, cette spectaculaire vie d'artiste est d'autant plus extraordinaire portĂ©e par l'interprĂ©tation Ă©tonnante de Robert Downey Jr. Langue VOSTFR SD HD DurĂ©e 2h23 AnnĂ©e de production 1992 Date de sortie en salle 17/02/1993 Smile - BO Les temps modernes (Charlie Chaplin) · MĂȘme le blog de Morandini reprend Glee · Lauren Zizes · Halo vs walking on sunshine - Beyonce vs Katrina & the waves. Voir plus . Abonnement au blog . Recevez les actualitĂ©s de mon blog gratuitement : Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "gleeclubcast" et que je LaComtesse de Hong-Kong (A Countess from Hong Kong) est un film britannique, le dernier rĂ©alisĂ© par Charlie Chaplin, sorti sur les Ă©crans en 1967.. Synopsis. Ogden Mears est un ambassadeur amĂ©ricain qui dĂ©couvre, cachĂ©e dans sa cabine de bateau, une comtesse russe.
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Lestemps modernes. Film ComĂ©die, États-Unis d'AmĂ©rique, 1936, 1h23. Voir la bande annonce. Ouvrier dans une usine moderne, Charlot serre des Ă©crous. Une maladresse lui en fait
AhSl.
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