“ … avec Nuro, nous envisageons un monde sans courses, où tout est à la demande et peut être livré à un prix abordable “ Dave Ferguson, Co-fondateur de NuroLa start-up californienne Nuro, fondée en 2016 par deux anciens employés Google, a su saisir le marché de la livraison à domicile. Nuro se spécialise dans le développement de robots autonomes conçus pour livrer et exploite déjà ses robots de livraison dans quelques villes des ses débuts, la société avait pour objectif de concevoir un véhicule électrique et autonome sans chauffeur, ni passagers qui circule à basse vitesse sur les routes américaines et qui se consacre, à l’origine, à la distribution de colis. Reposant sur l’intelligence artificielle et équipé de capteurs à 360 degrés, ce robot autonome sait distinguer tous les dangers présents sur la route. La seconde génération du robot de Nuro R2 se consacre à la livraison de repas et de marchandises, la société conclut des partenariats, notamment, avec Kroger, Walmart et Domino’s Pizza. Il est équipé de deux trappes sur les côtés pouvant accueillir les commandes et d’un écran tactile permettant au client de valider sa novembre 2020 l’entreprise réussie à lever 500 millions d’euros de financement, permettant d’accélérer considérablement leur développement et la fabrication de leurs fameux robot R2. Nuro espère pourvoir s’imposer comme le leader sur ce marché et inonder les routes d’ notre fonds d’investissement spécialisé dans le secteur de la robotique TRECENTO ROBOTIQUE performances passées ne préjugent pas des performances futures. Elles ne sont pas constantes dans le temps. Risque de perte en question ? contact
Nuro: se faire livrer son repas par R2 “ avec Nuro, nous envisageons un monde sans courses, où tout est à la demande et peut être livré à un prix abordable “ Dave Ferguson, Co
Aux Usa, la nourriture est omniprésente, tout le temps, partout, à tous les prix. Les repas aux Etats-Unis sont riches en tout et ce n’est pas par hasard que vous rencontrerez souvent des américains obèses ou en surpoids. Plus d’un sur trois est trop gros, alors, même si vous avez quelques kilos en trop vous passerez pour presque sous-alimenté au pays de l’Oncle Sam. Il est donc important d’essayer d’équilibrer vos repas aux Etats-Unis pendant votre séjour et ne pas être trop tenté par les sollicitations, d’autant plus que les moins chères sont aussi les moins équilibrées, les plus grasses, les plus sucrées, les plus salées, bref, la Junk Food. Vous pourrez facilement et c’est plus pratique si vous voyagez ne faire que deux repas par jour, le Breakfast et le dîner. N’oubliez pas que pour tous les repas, les parts sont souvent plus importantes que chez nous. Pour le breakfast, prenez-le en dehors de votre hôtel, il sera meilleur, plus consistant et meilleur marché. Et en quantité, il sera l’équivalent d’un repas en France. Pour le dîner dinner, rendez-vous dans des Foods courts, des immenses lieux situés souvent dans les centres commerciaux. Vous y trouverez des stands qui vous proposent des cuisines à emporter différentes pour un prix modique italienne, chinoise, mexicaine… puis vous vous installez à une table dans l’espace commun à tous les stands. Évitez les restaurants comme en France avec service à table en dehors des grandes chaînes vous risquez de payer cher vos repas aux Etats-Unis. Le lunch se prend entre 11 h et 14 h 30, la carte sera différente au lunch et au dinner, et moins chère à midi que le soir car les plats sont plus recherchés. A ces deux repas, le week-end, samedi et dimanche s’ajoute le Brunch, vous pouvez manger plus tard que le petit déjeuner, un repas qui se rapproche plus du déjeuner à partir de 10 h/11h un peu entre le breakfast et le lunch. Le petit déjeuner à l’américaine, un vrai repas et un bon plan ! Le petit déjeuner à l’américaine est un must de repas aux Etats-Unis et il peut de plus constituer un solide premier repas de la journée. Il vous permettra d’attendre le soir en mangeant un sandwich ou quelque chose de léger à midi et ainsi vous poursuivrez vos visites sans trop perdre de temps à table… Vous pouvez aussi prendre votre petit déjeuner dans un diner, lieu typique des USA avec comptoir, banquette, souvent un juke box et où les petits déjeuners sont copieux. Dennys, Applebees, Ponderosa, Bob Evans Voici quelques chaînes qui offrent des supers petits déjeuners sur l’ensemble des USA, qualité et prix sont au rendez-vous, certaines même font du All You Can Eat manger autant que vous voulez/pouvez sous forme de grands buffets, comme l’enseigne Ponderosa par exemple. Vous les trouverez facilement tout au long de votre voyage. Si vous aimez les pancakes, adressez vous à la chaîne qui est la spécialiste par son choix et la qualité de ses pancakes et petits déjeuners complets originalpancakehouse Découvrons un petit déjeuner américain. En premier le café coffee, attention le café américain n’est pas fort, même léger on vous en servira autant que vous le souhaitez pour le même prix, les serveuses qui reçoivent les pourboires ne vous laisseront pas longtemps la tasse vide. Le jus d’orange orange juice souvent excellent, souvent pressé, mais aussi du jus de pomme, tomate, jus de raison en 3 tailles, small, medium and large. Les oeufs eggs, scrambled, au plat fried sur une face sunny side up ou deux côtés over ou pochés poched ou plus original des eggs benedict, oeufs pochés à la sauce hollandaise sur un English Muffin. Des toasts slice toasts, vous pouvez les demander beurrés buttered, des toast pain blanc, white toast Du pain perdu french toast Des crêpes épaisses Pancakes, délicieuses avec du sirop d’érable ! Des pommes de terre cripsy hash brown pommes de terre hachées et délicieusement grillées ou sous forme de pommes de terre avec la peau breakfast potatoes Des petites saucisses sausage links Des haricots beans dans une sauce sucrée un délice avec les œufs brouillés Des tranches de lard bacon strip Du jambon en dé diced ham Du fromage en tranche type Cheddar Cheddar Cheese Des flocons d’avoine Oatmeal English muffin à la myrtille, à la framboise… etc Donuts, inutile de présenter le repas favori d’Homer Simpson Bagels, petits pains en forme d’anneau. Des fruits coupés fruits Des sweets par exemple 2 toasts avec des tranches de banane nappées d’une sauce au caramel Des omelettes omelette Des gauffres waffles, avec souvent un large choix, nature ou au bacon, à la noix de coco, à la noix de Pecan… Chaines de restaurants qui servent de copieux petits déjeuners Dennys Appelbees Ponderosa Village Inn Chaînes de restaurants, food courts, fast food, All you can eat et owned restaurant. Les USA où l’on trouve des Fast food partout, attention à ne pas abuser… Pour manger vous n’aurez que l’embarras du choix, par contre difficile d’échapper à la Junk food, type restauration rapide, de nombreuses chaînes sont présentes sur tous les USA. Photo Applebees Notre sélection – Sbarro pour les pâtes et les pizza – Subway pour ses sandwiches que l’on prépare devant vous en fonction de vos goûts – Tacobell pour ses burittos et salades Les foods Courts, de Chine au Mexique, toutes les cuisines en un seul lieu. food court Les food courts sont des aires de restauration souvent situées dans les grands centres commerciaux. Ils regroupent un grand nombre de restaurants, un peu style fast food, où vous pouvez manger pour pas cher en ayant un choix important de style de cuisine, mexicaine, asiatique, italienne, plus classique… au centre du food court vous aurez un espace de restauration avec tables et chaises, c’est en libre service. Un bon moyen de ne pas se ruiner pour les repas aux Etats-Unis. Les chaînes de restaurants, qui se rapprochent un peu de nos restaurants traditionnels … Service à table, plat variés, bonne qualité pour un prix raisonnable, ces restaurants sont familiaux. Ils sont ouverts à toute heure et vous pouvez prendre un petit déjeuner, un lunch ou un dinner. Certains offrent la formule All you can eat », qui , avec un prix forfaitaire par personne, vous donne le droit de manger à volonté. Dennys Appelbees Ponderosa Bob Evans Ihop Quelques pistes pour ré-équilibrer vos repas, bonjour salades, fruits et légumes. Aux Etats-Unis, un restaurant qui s’apparente à nos restaurants en France au regard du service, de la qualité et de la diversité des plats est un restaurant cher qui aura vite raison de votre budget. Les owned restaurants, sont des restaurants qui ne font partie d’aucune chaîne. De bonnes surprises vous y attendent, nourriture de qualité en quantité importante dans des endroits typiques à des prix tout à fait raisonnables. Pour les trouver en dehors des guides, demandez à la réception de votre hôtel/motel les bons owned restaurants du coin. Par exemple le fameux Irma restaurant et saloon à Cody, la ville de Buffalo Bill dans le Wyoming. Lieu fréquenté par beaucoup de touristes, mais qui en vaut la peine tant par sa décoration authentique que par ses plats. Pour mieux équilibrer votre alimentation et votre portefeuille pour vos repas aux Etats-Unis allez faire un tour dans les supermarchés, ils ont souvent des coins repas, des salad-bars et surtout des fruits et des légumes frais ce qui va vite vous manquer dans votre voyage aux USA. Si vous restez quelques jours dans une ville et que vous avez un coin cuisine dans le motel ou dans votre location, ravitaillez-vous au supermarché, vous ferez de belles économies sur la nourriture et elle sera plus équilibrée. Liste des chaînes de supermarché US Wikipedia
4 Foodora. Foodora est un service de livraison allemand qui est présent dans 10 grandes villes françaises. Depuis février 2017, Foodora se différencie de ses concurrents en proposant le retrait des commandes (sans minimum de montant). Avantageux, ce système permet d’ éviter les frais de livraison et propose même l’itinéraire via
Nombreux sont ceux qui n’osent pas se lancer dans une randonnée de plusieurs jours alors qu’ils font régulièrement des randonnées à la journée. Et pourtant, nombreux sont ceux qui au fond d’eux aimeraient franchir le pas et goûter au plaisir de passer plusieurs jours, dont une ou plusieurs nuits dans la nature attention, c’est addictif ;-. Beaucoup sont bloqués par l’inconnu, car ils ne savent pas à quoi s’attendre, pensent que ce n’est pas pour eux, ne savent pas quel matériel emporter, ne savent pas s’ils tiendront le coup physiquement, ne sont pas sûrs de ceci ou de cela, etc. Au final, cet inconnu et ces incertitudes se transforment en peur – une peur qui est limitante pour se lancer dans sa première grande randonnée. Vous êtes d’ailleurs peut-être dans ce cas. Et c’est plutôt une bonne nouvelle, car cette peur est nécessaire pour vous maintenir en vie. C’est ce qui vous empêche de faire n’importe quoi, de prendre des risques inutiles et de vous mettre en danger. C’est ce qu’on appelle la peur rationnelle. Par contre, il y a sûrement aussi une partie de peur irrationnelle, une peur alors qu’il n’y a pas de danger pour vous. Par exemple la peur d’une araignée inoffensive ou la peur du vide en haut d’une falaise derrière une barrière de sécurité. Cette peur ne nous apporte rien d’un point de vue de la sécurité et la survie. Pire, cette peur peut parfois être dangereuse à cause de réactions incontrôlées. Bref, je vous rassure tout de suite, on n’est pas partie pour une séance de psychologie. 😉 A travers cet article, je vais essayer de rendre l’inconnu moins inconnu en partageant mon expérience des randonnées de plusieurs jours et en répondant aux questions que l’on me pose souvent sur le sujet. Mais, même si vous n’avez pas d’appréhensions pour vous lancer sur des randonnées de plusieurs jours et que vous êtes à la recherche d’informations, cet article devrait aussi vous intéresser. Il ne se veut pas extrêmement complet et détaillé, mais il est là pour vous donner les bases, quelques pistes de réflexion et des conseils pour vous lancer dans votre première randonnée de plusieurs jours. Comme toujours, le but dans un premier temps est que ça se fasse en toute sécurité et en y prenant plaisir. Le reste viendra avec l’expérience et la lecture d’autres articles sur Randonner Malin. 😉 Nous allons d’abord voir quelles sont les différences principales avec les randonnées à la journée et ce à quoi il faut penser et nous nous intéresserons dans une seconde partie à votre première nuit – qu’elle soit en bivouac ou en refuge. Note J’ai choisi de ne parler que des nuits en bivouacs et refuges, car si vous décidez de passer la nuit dans un hôtel, une chambre d’hôtes ou un camping, il y a des chances que vous sachiez déjà à quoi vous attendre. Par contre, beaucoup de personnes ne savent pas vraiment à quoi s’attendre pour une nuit en refuge ou en bivouac. Principales différences avec des randonnées à la journée Comme pour les randonnées à la journée, la réussite d’une randonnée de plusieurs jours passe par une bonne préparation. Et sans surprise, plus la randonnée durera, plus la préparation sera longue. Voici quelques différences avec les randonnées à la journée, qu’il est important d’anticiper pour que votre première grande randonnée se passe bien. Préparation de son itinéraire La préparation de l’itinéraire se fait de la même manière que pour des randonnées à la journée, à part qu’il faudra y intégrer les points de ravitaillement en eau, en nourriture s’il y en a et les endroits où vous dormirez. Si vous comptez dormir en refuge, en gîte d’étape, ou bivouaquer à côté d’un refuge, le choix sera souvent assez limité et vos étapes journées de randonnée vont se construire autour de cela en prenant en compte la difficulté de chaque étape par rapport à votre condition physique. Si vous comptez bivouaquer n’importe où je vous conseille d’ailleurs de lire cet article sur le bivouac et le camping sauvage, vous serez plus autonome et le choix de l’itinéraire sera plus libre – même s’il peut éventuellement être contraint par des zones où il est interdit de bivouaquer ou difficile de bivouaquer marécages, pentes rocheuses trop raides, etc.. Mais, on reviendra là -dessus dans la section spécifique au bivouac. Evaluer la difficulté Pour créer votre itinéraire, il va falloir que vous déterminiez une distance maximale, des dénivelés cumulés maximaux et une durée maximale par étape. Par exemple maximum 30 km, 1000 m D+ dénivelé cumulé positif, 1000 m D- dénivelé cumulé négatif, 7h. Vous pouvez par exemple vous servir d’Openrunner pour estimer les distances et les dénivelés. Si vous n’avez aucune idée de votre condition physique et de votre vitesse de marche, je vous conseille de lire cet article qui regroupe les 5 étapes pour estimer facilement la difficulté et la durée d’une randonnée Prenez bien en compte les terrains traversés marcher sur un sentier dégagé, marcher dans du sable ou dans des éboulis n’a pas le même effet sur notre corps. On reviendra là -dessus dans la partie condition physique, fatigue, récupération », mais ne surestimez pas vos capacités, votre sac sera plus lourd que pour une randonnée à la journée et la fatigue s’accumulera d’un jour à l’autre. Prenez-en bien compte pendant la planification de votre itinéraire. Trouver un compromis avec tous les paramètres Une fois que vous avez déterminé la difficulté maximale de vos étapes, il va falloir jongler avec les points de ravitaillements, les endroits où vous allez dormir, le point de départ et le point d’arrivée, sans oublier les endroits par lesquels vous voulez passer. En général, il est nécessaire de faire des compromis pour que tout s’accorde. Pour faire au plus simple… Si jamais vous voulez simplifier le procédé, je vous conseille de rechercher des idées d’itinéraires fiables et vous en servir. Ça vous permettra de vous baser sur des randonnées qui ont déjà été faites. Attention, j’ai bien mentionné fiables », ne prenez pas le premier circuit trouvé sur internet, assurez-vous de sa qualité et vérifiez les informations. Un petit conseil pour faire vos choix Quand vous allez jongler avec tous les paramètres, il y a des chances que vous ayez à faire le choix entre des journées plus faciles ou plus dures que prévu. Si vous manquez d’expérience et de recul par rapport à votre condition physique et aux difficultés d’un itinéraire, je vous conseille de prendre l’option plus tranquille » – sauf si vous recherchez un défi physique. Par exemple, il vaut mieux arriver au refuge un peu tôt et aller se balader autour, plutôt que d’arriver en pleine nuit dégoûté de la randonnée… Après, ça dépend ce que vous recherchez ! Mais si vous aimez galérer », mettez vraiment toutes les chances de votre côté et arrêtez de lire l’article. 😉 Par exemple, pendant ma première grande randonnée dans le parc de la Vanoise, nous n’avons pas pu atteindre le refuge où l’on comptait dormir le premier soir. Un mélange de sac trop lourd, de mauvaise estimation des difficultés et d’inexpérience. Heureusement, on a pu s’arrêter à un refuge avant et y passer la nuit. On aurait probablement pu atteindre le refuge prévu, mais ça nous aurait coûté très cher physiquement et moralement. Prévoir des options de secours, des plans B En plus de bien préparer son itinéraire, de bien estimer les difficultés, il est important de prévoir des solutions de secours, des plans B – notamment en cas de fatigue, de maladie, de mauvais temps, etc. Plus la randonnée sera longue, plus il y a de chances qu’il y ait un imprévu, donc plus il faudra réfléchir à des plans B. D’ailleurs, j’avoue, le refuge où l’on a passé la première nuit ne faisait pas partie d’un plan B. Il n’y avait pas de plan B ! On pensait qu’on était invincibles. Mais depuis, on a appris… 😉 Cela consiste par exemple à prévoir des échappatoires pour rejoindre un village avant même la fin de l’itinéraire, de prévoir un raccourci si jamais on est juste physiquement, de prévoir un endroit de bivouac plus abrité en cas de mauvais temps si celui originellement prévu est exposé, etc. Le but est vraiment d’anticiper, plutôt que de se retrouver coincé dans une situation délicate. Cela se fait avant la randonnée, mais peut se faire aussi au fur et à mesure en fonction de l’évolution des conditions météo, moral, fatigue, etc.. Note N’oubliez pas de donner votre itinéraire et les plans B à un proche et de signaler votre retour et éventuellement votre progression à celui-ci voir l’article sur le sujet. Orientation Une fois son itinéraire créé, il faut réussir à le suivre. J’imagine que vous avez probablement déjà l’habitude de vous orienter sur des randonnées à la journée. Sur des randonnées de plusieurs jours, cela ne va pas être tellement différent à quelques détails près. Je ne vais expliquer ici les différentes manières de s’orienter et les avantages et inconvénients de chaque manière, mais plutôt pointer du doigt certains éléments spécifiques aux randonnées de plusieurs jours. Autonomie des GPS, smartphones et tablettes Pour ceux qui utilisent principalement un GPS, un smartphone ou une tablette pour s’orienter, il faut particulièrement faire attention à l’autonomie de la batterie ou des piles – qui risquent de ne pas tenir tout au long de votre randonnée. Vous pouvez soit – Emporter des batteries/piles supplémentaires ou prévoir un moyen de recharger vos appareils batterie externe, chargeur solaire, prises électrique dans les logements, etc.. – Ou, garder vos appareils en cas de problème et vous orienter principalement avec une carte et/ou une boussole et/ou un altimètre et/ou le balisage. Poids et encombrement des cartes Sur de longs itinéraires, on peut se retrouver à devoir porter quelques cartes. Sur plusieurs jours, ça ne pose généralement pas de problème – même si on peut éventuellement s’alléger en imprimant ou photocopiant les sections intéressantes. Il est aussi parfois possible de se créer une ou plusieurs cartes sur mesure » comme avec le service carte à la carte » de l’IGN, pour centrer sa carte où on le souhaite. Au long cours, ça peut être problématique et il faut généralement envisager d’autres options – la combinaison de cartes numériques et papier voire des ravitaillements en cartes. Il y a la possibilité d’être en tout numérique uniquement, mais c’est prendre le risque de n’avoir plus aucune carte en cas de panne ou de batterie à plat. Ce n’est pas une option que je recommande, sauf si on reste toujours à proximité de zones civilisées » et que l’on est autonome. Itinéraires parfois plus isolés Sur plusieurs jours, on a parfois la chance de s’évader dans des endroits plus isolés et plus loin de la civilisation ». C’est génial, mais on peut aussi se perdre pendant beaucoup plus longtemps avant de retomber sur un village ou une route par exemple. Il est donc primordial de bien s’avoir s’orienter dans la nature et de mettre des systèmes de sécurité en place donner son itinéraire à un proche, avoir un moyen pour joindre les secours, etc.. Eau Sur une randonnée à la journée, on est généralement autonome au niveau de l’eau. Sur une randonnée de plusieurs jours, il vaut mieux essayer de se ravitailler si c’est possible en cours de route pour limiter le poids de son sac. Pour cela, il faut se renseigner sur les points d’eau potable le long de votre itinéraire et créer votre itinéraire en fonction de ces points. Ces points peuvent être une source, un ruisseau, un robinet dans un refuge ou un village par exemple, etc. Pensez bien que l’été, certains points d’eau peuvent être à sec et que l’hiver ils peuvent être gelés. Votre survie ne doit pas dépendre que d’un seul point d’eau. Prévoyez suffisamment d’eau entre les points de ravitaillement et ayez des solutions de secours si jamais vous ne pouvez pas vous ravitailler là où vous pensiez pouvoir le faire. Si jamais vous avez des doutes sur la potabilité de l’eau, pensez à emporter un moyen de la purifier. Pour minimiser le poids d’eau que vous aurez à porter, je vous conseille de dormir à proximité d’un point d’eau – ce qui est généralement le cas si vous passez la nuit en refuge. Ça vous permettra d’avoir de l’eau à portée de main et de ne porter que l’eau dont vous aurez besoin dans la journée. Si ce n’est pas le cas, il vous faudra prévoir de l’eau pour la cuisine du soir, du matin et éventuellement pour la vaisselle et l’hygiène – en plus de l’eau prévue pour vous hydrater directement. Nourriture Pour les randonnées à la journée, ce n’est pas tellement compliqué, on prend de quoi grignoter et éventuellement de quoi manger le midi. De plus, le faible poids du sac permet facilement de ne pas être trop regardant sur ce qu’on emmène et les quantités que l’on emmène. Pour des randonnées de plusieurs jours, c’est un peu plus compliqué. Il faut faire plus attention à ce que l’on emporte et aux quantités et il faut se préoccuper du repas du matin et du soir. On peut distinguer plusieurs possibilités Etre en autonomie – c’est-à -dire que l’on porte toute la nourriture dont on a besoin pour l’intégralité de sa randonnée. On a l’avantage d’être assez libre, cela apporte un peu de sécurité en plus, mais cette autonomie a un poids. C’est également une bonne option quand le budget est serré. Etre en autonomie partielle – emporter suffisamment de nourriture pour être autonome jusqu’au prochain ravitaillement il peut y avoir un ou plusieurs ravitaillements. Cela peut être 2 ou 3 jours d’autonomie par exemple. On est un peu moins libre qu’en autonomie totale de nourriture, ça demande un peu d’organisation, mais c’est un bon compromis entre liberté et poids du sac. C’est aussi une bonne option pour un petit budget. Etre en demi-pension voire plus. Dans certains refuges, il est possible de prendre le petit-déjeuner et le dîner. Certains vendent parfois même des pique-niques ou de quoi manger le midi. Cela n’est pas spécifique aux refuges et peut se faire dans d’autres types d’hébergements. Ça permet d’avoir un sac plus léger et c’est confortable. Par contre, on perd un peu en liberté, il faut compter un budget plus élevé, ça demande une bonne organisation et ce n’est pas possible partout. Un mélange des deux précédentes options – quelques repas pris dans des hébergements et d’autres que l’on a emportés dans son sac. Avoir une certaine autonomie de nourriture permet de mieux s’adapter et de moins dépendre des hébergements. Note Prévoyez toujours un minimum de nourriture dans votre sac, même si vous comptez manger uniquement dans des hébergements. Vous aurez de quoi grignoter entre les repas et vous aurez une petite réserve au cas où. Ravitaillements Les ravitaillements en nourriture sont intéressants sur des randonnées de plusieurs jours quand on passe à proximité de points de ravitaillement possibles. Par rapport à une autonomie totale de nourriture, le but principal est de limiter le poids du sac et éventuellement de pouvoir emporter quelques produits qui auraient mal supporté plusieurs jours de randonnée. L’inconvénient est que ça demande un peu plus de planification, une organisation autour de ces ravitaillements, on ne peut pas toujours trouver les aliments que l’on veut et on perd un peu en autonomie. Quand on a toute sa nourriture dans son dos, on sait que même si on change de plan, on aura toujours à manger. 😉 Il faut notamment prévoir les points de ravitaillement, s’assurer que le magasin, l’épicerie ou autre sera ouverte ce jour-là et arriver pendant les horaires d’ouverture. Sur certains itinéraires ne passant pas proches de villages, il est parfois difficile voire impossible de se ravitailler. Une fois vos points de ravitaillement définis, il vous faudra prévoir la nourriture nécessaire jusqu’à votre prochain ravitaillement – et faire la même chose à chaque ravitaillement, s’il y en a plusieurs. Certaines personnes envoient même des colis à l’avance et récupèrent leur colis une fois sur place. Mais cela se fait plutôt pour des randonnées au long cours et pas uniquement pour la nourriture. Quelle quantité ? Quand on n’a pas tellement d’expérience, il est assez difficile d’estimer la quantité de nourriture que l’on doit emporter sur une randonnée de plusieurs jours. Pour une randonnée à la journée, même si on prend trop ou que l’on a visé un peu juste, ce n’est pas trop grave. Sur une longue randonnée, c’est plus gênant. On a soit un sac au poids mal optimisé ou on risque d’avoir faim, voire de manquer d’énergie. Le plus simple pour connaître la quantité de nourriture à emmener est de diviser par jour et par repas. Par exemple, sur une randonnée de 3 jours en autonomie, on aura – Jour 1 matin, midi, soir + en-cas – Jour 2 matin, midi, soir + en-cas – Jour 3 matin, midi, soir + en-cas L’idéal est de préparer » séparément les 12 portions et de les séparer physiquement sur une table ou par terre par exemple, plutôt que de se dire bon je prends un kilo de pâte et 500 g de semoule, ça devrait bien faire l’affaire ». Pour bien évaluer les quantités, je vous conseille de peser vos aliments. Cela vous permet également de tester chez vous ce que cela représente. Par exemple, si vous mangez habituellement des flocons d’avoine au petit-déjeuner et que vous comptez en emmener en randonnée, servez-vous votre portion habituelle puis pesez là . Si vous mangez des pâtes un soir chez vous, faites la même chose – de cette manière vous saurez s’il vous faut 100 g, 130 g, etc. Essayez quand même d’adapter ces portions, car vous allez très probablement vous dépenser plus pendant une journée de randonnée plutôt que pendant une journée classique ». Pensez aussi à l’accompagnement. Si vous avez mangé un steak avec vos pâtes chez vous et que vous ne mangez que des pâtes avec un peu de viande séchée en randonnée, il faudra probablement augmenter un peu la quantité de pâtes pour votre repas en randonnée. Bref, vous voyez l’idée. 😉 Encore un dernier conseil avant de partir, notez toutes les quantités et le détail de la nourriture que vous emportez. A votre retour, notez vos impressions trop de ceci, pas assez de cela, etc.. Ça vous permettra de gagner du temps et de vous servir de vos expériences passées sur vos prochaines randonnées. Quoi manger ? Le souci du poids du sac à dos Comme je l’ai mentionné dans l’article 4 principes et de nombreuses astuces pour randonner plus léger », je vous conseille de choisir votre nourriture en fonction de son rapport énergie/poids. Le plus simple pour cela est de comparer le nombre de calories, kilocalories ou le nombre de kilojoules kJ pour 100 g. C’est généralement indiqué sur les étiquettes des produits. Plus ces nombres sont élevés, plus l’énergie apportée par la nourriture sera importante par rapport à son poids. Les aliments contenant beaucoup d’eau sont souvent peu intéressants et c’est pourquoi beaucoup de randonneurs se tournent vers des aliments secs, déshydratés ou lyophilisés. Bien évidemment, ce n’est pas la seule chose à considérer, sinon on ne consommerait que du gras – qui a un rapport énergie/poids imbattable. Il est important d’avoir des apports en glucides, lipides et protides dans de bonnes proportions et d’être regardant sur le type de glucides, lipides et protides – car ils ne sont pas traités et utilisés de la même manière par notre corps. Par exemple, même si les bonbons pleins de glucides simples peuvent avoir un rapport énergie/poids intéressant, je vous déconseille de ne manger que ça au risque d’avoir faim et d’avoir des coups de mou ». Je vous conseille aussi d’avoir des apports en glucides complexes, notamment grâce aux féculents. Il ne faut pas oublier non plus que les vitamines et sels minéraux jouent aussi un rôle essentiel pour le bon fonctionnement de notre corps. Le souci des denrées périssables Outre le poids, une autre des difficultés de l’alimentation en randonnée est de ne pas pouvoir emmener de denrées périssables ou de devoir les consommer rapidement. C’est notamment le cas des fruits et des légumes qui sont en plus peu intéressants d’un point de vue énergétiques du fait de leur forte teneur en eau. Et c’est également le cas de la viande et du poisson par exemple. Compenser les aliments peu pratiques » Mais, comment compenser ce que nous apportent habituellement ces aliments vitamines, protéines, fibres, etc. et comment les remplacer par des aliments au rapport énergie/poids intéressant ? Une partie de la réponse est il va falloir faire des compromis ». Il faut aussi de demander est-il vraiment nécessaire de compenser ? » Honnêtement, je n’ai pas la réponse à cette question et je ne pense pas qu’il y en ait une. La plus satisfaisante est probablement ça dépend ». Pour des randonnées de quelques jours, une semaine, 10 jours, je pense qu’il faut essayer de compenser comme on peut, notamment avec des aliments séchés, déshydratés ou lyophilisés. Les carences mettent quand même un certain temps à se développer et si on a une alimentation correcte et adaptée à notre effort, notre corps s’habituera très bien. On peut par exemple emporter des baies de Goji séchées pour la vitamine C, des criquets séchés j’y pense car j’en ai mangé il y a peu de temps ou du bœuf séché pour les protéines, des amandes et des abricots secs pour les fibres, du chocolat avec une forte teneur en cacao pour le magnésium et le plaisir ;-, etc. En réfléchissant un peu, il est tout à fait possible de se préparer des repas simples avec du goût et assez variés – car il ne faut pas non plus oublier totalement la notion de plaisir. 😉 Pour des périodes plus longues et des randonnées au long cours, je pense qu’il faut creuser un peu plus le sujet et réfléchir à tous ses apports pour éviter des mauvaises surprises. Cela dit, on est généralement vite limité par le poids de son sac, et on doit faire des ravitaillements. Dans ce cas, on peut profiter du ravitaillement pour consommer les aliments périssables dont on a été privé ». Je ne vais pas vous donner des idées de repas et trop m’étendre sur le sujet car ça mériterait un ou plusieurs articles. De plus, le sujet est extrêmement complexe tant les interactions sont nombreuses et c’est un sujet peu maîtrisé par les scientifiques malgré beaucoup de recherches. Et, chacun a une alimentation journalière différente et les opinions divergent sur ce qu’est une bonne alimentation – on en revient d’ailleurs toujours au fameux mangez équilibré ». 😉 Mais, pour satisfaire votre curiosité, voici quelques articles sur le sujet Faut-il vraiment manger des féculents matin, midi et soir en randonnée ? » Mangez salé et ne buvez pas trop pour éviter l’hyponatrémie » Recette de granola pour la randonnée un petit-déjeuner énergétique et bon ! » Semoule le féculent parfait pour la randonnée ? » Ma liste de matériel à 12 kg tout compris pour le GR20 en autonomie complète » pour quelques idées de repas non gastronomiques. Les compléments alimentaires Je sais que certaines personnes prennent des compléments alimentaires pour compléter leur alimentation en randonnée. Il est difficile de savoir si ces apports sont intéressants. Il faudrait des analyses individuelles précises pour connaître les bonnes doses en fonction de l’alimentation prévue et bien connaître les interactions entre les compléments. Autant vous dire que c’est généralement du pifomètre. 😉 Cela dit, si vous prenez habituellement des compléments alimentaires, je vous conseille de continuer à le faire pour vos randonnées. Ne changez pas drastiquement votre alimentation Je vous conseille également de ne pas changer drastiquement votre alimentation une fois en randonnée, au risque de perturber votre corps et notamment votre estomac et vos intestins. Cela dit, si vous ne mangez par exemple que des légumes et des fruits habituellement, ça risque d’être compliqué de ne pas trop changer vos habitudes. Dans ce cas, ça peut être une bonne idée d’adapter votre corps un peu avant en introduisant certains aliments que vous mangerai en randonnée. Les repas lyophilisés/déshydratés Certains ne jurent que par les repas lyophilisés ou déshydratés tout préparés. On voit un peu de tout, des repas selon moi pas très équilibrés, des portions un peu justes, des repas très industriels très gras, très sucrés, très salés. Il en existe aussi de très bien. Il faut savoir que les repas lyophilisés sont généralement de meilleure qualité que les repas déshydratés car préservent mieux les aliments. L’avantage de ces plats préparés est leur simplicité pas de préparation. Ceux de bonne qualité sont équilibrés et variés, mais ils sont souvent assez chers et ne contiennent pas toujours les apports que l’on souhaite en proportion et quantité. Comme pour la nourriture que vous préparez, je vous conseille fortement de tester ces repas avant de partir pour vous rendre compte de la quantité que ça représente. Note il est possible de déshydrater soi-même ses aliments au four ou avec un déshydrateur. Emballages J’en profite pour glisser une petite note sur les emballages. Essayez de les limiter autant que possible et qu’ils soient le plus léger possible, car vous les porterez probablement pendant toute votre randonnée. Dans beaucoup d’endroits, il n’y a pas de poubelles disponibles et les déchets doivent être ramenés chez soi ou jusqu’au prochain village. Réchaud ou pas de réchaud ? Encore une fois, cette question ne se pose généralement pas pour des randonnées à la journée. Souvent, elle ne se pose pas non plus pour des randonnées avec le repas du matin et du soir pris dans les refuges ou gîtes d’étape. Par contre, quand on prépare soi-même ses repas, la question peut se poser. Il peut arriver que certains refuges aient des endroits pour cuisiner et qu’un réchaud ne soit pas nécessaire. Mais, dans les autres cas, si vous voulez manger chaud, il vous faudra un réchaud à moins qu’il soit possible et autorisé de faire des feux le long de votre randonnée. En plus de manger et boire chaud – ce qui est très appréciable, notamment si les soirées et matinées sont fraîches – l’eau chaude permet de réhydrater la nourriture plus facilement. Un réchaud permet donc parfois d’emporter des aliments plus » déshydratés et donc plus légers. Ne pas avoir de réchaud est un choix pris par certains, cela permet de gagner du poids et du volume. Pas de réchaud, pas de combustible, pas de popote… Ca garantit également de pouvoir manger plus rapidement, la préparation étant souvent très succincte. Par contre, la variété d’aliments est un peu plus limitée – car les aliments déshydratés ont souvent besoin d’eau chaude pour être appréciables. Le riz et les pâtes gonflés à l’eau froide se mangent, mais ce n’est pas ce qui se fait de mieux. 😉 Voilà quelques avantages et inconvénients, si vous voulez faire votre choix uniquement en vue d’un gain de poids, sortez votre calculette car le résultat penche en faveur de l’un ou de l’autre suivant les cas. 😉 Beaucoup se posent également la question d’un repas froid ou chaud le midi. J’avais tendance à privilégier les repas chauds auparavant, mais je suis de plus en plus adepte des repas froids, avec éventuellement un thé, café ou une tisane chaude à la fin. Le repas chaud a l’avantage d’être agréable, notamment s’il fait frais. Par contre, il est souvent plus copieux repartir est plus dur, il est plus long à préparer – ce qui peut être désagréable par temps froid – et il n’est surtout pas très marrant à préparer quand le temps n’est pas clément vent, pluie, froid, etc.. Cependant, il est tout à fait possible de prévoir des repas chauds et des repas froids et de s’adapter en fonction de la météo et des abris naturels ou pas trouvés pour cuisiner. Hygiène L’hygiène est une différence notable avec les randonnées à la journée où l’on peut généralement se laver à son retour. C’est un sujet très subjectif, chaque personne ayant des habitudes différentes et des tolérances différentes. Ca dépend aussi des endroits dans lesquels on randonne. L’hygiène est par exemple plus importante en climat tropical qu’en climat méditerranéen. Il faut également distinguer l’hygiène confort » de l’hygiène médicale ». En général, ne pas se laver les cheveux pendant plusieurs jours ne vous expose pas à des problèmes médicaux, mais ne pas désinfecter une plaie peut vous y exposer – même s’il est toujours très difficile de faire la différence entre ce qui est vraiment nécessaire et ce qui ne l’est pas. Pour commencer, si vous avez besoin d’une douche chaude chaque jour ou tous les deux jours, je vous conseille de préparer votre itinéraire en fonction de cela, car ce ne sera pas possible de randonner partout. Il vous faudra dormir dans un refuge avec douches chaudes renseignez-vous bien ou à proximité d’un village hôtel, camping, gîte d’étape, etc.. Si vous vous demandez comment font les autres personnes, rassurez-vous, sur des randonnées de plusieurs jours, beaucoup de personnes ne se lavent pas tous les jours loin de là ou se lavent succinctement à l’eau froide. Quand il n’y a pas d’eau chaude disponible, comme pour des randonnées avec bivouac ou des refuges sans eau chaude, vous pouvez soit utiliser l’eau à disposition douches froides, robinets, tuyaux, etc. soit utiliser les eaux naturelles pour vous laver cours d’eau, lacs, etc.. Attention, il est parfois interdit de se laver ou même de se baigner dans certains endroits pour préserver la qualité de l’eau. Si vous utilisez des savons ou produits, utilisez-en de préférence des biodégradables pour limiter votre impact sur la nature. Se laver est ce qu’il y a de plus difficile au niveau de l’hygiène, car se brosser les dents, laver son linge ou faire ses besoins est beaucoup plus simple. Pour le dernier point, j’en profite pour vous rediriger vers cet article où j’ai rassemblé certaines bonnes pratiques pour respecter la nature et les autres pratiquants d’activités de plein air. Sachez qu’il y a beaucoup de barrières psychologiques à casser par rapport à l’hygiène – la plus grande étant de ne pas se laver ou se de se laver succinctement. L’eau étant souvent froide, ça décourage souvent de faire un lavage complet ;-. Normalement, si vous ne vous lavez pas pendant plusieurs jours, il ne devrait rien vous arriver de grave et sachez qu’un peu d’eau avec du savon fait déjà beaucoup. 😉 Dans la rubrique Les affaires pour l’hygiène » de la section Matériel » un peu plus bas, vous trouverez quelques idées du matériel lié à l’hygiène que vous pouvez emporter. Matériel Voici une question que personne n’oublie de se poser. Si vous n’avez fait que des randonnées à la journée jusqu’à maintenant, il y a des chances que vous ayez besoin d’un petit peu plus de matériel. Cela va dépendre en partie de là où vous passer la ou les nuits. Si c’est en refuge ou en gîte d’étape, vous n’aurez pas besoin de beaucoup plus de matériel alors qu’en bivouac, plus de matériel sera nécessaire. Voyons tout de suite les quelques éléments qui changent ou se rajoutent quand on passe d’une randonnée à la journée à une randonnée de plusieurs jours. Le sac à dos Un sac à dos plus volumineux est souvent nécessaire, car on emporte plus de matériel. Si vous vous demandez quel volume choisir, voici un article fait pour vous. Le réchaud On en a déjà parlé auparavant, c’est un objet qui peut venir se rajouter à votre liste de matériel. Voici d’ailleurs une vidéo pour en fabriquer un très léger à partir d’une canette. La popote Avec le réchaud, va souvent la popote qui est généralement constituée de gamelles/casseroles, couvercle, tasses et couverts. Vous allez dire que je radote, mais faites vraiment attention au poids de la popote, beaucoup de personnes se retrouvent avec un service complet très confortable et très lourd, alors qu’il est possible de faire léger sans grande perte de confort. Le matelas Un matelas est nécessaire uniquement pour bivouaquer, mais ne l’est pas en refuge ou en gîte d’étape. Voici un article avec les grandes lignes pour choisir un matelas de randonnée. Le sac de couchage Vous en aurez très probablement besoin en bivouac et vous en aurez besoin en refuge si des couvertures ne sont pas fournies. Si vous comptez dormir en refuge, renseignez-vous au préalable et prévoyez éventuellement un sac de couchage si vous êtes frileux et que vous avez peur que ce qui est fourni ne soit pas suffisant. Note Avoir un sac de couchage dans son sac à dos est un élément de sécurité supplémentaire, vous permettant de passer une nuit dans la nature en cas de souci. Le drap de sac, drap de soie ou sac à viande Il peut être utile si vous avez un sac de couchage, afin de ne pas trop le salir et apporter une petite isolation thermique supplémentaire qui dépend surtout des matériaux. Mais, c’est surtout en refuge quand des couvertures sont fournies qu’il est très appréciable – notamment s’il fait chaud et que les couvertures sont trop chaudes ou pour vous éviter les démangeaisons dues aux couvertures. Alternativement, vous pouvez utiliser des sous-vêtements techniques longs. L’abri, la tente Un abri ou une tente est généralement nécessaire quand vous ne passez pas toutes vos nuits dans un logement en dur ». La tente est de loin la solution la plus utilisée en bivouac, mais il est aussi possible d’utiliser des abris fermés pas de tapis de sol, des tarps sorte de bâches tendues, des hamacs, des sursacs, des abris naturels grottes par exemple ou même rien. Cela dépend bien évidemment de beaucoup de paramètres et notamment des conditions météorologiques. Note Avoir un abri ou une tente dans son sac à dos est un élément de sécurité supplémentaire, vous permettant de passer une nuit dans la nature en cas de souci. Les chaussures Le choix de chaussures de randonnée dépend non seulement du terrain, de la météo, de vous, etc. mais aussi du poids de votre sac à dos et de la longueur de la randonnée. Les chaussures que vous utilisez habituellement pour les randonnées à la journée peuvent donc s’avérer bien ou pas bien adaptées. Pour le savoir, je vous invite à vous procurer gratuitement une copie de mon guide si ce n’est pas déjà fait pour vous aider à bien choisir vos chaussures de randonnée. Tout y est expliqué en détails. Cliquez ici pour télécharger le guide Les vêtements Il y a des chances que vous ayez besoin d’emporter plus de vêtements que pour des randonnées à la journée. Il est notamment important d’avoir des affaires sèches pour le soir – surtout sil fait frais. Cela est surtout valable pour les premières couches. Par exemple un tee-shirt à manches longues en synthétique, soie ou laine mérinos et un collant de la même matière. Cela peut également être votre tenue pour dormir si vous avez besoin d’un appoint en chaleur. Prévoyez aussi éventuellement une seconde couche supplémentaire voir article petit guide des secondes couches » pour avoir suffisamment chaud le soir et le matin. Ça peut être une seconde couche que vous utilisez pendant les pauses pour éviter de vous refroidir. Il se pose aussi la question des vêtements de rechange. Est-ce que je change de sous-vêtements chaque jour, est-ce que je change de tee-shirt chaque jour ? Je vous conseille de trouver un compromis entre confort et poids du sac. C’est sûr que c’est agréable d’avoir un tee-shirt propre, mais ça ne dure pas très longtemps et ça fait ça de plus à porter – sans compter que vous ne serez pas nécessairement propre quand vous l’enfilerez. 😉 Pensez aussi qu’il est tout à fait possible de laver ses vêtements en cours de route, voire juste de les rincer puis de les faire sécher – ça vous fera économiser pas mal de poids. Il faut par contre que la météo soit suffisamment clémente pour le séchage. J’en profite pour souligner l’importance d’avoir des chaussettes de rechange et de laver ses chaussettes ou au moins de les rincer. Après une bonne journée de randonnée, les chaussettes deviennent rêches transpiration qui sèche et cela s’empire au bout de plusieurs jours. De telles chaussettes facilitent l’apparition d’ampoules et d’échauffements aux pieds. Par contre, avec un petit lavage ou un petit rinçage, elles redeviendront souples mais pas forcément propres et sans odeurs ;-. Les affaires pour l’hygiène Je l’ai déjà dit plus haut, c’est quelque chose de très subjectif, mais voici quelques éléments qui peuvent servir – brosse à dent. – dentifrice il existe des alternatives plus légères. – savon pour le corps, éventuellement les cheveux et laver ses vêtements. – papier toilette. – petite truelle. – serviette idéalement, légère et qui sèche très rapidement – exemple microfibre. – gant ou équivalent pratique pour se débarbouiller » – option 0 gramme utiliser ses mains. – nécessaire pour l’hygiène féminine. En ce qui concerne les vêtements de rechange, j’en parle dans la section Les vêtements » au-dessus. Note Pensez-bien que dans beaucoup d’endroits, il n’y a pas de poubelles disponibles et que les déchets doivent être ramenés chez soi ou jusqu’au prochain village. De même, beaucoup de toilettes n’acceptent » rien de plus que du papier toilette et ce qui a été digéré. Quelque chose pour vous éclairer La solution à mon avis la plus pratique est une lampe frontale. Je ne vais pas détailler ici les raisons d’en emporter une car je l’ai déjà fait dans cet article – que ce soit pour les randonnées de plusieurs jours ou les randonnées à la journée. Matériel électronique Sur plusieurs jours se pose le problème de l’autonomie des appareils électroniques. Je pense notamment aux GPS, aux téléphones voire aux appareils photo. Il n’y a pas 36 solutions – Soit vous avez la possibilité de recharger de manière régulière vos appareils dans les hébergements. – Soit vous devez avoir un moyen de recharger vos appareils batterie externe, chargeur solaire, etc. ou des piles/batteries de rechange. Vous pouvez aussi utiliser vos appareils de manière différente voir section orientation » pour les GPS. Note Si vous emportez un téléphone portable au cas où vous voudriez prévenir les secours, assurez-vous de toujours garder suffisamment de batterie. Kit de réparation et trousse de secours N’oubliez pas votre trousse de secours et votre kit de réparation, c’est d’autant plus important sur les randonnées de plusieurs jours. Pour en savoir plus Le matériel décrit au-dessus n’est pas une liste exhaustive, mais j’ai essayé de couvrir les principales différences au niveau du matériel quand on passe d’une randonnée à la journée à une randonnée de plusieurs jours. Je vous invite également à vous inspirer de la liste de matériel que vous avez déjà reçue si vous êtes inscrit à la newsletter si ce n’est pas le cas, téléchargez-la ici. Si vous avez besoin de plus d’aide sur le choix de votre matériel réchaud, tente, matelas, sac de couchage, vêtements, sac à dos, chaussures, je vous invite à acquérir ma série de guides sur le sujet. Le poids du sac Je ne peux pas m’empêcher d’en parler, car ça me paraît très important. Autant, sur une randonnée à la journée, le poids du sac reste raisonnable – même quand on n’y fait pas particulièrement attention. Autant, sur plusieurs jours le poids du sac devient vite un fardeau et peut gâcher sa randonnée. J’ai déjà écrit deux article sur le sujet – que je vous invite vivement à lire, si vous voulez éviter de devoir porter 25 kg comme je l’ai fait lors de ma première grande randonnée Faites-vous ces 2 erreurs de débutants en grande randonnée ? 4 principes et de nombreuses astuces pour randonner plus léger Météo Sur plusieurs jours, les conditions météo ont plus de chances de différer des prévisions. Soyez prévoyant et imaginez que le temps sera peut-être moins clément que ce qui est prévu. Essayez également de vous informer sur la météo pendant votre itinéraire. C’est d’autant plus important en montagne et là où les conditions météo pourraient vraiment compromettre votre sécurité. N’hésitez pas à demander aux personnes que vous croisez villageois, gardiens de refuges, autres randonneurs, etc. ou à vous servir de votre téléphone pour vous renseigner si c’est possible. Note un article à lire pour apprendre à prévoir la météo. Rester sec Comme je viens de parler de la météo, j’en profite pour mentionner un point important directement lié il faut autant que possible garder ses affaires sèches – à moins qu’il ne fasse vraiment chaud. Sur une randonnée à la journée, même si nos affaires sont un peu mouillées, on pourra être chez soi au chaud le soir, se changer et faire sécher nos affaires. Sur une randonnée de plusieurs jours, ça peut être plus difficile – surtout en bivouac. Il n’est pas toujours possible de faire sécher ses affaires et on n’est pas forcément au chaud le soir. Donc, pour éviter d’avoir froid, choisissez des vêtements qui sèchent vite, régulez bien votre température corporelle pour éviter de trop transpirer et protégez-vous et vos affaires des intempéries voir l’article Comment protéger le contenu de votre sac à dos de la pluie ». Evitez également d’être négligeant ça arrive facilement Oh, c’est juste une petite averse, je n’ai pas besoin de sortir la veste » ou Oh, ça sèchera bien ce soir ». Vous ne voulez pas vous retrouver comme moi avec un sac de couchage trempé. 😉 Condition physique, fatigue, récupération Savoir comment va réagir son corps sur plusieurs jours de randonnée n’est pas facile si vous n’avez pas d’expérience et si vous n’avez jamais fait des randonnées à la journée plusieurs jours de suite. Naturellement, il est plus difficile d’enchaîner les jours de randonnée, d’autant plus que votre sac sera probablement plus lourd. C’est quelque chose qu’il faut prendre en compte pendant la préparation de votre itinéraire en restant raisonnable, voire en planifiant des jours de pause ou des jours tranquilles » si vous partez longtemps. Une fois en randonnée, il est important de ménager son corps, et d’en garder sous le coude » pour le lendemain et éventuellement les jours suivants pour les randonnées plus longues. Pensez également à optimiser votre récupération comme expliqué dans cet article. Une fois que vous aurez un peu plus d’expérience, vous connaîtrez mieux votre corps et pourrez vous adapter plus rapidement aux signaux qu’il vous envoie. Je vous conseille également de faire plus attention à votre corps que sur des randonnées à la journée. Je pense notamment aux pieds par exemple. Sur plusieurs jours, il est important de bien s’en occuper pour prévenir l’apparition d’échauffements, d’ampoules, etc. Sur une journée, on peut se permettre d’abuser plus de son corps, car on pourra le soigner chez soi – alors que sur plusieurs jours on s’en resservira le lendemain voire les jours suivants. Si vous vous demandez où vous en êtes physiquement, je vous conseille de lire l’article Etes-vous prêt physiquement ? ». Où aller, quelle randonnée faire ? Je vois beaucoup de personnes randonnant à la journée, voulant se lancer dans des randonnées de plusieurs jours. On me parle de GR20, de GR10, de tour du Mont-Blanc, de tour des Ecrins, de tour du Queyras, de tour des glaciers de la Vanoise, de Saint-Jacques de Compostelle, etc. C’est génial, ce sont de super projets, mais ce sont aussi des randonnées assez longues, d’au moins 5 jours pour la plupart des gens. Je ne peux pas tellement critiquer, car j’ai fait pareil, ma première grande randonnée étant une partie du tour des glaciers de la Vanoise. Par contre, je sais comment ça s’est passé. 😉 Si vous avez un projet un peu ambitieux pour vous, qui vous tient à cœur, je vous conseille de mettre toutes les chances de votre côté en faisant une ou plusieurs randonnées plus courtes avant pour bien préparer votre projet. Vous pouvez par exemple faire une randonnée de 2 jours et une nuit sur un week-end. Ça vous permettra de tester les différents aspects matériel, nourriture, hygiène, condition physique, etc. Essayez de vous mettre autant que possible dans des conditions proches de ce que vous rencontrerez, vous vous rendrez vite compte de ce qui va, ce qui ne va pas et ce qui peut être amélioré. Il vaut mieux faire des erreurs sur 2 jours que sur 7 jours où on risque plus facilement de le regretter. Si vous n’avez pas spécialement de projet en tête et que vous voulez simplement découvrir les randonnées de plusieurs jours, je vous conseille également de partir sur 2 jours et une nuit pour commencer. Vous n’avez pas nécessairement besoin de partir très loin de chez vous – le but étant surtout de tester, de gagner un peu en expérience et de casser quelques barrières psychologiques si nécessaire. Si jamais vous avez des doutes sur votre condition physique et votre capacité à enchaîner deux jours de randonnée, je vous conseille de faire deux petites journées ou demi-journées entrecoupées d’une nuit en refuge, gîte d’étape ou en bivouac. Si vous avez beaucoup d’appréhensions, ou si vous ne savez pas du tout si ça va vous plaire, je vous suggère de passer la nuit en refuge, ou en gîte d’étape et de choisir la demi-pension. C’est moins perturbant psychologiquement, vous serez au sec et cela vous évitera de vous procurer beaucoup plus de matériel que ce dont vous avez besoin pour les randonnées à la journée. Je vous conseille également de choisir un itinéraire pas trop isolé et de vous faire accompagner d’une ou plusieurs personnes d’expérience si possible, ça rendra les choses plus faciles et plus rassurantes. Note Essayez de tester ce qui est possible chez vous avant de partir – la nourriture, la tente, le matelas, le réchaud, etc. Ici s’arrête cette première partie déjà longue et dans la seconde partie, on s’intéressera aux particularités d’une nuit en refuge et d’une nuit en bivouac. Cliquez ici pour lire la seconde partie !
Ducoup son argument c’est qu’il y a trop de musulmans en France et qu’à cause de ça il peut pas se faire livrer pendant le ramadan. Mais s’ils étaient pas là (toujours suivant son argument que les livreurs sont musulmans), bah il pourrait pas se faire livrer et pas seulement pendant le ramadan, non ? Du coup c’est bien simplement de la haine envers les musulmans et rien d
jcr Vendredi 16 juillet 2010 1721 Apport de nourriture dans un hôtel y a-t-il une réglementation ? Ne souhaitant pas que notre hôtel de charme sans restaurant ne se transforme en air de picnic par des clients qui y décident de déjeuner ou de diner , nous voudrions connaitre la réglementation à ce sujet. Que dit-elle concernant l'appport de nourriture dans un hôtel ou dans les chambres au plan de la réglementation ou de l'hygiène sachant que c'est source de problème pour les clients suivants dans les chambres ou la quiétude des lieux dans le jardin Peut-on interdire de manger dans l'hôtel et de quelle manière. Comment avez-vous réglé cette question. Merci de vos conseils. jcr Lundi 26 juillet 2010 2000 Réglementation sur la nourriture dans un hotel bureau Avez-vous des infos à nous communiquer sur l'apport de nourriture dans un hotel bureau et la manière dont vous gérez la situation ? jacob Lundi 26 juillet 2010 2243 jcr, vendez de sandwiches " de .charme". je plaisante mais pas trop Philippe Mardi 27 juillet 2010 1025 nourriture dans un hôtel Si votre hôtel de charme se transforme en aire de pic-nique c'est que cela est un besoin important de votre clientèle. Vous travaillez pour vous faire plaisir ou pour le bonheur de vos clients ? Comme dit Jacob avec humour vous devriez voir s'il n'est pas judicieux d'offrir une prestation adapté ! jcr Mardi 27 juillet 2010 1214 Nourriture dans un hotel Ce n'est pas un besoin ressenti par la quasi totalité de nos clients qui apprécient fort justement la sérénité du lieu et en sont très respectueux, mais c'est pour éviter les débordements de certains clients qui se sentent chez eux partout ... et qui n'ont pas d'interdits que nous souhaitons trouver les bons arguments. Nous travaillons justement pour le bonheur de la majorité et non de la minorité de nos clients. Vous savez bien que le terme 'de charme' ne peut-être mis à toutes les sauces. Quelles sont vos expériences ? mary sanary Mardi 27 juillet 2010 1739 jcr, je suis dans le même cas quand nous avons repris cet hôtel nous avons repris la clientèle qui avait l'habitude de pique-niquer car les anciens propriétaires l'acceptait. Nous avons donc mis les choses au point pour éviter les papiers gras et autres choses plaisantes qui nous étaient laissées. Nous avons fait une petite carte de snack plats froids uniquement nous proposons aussi des sandwichs, que nous servons éventuellement dans le jardin. Depuis peu de personnes osent manger dans le jardin et quand cela se présente j'explique gentiment que notre jardin n'est pas un jardin public, il y en a ailleurs, et aussi des plages pour pique-niquer. En revanche j'accepte que les clients mangent dans leur chambre ou sur leur terrasse éventuelle. D'ailleurs j'envisage de munir mes chambres de petits frigos pour leurs nourriture et boissons pour éviter de stocker dans notre frigo perso j'accepte à reculons. Vous pouvez aussi le mentionner dans votre règlement intérieur. Pour la petite histoire, les précédents propriétaires acceptaient un client qui faisait griller ses saucisses au fond du jardin !! Il y a limite au bonheur des clients, n'est-ce-pas Philippe ? Cordialement jacob Mardi 27 juillet 2010 2206 mary sanary votre solution est ideal et corresponde bien aux sandwiches de "charme" dont je parlais. Papiers gras et saucisses ne seron jamais de solution lie la reponse a une demande,une gestion elegante de la maison,et un plus de CA of course Philippe Mardi 27 juillet 2010 2249 précision Répondre à une demande clairement définie d'une clientèle ne veut pas dire accepter sans rien dire toutes les turpitudes des goujats ! Il y a une nuance de taille !! charli Mardi 13 février 2018 1159 Bonjour Notre hôtel sans licence de restauration accueille des migrants. Un organisme veut leur apporter des repas dans l'hôtel. Existe-t-il une réglementation pour interdire cette pratique problème de rupture de chaine du froid - manque d'hygiène car pas de structure adaptée - etc.. Merci de votre aide Pascale CARBILLET Vendredi 16 février 2018 1759 Cela dépend, si cette structure apporte des repas quotidiennement à consommer aussitôt où si elle vous demande de stocker les repas pour que les migrants les consomment par la suite. Vous pouvez invoquer le non respect des règles d'hygiène. Vous pouvez interdire la consommation des denrées alimentaires dans les chambres. Suivre et être alerté des nouvelles publications de Pascale CARBILLET
Rechargede votre voiture électrique. Hôtel de charme 5 étoiles avec un accueil personnalisé. 36 chambres, 7 suites. Bar, salons et restaurant gastronomique référencé par les plus grands guides. Terrasse ombragée ouvrant sur le magnifique jardin. Piscine extérieure chauffée aux beaux jours et jacuzzi nichés dans un écrin de verdure.
Académie 2 mars 2022 5 min Vous êtes passionné par la cuisine et souhaitez exercer directement chez vos clients en devenant cuisinier à domicile ? Le statut auto-entrepreneur peut être idéal pour vous lancer ! Découvrez toutes les informations dont vous avez besoin et la réglementation liée à ce métier. Cuisinier à domicile auto-entrepreneur les informations clés Le Centre de Formalités des Entreprises CFE est voir tableau récapitulatif Le code APE est généralement - Services des traiteurs Le plafond de chiffre d'affaires à ne pas dépasser est de voir tableau récapitulatif Rémunération mensuelle environ 45 € par convive Le montant des cotisations sociales à payer est de voir tableau récapitulatif Le métier de cuisinier à domicile Un métier aux nombreuses facettesLa cuisine a le vent en poupe et les Français apprécient de plus en plus le plaisir de bons plats faits maison !Que ce soit pour recevoir des amis ou pour un repas en famille, de nombreuses personnes se prêtent au jeu d’inviter un cuisinier à leur domicile pour leur confectionner un repas original et de cuisinier à domicile peut réaliser différents types de prestations pour des occasions particulières soirées d’anniversaires, Saint-Valentin, etc. pour des dîners classiques, avec en moyenne une dizaine de convives pour la cuisine du quotidien repas aux personnes âgées par exempleDans la pratique, un cuisinier à domicile ne se contente pas de cuisiner ! En amont, vous élaborerez le menu en concertation avec le client et devrez réaliser les achats nécessaires. Pendant le repas, vous devrez aussi savoir être chaleureux et pédagogue pour présenter vos plats et faire passer une bonne soirée aux plus de posséder de très bonnes qualités techniques, vous devrez donc avoir un bon contact avec la clientèle et faire preuve d’une organisation sans qualités nécessaires pour devenir cuisinier à domicileDevenir chef à domicile demande donc d’être capable de s’adapter à différents types de clientèles et de soirées. Comme vous concoctez vos plats dans la cuisine des clients, il est indispensable que vous soyez capable de faire face à des imprévus, qu’il s’agisse d’un espace trop petit pour dresser ou d’un manque de matériel par vous faire repérer et décrocher des contrats, il faudra vous démarquer ! Si vous avez une spécialité culinaire, n’hésitez pas à la mettre en avant. C’est votre créativité et la qualité de vos prestations qui construiront votre activité à ne pas confondre avec d’autresLe métier de cuisinier indépendant ne se réduit pas à un seul type d’activité. Prenez le temps de bien vous renseigner car la réglementation pourra différer selon les d'activitéCuisinier à domicileFabrication de plats à emporterVente avec consommation sur placeAnimation de cours de cuisineNature de la prestationIl se rend directement chez ses clients pour leur confectionner des plats, servis sur plats sont confectionnés dans le local du cuisinier et sont consommés chez le client dans leur plats sont confectionnés dans le local du cuisinier et sont consommés sur cours se déroulent au domicile des de Commerce et d’Industrie CCIChambre de Métiers de l’Artisanat CMAChambre de Commerce et d’Industrie CCIURSSAFCatégorie d’activitéCommercialeArtisanaleChambre de Commerce et d’Industrie CCILibéraleCotisations sociales22 %12,8 %12,8 %22 %Plafond de CA72 600 €176 200 € HT176 200 € HT72 600 €Obligation de diplômeNonNonNonNonObligation d’un local dédiéNonNonNonNonAinsi si vous souhaitez par exemple réaliser une partie des plats à votre domicile avant de vous rendre chez les clients, votre activité sera considérée comme mixte artisanale et commerciale.Information importanteS’il est possible de devenir chef à domicile sans diplôme, ce n’est pas le cas du métier de pâtissier à domicile ! Pour pouvoir confectionner des gâteaux et autres douceurs à domicile, vous devez justifier d’un diplôme dans ce domaine. Quelle formation pour se lancer ? Le diplôme non obligatoire mais conseilléSi la restauration fait partie des activités réglementées, l’activité de cuisinier à domicile est considérée comme un service à la personne et échappe à certaines devenir cuisinier à domicile, vous n’êtes donc pas dans l’obligation d’obtenir un diplôme !Pour réaliser des prestations de qualité, nous vous recommandons tout de même de vous tourner vers une formation qui vous donnera de fortes compétences techniques pour épater vos futurs clients. Les formations en hôtellerie sont nombreuses, du Bac Pro au DUT, et généralement proposées dans des établissements formation aux règles d’hygièneNous l’avons vu, dès lors que vous réalisez une prestation de restauration, le respect des normes d’hygiène est indispensable. En tant qu’auto-entrepreneur, c’est votre responsabilité qui est engagée en cas d’intoxication alimentaire d’un de vos clients. Pour éviter tout risque et problème en cas de contrôle sanitaire, il est essentiel que vous connaissiez sur le bout des doigts toutes les règles liées à ce la formation à l’HACCP analyse des dangers et points critiques pour leur maîtrise n’est pas obligatoire pour les chefs à domicile. Nous vous conseillons néanmoins d’obtenir ces connaissances pour appliquer la plus grande ce cadre, vous pouvez également choisir de souscrire une Responsabilité Civile Professionnelle qui vous couvrira en cas de dommage causé à un tiers dans le cadre de votre à savoirDès lors que vous cuisinez chez vous ou dans un local dédié, vous devez respecter des normes sanitaires précises, concernant notamment le matériel, le stockage et la conservation des aliments. Une déclaration sanitaire devra être effectuée auprès de la direction départementale en charge de la protection des populations DDPP et permettra au service Hygiène et sécurité alimentaire de la DDPP de programmer les visites de contrôle. Quels investissements prévoir ? Vos clients ne seront pas forcément tous équipés pour vous permettre de cuisiner conformément à vos habitudes. Vous avez donc un minimum de matériel à acquérir des ustensiles des plats éventuellement de la vaisselle un set de couteauxLe plus gros investissement restera votre véhicule il est indispensable que vous puissiez vous déplacer facilement avec tout votre voulez vivre de votre passion en devenant chef à domicile ? N’hésitez plus à vous lancer, le statut auto-entrepreneur est particulièrement adapté à ce métier ! L’article "Cuisinier à domicile" a été noté 4,1 sur 5 sur 228 avis d'internautes.
Sinaguère il était facile de commander ses bouteilles pour un rendez-vous improvisé, on peut désormais se faire livrer chez soi de quoi les accompagner durant une longue soirée. Le site
Publié le 13/03/2012 à 0933 Depuis trois ans, le marché de Pechabou déploie ses étals de produits bio le samedi matin, de 9h à 13h et, à travers des animations gourmandes et ludiques, tente de promouvoir une alimentation saine et de qualité. Pour aller plus loin encore dans cette démarche, un nouveau service est proposé la commande de produits en ligne, avec livraison sur le marché. Epicerie, crèmerie, produits frais, pain, pizzas, etc le site de Védibio, exposante sur le marché de Pechabou et productrice dans le Tarn propose une grande variété de produits tous labellisés AB, fournis par des producteurs et exploitants locaux. La livraison, gratuite, est assurée sur le marché durant ses heures d'ouverture et le règlement se fait au moment du retrait de la commande. Cette possibilité de commande est très simple d'utilisation il suffit de se rendre sur le site de Pecha'bout de nature, rubrique Commandes en ligne » et de remplir son panier En permettant de réduire les trajets en voiture pour faire l'ensemble de ses courses, ce nouveau service, pratique, s'inscrit dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre.
Prix: un "repas" pour 2 personnes est soit à 16 €, soit à 20 €. Un "repas" pour 4 personnes est soit à 28 €, soit à 36 €. Si on prend l'abonnement à 3 ou 5 repas par semaine, une
"Je suis ravi, personnellement ça m’arrange, mais je ne comprends pas, c’est illogique et discriminatoire pour mes collègues restaurateurs." Charles Racot est patron de l’Hôtel du Midi à La Roche en Ardenne et il est sceptique devant ce qui apparaît pourtant comme une bonne nouvelle pour le secteur hôtelier les restaurants des hôtels restent ouverts à condition qu’ils ne servent à manger qu’à des clients qui logent et en respectant les règles sanitaires. Une mesure qui pourrait leur permettre de profiter tant bien que mal des congés de Toussaint et de fin d’année, mais qui pourrait aussi susciter pas mal de jalousie. Nous avons tâté le terrain dans des hôtels, centres de vacances et chambres d’hôtes, en Ardenne et au littoral. ►►► A lire aussi Coronavirus tous les établissements Horeca de Belgique seront fermés à partir de lundi pendant 1 mois Faudra pas s’étonner si je reçois un pavé dans la vitrine »Le texte de l’arrêté ministériel pris ce week-end est clair "Les établissements suivants peuvent rester ouverts tous les types d'hébergement, en ce compris leur restaurant, mais à l’exclusion de leurs autres débits de boissons, et ce uniquement pour les clients qui y séjournent…" Comme tous les hôtels, celui de Charles Racot à La Roche peut donc continuer à servir des repas, mais uniquement aux clients qui ont loué une chambre et en respectant les mesures imposées jusqu’ici à l’Horeca, soit la distance entre les tables, le plexiglas, le masque pour le personnel, le relevé des noms des clients, etc. A priori une bonne nouvelle pour un hôtelier, surtout à la veille de plusieurs périodes de congés, dont celui de la Toussaint dans moins de deux semaines. Et pourtant, notre Ardennais fait la moue "je devrais me réjouir mais la mesure me laisse perplexe. Quelle est la différence entre un restaurant classique et celui d’un hôtel ? J’ai 16 lits et je pourrai donc accueillir mes 16 clients à table, c’est très bien pour eux et aussi pour moi mais honnêtement mes clients viennent de partout et ils ont autant de risques d’être porteurs du virus et de le partager que les clients d’un autre restaurant. Et puis que va penser mon voisin qui est simple restaurateur et dont la salle doit rester vide alors que la mienne peut être pleine ? Je vais finir par recevoir un pavé dans ma vitrine, moi…" Charles Racot n’a d’ailleurs pas très confiance dans la durée de la mesure "ça ne va pas tenir. Ça va créer une discrimination et peut-être mener à des tensions dans l’Horeca, ça va sûrement sauter. Ça risque aussi de donner lieu à des abus, des gens vont réserver une chambre pour avoir accès au restaurant, mais une fois qu’ils auront mangé, ils trouveront un prétexte pour annuler la nuit. D’ailleurs, je ne mise pas beaucoup sur le congé de Toussaint, pour le moment j’ai davantage d’annulations que de nouvelles réservations." "Nos clients peuvent même manger chez nous des plats achetés ailleurs"A l’Hôtel Donny à La Panne, on se pose moins de questions. Daisy répond avec assurance au téléphone "le restaurant est ouvert durant toute la semaine et nous servons à nos clients les petits-déjeuners et les repas de midi et du soir, du moins s’ils le désirent. Nous changeons régulièrement la carte, surtout le soir, mais si les clients sont un peu lassés de notre cuisine, nous leur permettons de commander des plats à emporter dans des restaurants locaux et de venir les déguster chez nous. C’est une manière de soutenir nos collègues restaurateurs qui doivent rester fermés. Pas mal d’entre eux ont décidé de proposer des plats à emporter pour les vacanciers qui louent des appartements. Eh bien, nos clients pourront aussi en profiter. Mais attention, il faut dormir pour manger ! C’est la règle édictée par le gouvernement. Moi, j’aimerais évidemment accueillir tout le monde mais je ne peux pas. C’est comme notre sauna et notre centre Wellness, ils sont ouverts mais uniquement pour la clientèle qui loge, pas question d’y inviter des amis de passage. Par contre, notre bar est fermé pour tout le monde, c’est partout pareil. Si on veut boire, il faut manger !" Et quand on lui demande comment s’annonce le congé de Toussaint, on sent la confiance dans sa voix "les réservations vont bon train, c’est assez bien rempli au début du congé, un peu moins vers la fin, mais ça peut venir. D’ailleurs, le prolongement des vacances jusqu’au 11 novembre du côté francophone pourrait m’amener de nouveaux clients. Ils feront même une bonne affaire puisqu’à partir du 9 novembre, c’est le début de la basse saison et donc les prix baissent."Les chambres d’hôtes ? Comme les la Fédération des gîtes et chambres d’hôtes de Wallonie, on a accueilli l’arrêté du week-end avec soulagement. "Cela ne change rien pour les gîtes qui sont des locations sans repas mais pour les chambres d’hôtes c’est une bonne nouvelle que les propriétaires puissent continuer à servir des petits déjeuners et même des repas à leurs clients dans la salle commune. Le faire en chambre aurait parfois été compliqué" explique Khevyn Torres, porte-parole de la fédération. "Beaucoup de nos adhérents propriétaires étaient inquiets et nous interrogeaient ces derniers jours, nous avons pu les rassurer par mail, c’est important, car ils craignaient de revivre le cauchemar du confinement du printemps. Les réservations sont prometteuses, le taux d’occupation tourne autour de 70%, tant pour la Toussaint que pour Noël, une interdiction de servir à manger aurait sans doute provoqué des annulations et donc plombé la fin de saison. Cela dit, nous faisons quand même face à des désistements, mais surtout dans les grands gîtes qui sont confrontés à la réduction des contacts sociaux. Comme un foyer ne peut plus recevoir que 4 personnes extérieures, difficile de remplir un gîte de 15 ou 20 places." Chez Center Park, on mange au bungalow !Dans les centres de vacances, les règles sont moins nettes. Chez Center Park, par exemple, les locations de bungalows sont ouvertes, mais les restaurants des complexes restent inaccessibles. Pas question pour autant de faire un régime forcé, la réceptionniste nous l’explique "les restaurants ne sont pas fermés complètement, ils fonctionnent, mais uniquement en " take away ", donc les clients peuvent commander et se faire livrer dans leur cottage. Nos piscines restent ouvertes aussi, mais leur accès est limité, on ne peut y aller que 2 ou 3 fois selon qu’on loue une semaine ou un week-end. La durée est aussi limitée à deux heures et il faut s’inscrire auparavant pour éviter que tout le monde aille se baigner en même temps." Des restrictions qui ne semblent pas décourager les amateurs du genre 80% des chalets sont réservés pour la Toussaint. C’est moins que les 100% habituels mais par les temps qui courent, c’est plutôt inespéré !Reportage de notre 13h de ce mardi 20 octobre PARTAGERSur le même sujetArticles recommandés pour vous
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peut on se faire livrer un repas dans un hotel